Prospection commerciale : quelle(s) stratégie(s) en 2017-2018, entre « real life » et « digital » ?

Prospection commerciale : quelle(s) stratégie(s) en 2017-2018, entre « real life » et « digital » ?

Pour de nombreuses entreprises, la prospection commerciale reste une étape obligatoire dans le développement d’une activité. Si vos clients viennent à vous sans que vous ayez besoin de fournir un effort de prospection, alors vous pouvez passer votre chemin ! 😉 Pour les autres, voici un état des lieux de la prospection commerciale à l’heure du digital et du web en 2017-2018. Alors, prospection Real Life ou prospection digitale ?

Porte-à-porte ou e-mailing ? Téléphone ou campagne Facebook ? Bouche-à-oreille ou site internet ? Depuis de nombreuses années déjà, les techniques de prospection traditionnelles sont régulièrement délaissées ou profit des outils numériques. Et parfois… c’est l’inverse. Alors qu’est-ce qui fonctionne le mieux ? Quelles techniques permettent de générer le meilleur taux de transformation ? Quel retour sur investissement espérer quand on confronte le REAL (dans la vraie vie) et le DIGITAL (sur nos écrans) ?

Infographie : prospection In Real life / prospection digitale

Prospection commerciale « In Real Life »

Les principaux canaux de communication et de prospection « dans la vraie vie » sont :

  • les rendez-vous / entretiens, en face-à-face
  • le porte à porte, à pied, en voiture, en scooter, etc.
  • le phoning
  • le mailing papier
  • le bouche-à-oreille
  • la publicité traditionnelle (dans les magazines, etc.)
  • les soirées réseau (conférences, diners, clubs d’entreprises, etc.)
  • les déjeuners avec un client, un prospect, un partenaire
  • les rencontres sportives dédiées (partie de golf, circuit automobile, etc)
  • la publication de livres spécialisés, la publication d’articles dans des revues
  • les conférences thématiques

Prospection commerciale « Digital »

Du côté du numérique, on relève les canaux suivants (liste non exhaustive) :

  • le site internet de l’entreprise
  • l’e-mailing
  • les réseaux sociaux (Facebook, Linkedin, Twitter, etc.)
  • le blog de l’entreprise pour partager des actualités fraîches
  • la publication de livres blancs sur des thématiques précises
  • la création / réalisation de vidéos dédiées
  • la publicité digitale (display, liens, programmatique, etc.)
  • les campagnes de pub classiques en TV ou en radio

Et vous ?

Quels sont vos canaux de prospection favoris ? Misez-vous sur l’une de ces deux propositions, sur les deux ? Avez-vous pu mesurer un taux de transformation particulièrement efficace ?

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Enquête Wavestone : bilan de la sécurité des sites web en France

Enquête Wavestone : bilan de la sécurité des sites web en France

Cybersécurité et enjeux business : un mariage impossible ? À l’occasion du mois européen de la cybersécurité et des Assises de la Sécurité (du 11 au 13 octobre 2017), les équipes du cabinet de consulting Wavestone publient leur enquête annuelle qui passe en revue près de 155 sites web des plus grandes entreprises françaises. L’objectif : apporter un éclairage concret et alerter sur l’un des sujets les plus stratégiques du moment.

Les dernières cyber-attaques ont montré que la sécurité des données clients représente un des enjeux majeurs des années à venir et devrait inciter les entreprises à la plus grande vigilance. Et pourtant, les injonctions d’efficacité et de rapidité au nom de la satisfaction client créent une situation à haut risque… C’est ce que révèlent les résultats du nouveau benchmark de Wavestone : alors que 100% des sites web testés sont vulnérables, 90% d’entre eux étaient déjà en ligne avant la réalisation des tests.

50% des sites analysés et accessibles à tous depuis Internet contiennent des failles graves pouvant mener à la fuite d’informations, à l’accès au contenu et à différentes données du site, ou à la prise de contrôle des serveurs. Les sites web internes réservés aux collaborateurs ne sont pas épargnés, ils sont même davantage touchés que les sites « tout public » : 68% d’entre eux recensent au moins une faille grave. Des failles graves ont par ailleurs été découvertes alors que 90% des sites étaient déjà en ligne.

L’étude montre également que les entreprises négligent trop souvent la cybersécurité, puisque 40% des sites ayant déjà subi un audit de sécurité restent vulnérables à au moins une faille grave. Ceci est souvent dû à des corrections peu appliquées ou de nouvelles fonctionnalités non testées avant leur mise en ligne. « Aujourd’hui la pression sur les délais pour sortir un nouveau site et la manque d’anticipation des tests de sécurité conduisent à des situations à risques. Trop souvent des sites avec des données clients sont en ligne alors qu’ils sont vulnérables. Ils existent pourtant des solutions simples pour éviter de potentielles catastrophes numériques » indique Gérôme BILLOIS, associé au cabinet Wavestone.

Des failles qui touchent tous les secteurs

L’analyse des résultats montre également qu’aucun secteur n’est épargné : plus de 1 site sur 2, quel que soit le secteur, contiennent au moins une faille grave. Les pourcentages ci-dessous reflètent le nombre de sites sujets à au moins une faille grave :

« Le TOP10 des failles découvertes reflète peu de changement entre le classement 2016 et 2017. Des failles majeures sont encore présentes en tête de liste. Ces failles sont connues depuis de nombreuses années, il est pourtant simple de former les développeurs et d’inclure des obligations de sécurité dans les contrats avec les hébergeurs ou les web agency, mais cela est encore trop rarement fait » souligne Yann Filliat, responsable de l’équipe audit de sécurité de Wavestone.

Zoom : des objets connectés mieux sécurisés que les sites web ?

Oui et non ! Wavestone a réalisé 10 tests d’intrusion entre juin 2016 et juin 2017 sur des objets connectés développés en France (prises connectées, sonnettes à distante, etc.) sans y trouver de faille majeure permettant une attaque massive (même si des failles importantes existent, elles ne permettaient que de prendre le contrôle d’un objet à la fois). « Cette situation est très différente pour les objets connectés « low cost » qui contiennent de nombreuses failles permettant des exploitations massives à l’échelle mondiale comme l’ont montré les très nombreux incidents observés en 2016 et 2017 avec par exemple le botnet Mirai » complète Yann Filliat, responsable de l’équipe audit de sécurité de Wavestone.

Pistes de réflexion, solutions, etc.

Méthodologie

155 audits de sécurité, réalisés entre Juin 2016 et Juin 2017 auprès de 70 organisations appartenant au Top 200 des entreprises françaises, issus de 9 secteurs d’activités différents : Banque/Assurance, Santé, Défense, Administration, Energie, Services, Vente en ligne, Télécom et Transport. Dans le détail : 117 sites externes (accessibles à tous via Internet) et 38 internes (accessibles aux collaborateurs de l’entreprise via un réseau privé). Cette démarche comprend la vérification de 47 points de contrôle. Les données de ce benchmark ont été rendues anonymes : la collecte est uniquement statistique.

Téléchargement

Cliquez ici pour télécharger cette étude Wavestone sur la sécurité des sites web en France.

Source : https://eco-savoie-mont-blanc.com/enquete-wavestone-bilan-securite-sites-web-france

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Recherches web et processus d’achat : quelles sont les habitudes des ingénieurs et des techniciens ?

Recherches web et processus d’achat : quelles sont les habitudes des ingénieurs et des techniciens ?

Voilà une étude qui permet de briser quelques idées reçues ! Et non des moindres… La structure TREW Marketing publie une enquête menée auprès de profils techniques (ingénieurs, techniciens, managers, etc.) basés en Europe (France, Belgique, Allemagne, Pays-bas, Royaume-uni, etc.) à propos de leurs habitudes de recherches sur le web. À quelles sources font-ils confiance ? Quels types de contenus retiennent leur attention ? Jusqu’où vont-ils dans les pages de résultats (SERP) pour parvenir à leur fin ? Quelles interactions ont-ils avec les vendeurs ? Voici quelques-unes des questions posées, avec les réponses ci-dessous :

 

1. À quelles sources accordez-vous de la valeur lorsque vous faites des recherches techniques ?

Les moteurs de recherche (Google, Bing, etc.) trustent le podium. Juste derrière arrive le site web d’une entreprise experte dans son domaine. Les réseaux sociaux sont les grands perdants lorsqu’il s’agit de pertinence et de qualité…

2. En fonction de votre âge, quelles sources vous semblent les plus pertinentes pour vos recherches techniques ?

Les personnes âgées de 25 à 45 ans font plus confiance aux publications techniques spécialisées que les personnes plus âgées. Tandis que ces dernières font plus confiance aux moteurs de recherche…

3. Quels types de contenus ont vos faveurs ?

Les études de cas (study case), les livres blanc et les e-books occupent le haut du panier. Quand il s’agit d’obtenir des informations pointues, les ingénieurs n’hésitent pas à lire des contenus longs.

4. D’accord ou pas d’accord : est-ce qu’une entreprise qui publie régulièrement des contenus est plus engageante qu’une autre ?

La publication (rendre public) de contenus, et son bon référencement, sont donc bien un gage de confiance.

5. À qui faites-vous confiance pour la rédaction de contenus techniques ?

Les résultats sont assez serrés malgré tout :

6. À combien de newsletters êtes-vous abonné.e ?

Plus de 2 profils techniques sur 3 sont abonnés à entre 2 et 5 newsletters publiées régulièrement.

7. Jusqu’à quelle profondeur de pages de résultats (SERP) êtes-vous prêt à aller pour trouver la bonne information ?

C’est probablement l’une des plus grosses idées reçues qui tombe ici : la 1ère page Google ne représente que 5% des résultats ! La majorité des personnes interrogées vont jusqu’aux 2ème et 3ème page…

8. Lorsque vous remplissez un formulaire de contact, quelles sont les informations que vous êtes prêt.e à donner ?

Désormais nous le savons : les gens sont plutôt enclins à transmettre plus que leur adresse mail. Le prénom, le nom et le nom de leur structure (les 3 éléments qui composent une adresse mail généralement) ne font plus peur.

9. Accordez-vous beaucoup d’importance, d’impact, à la qualité d’un site web que vous visitez ?

Pour près de 75% des internautes, un site web bien conçu, propre, à l’aspect professionnel est un gage de confiance.

10. Quand vous prévoyez de faire un achat, préférez-vous être faire vos recherches de façon autonome avant ou préférez-vous faire appel à un.e vendeur.euse ?

La réponse est claire, nette et précise : 87% des personnes interrogées font d’abord leurs recherches seules, sans influence subie de la part d’un vendeur.

11. Lorsque vous êtes en phase d’achat, combien de fois êtes-vous prêt.e à avoir des interactions avec un.e vendeur.deuse ?

La réponse est logique avec le résultat ci-dessus : les gens sont désormais bien informés. Le vendeur ou la vendeuse sera là pour répondre aux ultimes interrogations. Le process d’achat s’est donc largement raccourci grâce à l’apport du web.

12. Quel âge avez-vous ?

13. Combien d’employés.es compte l’entreprise pour laquelle vous travaillez ?

14. Dans quel pays travaillez-vous ?

Pour lire ou télécharger l’étude complète (en anglais) :

Le saviez-vous ?
Vous pouvez afficher la publication en plein écran, télécharger le document en .pdf (nécessite un compte Calaméo gratuit), l’imprimer, mais aussi rechercher dans la publication ! Pratique, non ? 🙂

Source : https://www.trewmarketing.com/new-research-smart-marketing-for-engineers-europe-final-report

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Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

L’une des missions premières du marketing est de connaître ses clients potentiels : les fameuses « cibles ». Et c’est encore plus vrai dans le domaine du e-commerce. L’agence RAKUTEN Marketing a mené l’enquête afin de définir qui sont les nouveaux profils d’acheteurs sur le web.

L’infographie ci-dessous révèle 4 profils :

  • le discounter, à l’affût des meilleures affaires, des promos les plus intéressantes.
  • le luxe addict, un véritable ambassadeur de marques célèbres au pouvoir d’achat élevé
  • l’impulsif, qui agit au coup de coeur / coup de clic
  • le flâneur nomade, un aficionado de nouvelles technologies, tendance globe-trotter

Et vous, connaissez-vous quelqu’un de votre entourage qui ressemble à l’un de ces profils ? Vous, peut-être ? En quoi ces données peuvent vous être utiles pour votre stratégie marketing et pour votre site web marchand ?

E-commerce, site web marchand : 4 profils d'acheteurs, par Rakuten Marketing.

Source : https://www.leptidigital.fr/e-commerce/profils-acheteur-en-ligne-10848/

 

 

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SEO : les 40 erreurs techniques les plus fréquentes, par SEMrush

SEO : les 40 erreurs techniques les plus fréquentes, par SEMrush

SEMrush, une célèbre agence américaine de marketing online, publie une infographie forte intéressante : les 40 erreurs techniques les plus courantes en SEO. La voici.

Beaucoup d’éléments y sont abordés : les noms de domaines, les redirections, les liens cassés, la sitemap, le contenu rédactionnel, les images, la vitesse de chargement de la page, la technologie du site web, la compatibilité Responsive design, etc.

SEO / référencement naturel : 40 erreurs courantes, par SEMrush.

 Source : https://fr.semrush.com/blog/40-erreurs-de-seo-technique-etude-semrush-2017/

 

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Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Et si demain la visibilité d’une entreprise sur le web passait par son blog ? Et si demain le blog d’entreprise devenait le premier canal de prospection ? Et si demain c’était aujourd’hui ? Voici 4 bonnes raisons de créer et/ou de faire vivre son blog d’entreprise.

La mission première d’une entreprise est d’apporter de la valeur à ses clients : en résolvant une problématique, en fournissant un produit, un service, ou une expérience, par exemple. La conséquence se traduit par la création et l’augmentation d’un chiffre d’affaires, d’une marge, d’un EBE, d’un résultat net, etc.

Quand on entend les mots « web » et « entreprise » dans une même phrase, on pense à site web marchand, ou site vitrine qui présente des produits ou un savoir-faire particulier. Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises créent un blog d’entreprise. Mais pourquoi peut-on se demander ? À quoi ça sert ? Est-ce bénéfique pour l’entreprise ? Peut-on exiger un retour sur investissement rapide ? Et quel service de l’entreprise doit le gérer ? C’est ce que nous allons essayer de voir dans cet article.

Inbound marketing, définition

Comme nous le dit la définition Wikipedia, « L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher avec les techniques de marketing management traditionnelles, de type outbound marketing. Cette technique de marketing a été initiée par Seth Godin, inventeur du concept de permission marketing à l’origine de l’inbound Marketing : il faut attirer l’attention des prospects en produisant du contenu de qualité sur son site, afin qu’il soit fortement identifiable par les moteurs de recherche et partagé sur les réseaux sociaux. L’objectif est de gagner l’attention du prospect. On parle aussi de earned customers ou client acquis, par opposition aux paid customers ou clients achetés par de la publicité, du référencement payant, etc. »

« L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher. »

Blog : définition

À l’origine, un blog est une sorte de site web, sur lequel on publie des articles. D’ailleurs, on rattache souvent le mot « blog » au mot « personnel ». On y parle de tout et de rien, de coups de coeur, de coups de gueule, dans tous les domaines possibles et inimaginables : mode, beauté, nouvelles technologies, voitures, recettes de cuisine, livres, sorties cinéma, disques, etc.

De nombreux blogueurs et blogueuses défraient souvent la chronique, parce qu’ils ou elles, ont su créer un contenu qu’on ne trouvait nulle part ailleurs, s’attachant au passage des milliers, voire des centaines de milliers de « vues ». Alors, en quoi ces blogs peuvent nous servir dans le milieu de l’entreprise ?

1. Un blog d’entreprise : pour nos clients

Un appel téléphonique, le passage d’un commercial, une carte de voeux, une invitation à un déjeuner, une présence sur les réseaux sociaux, autant de signaux qu’une entreprise utilise pour dire à ses clients « youhou, on est là, on existe, on pense à vous ! ».

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

Vis-à-vis de nos clients, le blog d’entreprise et la rédaction d’articles permettent de tenir, pour une fois, un discours non-commercial. Du moins, en apparence. Conseils, astuces, veille technologique, actualités, témoignage clients, c’est la partie immergée de l’iceberg qu’on appelle « relation client ».

Le blog d’entreprise sert à nous rappeler au bon souvenir de nos clients. Pour qu’ils pensent à nous, le jour où. Sans parler de la crédibilité et de l’expertise que cela nous apporte par rapport à nos concurrents. Le maître-mot ? Toujours le même : se dé-mar-quer !

2. Un blog d’entreprise : pour nos prospects

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo », etc.

À condition qu’il soit bâti avec une bonne architecture, à condition que le contenu soit bon, qu’il respecte un certain nombre de règles, que les internautes l’apprécient car il apporte une réponse à ce qu’ils cherchent, et qu’ils le partagent sur les réseaux sociaux, alors les moteurs de recherche feront tout pour qu’on puisse trouver NOTRE blog.

C’est ainsi qu’on commencera à apparaître dans les premiers résultats des SERP (pages de résultats d’un moteur de recherche). Et parce que nous serons dans les premiers résultats, l’internaute, le prospect, ira cliquer sur notre blog d’entreprise pour trouver l’information ou le produit qu’il cherche.

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo ».

3. Un blog d’entreprise : pour notre communauté

L’entreprise ne se résume pas qu’à nous et nos clients. D’autres personnes, d’autres structures jouent un rôle considérable dans la vie d’une entreprise : les clients évidemment, mais aussi les prospects, les fournisseurs, les banques, les administrations, les contacts professionnels, les associations, les salariés potentiels, les agences d’intérim, les consultants, les business angels, les internautes lambda, ou les curieux tout simplement.

Aujourd’hui, beaucoup de gens, beaucoup de structures, beaucoup d’entreprises ont une page Facebook, un compte Google+, un compte Twitter, un profil LinkedIn ou Viadeo.

Et c’est là qu’un blog d’entreprise va être utile. Parce qu’un blog d’entreprise ne parle pas QUE de notre entreprise, mais parce qu’il parle également d’autres sujets.

Par exemple, vous êtes une entreprise de BTP ? Alors vous pouvez très bien publier un article sur la Réglementation Thermique 2012 pour informer votre communauté, et affirmer ainsi votre rôle de veille et d’expert. Vous vendez des véhicules ? Pourquoi ne pas publier un comparatif impartial entre deux modèles afin d’orienter au mieux vos prospects ?

Une fois que les articles sont rédigés et publiés sur notre blog, il est grand temps de les partager et de les faire vivre sur nos réseaux sociaux.

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

4. Un blog d’entreprise : pour Google

La mission première des moteurs de recherche est de trouver l’information que cherche l’internaute. L’information la plus fiable et la plus précise possible afin de ne pas faire perdre de temps à l’internaute. Par un subtil choix de mots-clé et d’expressions-clé, d’astuces légales et recommandées, nous allons justement pouvoir attirer l’attention des moteurs de recherche, donc des internautes :

  • les moteurs de recherche adorent les sites et les blogs bien faits, bien pensés, avec une facilité de navigation et de compréhension immédiate pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent trouver sur notre site ou notre blog du contenu original, pertinent, et intéressant pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent quand un contenu efficace est partagé et re-partagé sur les réseaux sociaux.

Créer un blog d’entreprise, le faire vivre, l’alimenter en articles et en contenus riches et intéressants, puis partager ces contenus sur les réseaux sociaux, tout ceci participe au cercle vertueux « nous / les moteurs de recherche / les internautes / les réseaux sociaux ».

Conclusion

Vous l’aurez compris, créer un blog d’entreprise, l’alimenter grâce à du contenu intéressant, en rapport avec notre métier, de près ou de loin, puis le partager sur nos réseaux sociaux d’entreprise, est un gage de professionnalisme. Cela rassure nos clients, attire des prospects, et crée un cercle vertueux avec les moteurs de recherche, Google pour n’en citer qu’un. Créer un blog d’entreprise oblige également à se poser des questions, sur son métier, sur ses fondamentaux, sur son avenir. En bref, un blog d’entreprise permet de créer de la valeur qui sera bénéfique dans tous les cas, et transformable en retour sur investissement, tôt ou tard.

Le blog d’entreprise permet d’intégrer un cercle vertueux.

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Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

En quoi un site internet de 2007 est différent d’un de 2017, et quelles sont les tendances (2027) à venir ? Quelle est désormais la place du web dans une stratégie marketing globale ? Vaut-il mieux améliorer par couches successives son site internet, ou le re-créer de A à Z ? Quels bénéfices peut-on offrir aujourd’hui à des internautes pour un échange gagnant-gagnant ?

 

Nous allons tenter d’apporter notre pierre à l’édifice en donnant quelques pistes de réflexion. Selon nous, voici 8 raisons de créer (ou de refaire) son site web.

 

Internet : de 1997 à 2017…

 

Le web grand public a 20 ans. Nous sommes en 1997, on parle de « netscape », « altavista », « yahoo ». Google n’existe pas encore (1998), Facebook encore moins (2004), les smartphones non plus (2007 pour le premier iPhone). La connexion internet avec un modem 56K, au bruit caractéristique, empêche de téléphoner en même temps (!). C’était les débuts du web.

 

10 ans plus tard, en 2007, les géants du web sont là : Google, Amazon, Facebook, Apple (les GAFA). En France, les grandes entreprises et les PME possèdent leur propre site web. Site vitrine, il permet d’afficher à l’internaute un certain nombre d’informations : pages web statiques, informations de contact, etc. Chez les particuliers, à la maison, on voit apparaître de plus en plus de « blogs » et de réseaux sociaux. On verra que cette influence « home » ne sera pas neutre…

 

Aujourd’hui, 2017, le marché est arrivé à maturité. Aux GAFA se sont ajoutées les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Les entreprises communiquent directement sur les réseaux sociaux, elles vendent en ligne, ajoutant un canal de distribution à leur stratégie commerciale, elles gèrent des publications cross-media, elles font attention à leur e-réputation, elles embauchent des Community Manager, des développeurs IT, des responsables de stratégie digitale, etc. Qui l’aurait cru il y a seulement 20 ans ?

 

Le web va vite, très vite. Mais il semble désormais que les internautes sont encore plus rapides dans leurs besoins exprimés. Le web a été créé pour la « masse », il est devenu un « outil de masse », et c’est désormais bien cette « masse » qui entend en prendre le pouvoir à terme, sur un modèle collaboratif et horizontal.

La page web de Yahoo, à l’époque…

Refaire son site web / raison n°1 : pour créer une stratégie numérique globale

 

Les grands groupes et les grandes entreprises savent parfaitement ce qu’est une stratégie digitale, nous ne nous attarderons donc pas sur cette cible particulière. Pour une TPE ou une PME de taille modeste, élaborer une stratégie numérique n’est pas si compliqué que cela en a l’air. Bien sûr, chaque entreprise définira son propre cahier des charges, mais la stratégie ci-dessous nous paraît remplir la fonction dans 80% des cas :

 

UN SITE WEB + UN BLOG + DES CONTENUS WEB + DES RÉSEAUX SOCIAUX = UN BON DÉPART POUR UNE STRATÉGIE DIGITALE.

 

Selon le type d’entreprise et la volonté (ou non) de vendre en ligne, on pourra y adjoindre un module (voire un site) de e-commerce. Des campagnes de publicité payantes (Google AdWords, Facebook Business, etc.) ne seront pas inutiles non plus. Dans de rares cas, une application mobile dédiée (AppStore, Google PlayStore, etc.) sera également nécessaire.

 

 

Raison n°2 : pour améliorer votre image de marque auprès de vos clients (et prospects)

 

Vous le savez, le premier réflexe d’un prospect qui a entendu parler de vous, mais qui ne vous connait pas encore, c’est de vous « googliser« . En d’autres termes : il tape dans son moteur de recherche favori votre nom, ou le nom de votre entreprise. Et là… gare aux surprises ! C’est à ce moment précis qu’on parle de votre e-réputation : ce que le web dit de vous.

 

En tout logique, c’est le nom de votre entreprise qui devrait apparaître en premier dans les pages de résultats (SERP). Peuvent venir ensuite d’autres sites, comme les réseaux sociaux, un compte Google My Business éventuellement, avec l’avis laissé d’internautes qui vous notent avec des étoiles allant de 1 (mauvais…) à 5 (excellent).

 

Vous le remarquerez, dans ces fameuses pages de résultats apparaissent souvent des documents .pdf (ceux-ci sont très bien référencés par les moteurs de recherche), un blog WordPress (idem, c’est l’une des technologies les plus SEO friendly qui soit), etc.

 

Un petit tour dans l’onglet « images » vous donnera également un aperçu des visuels qui sont référencés lorsqu’on tape votre nom ou celui de votre entreprise dans Google.

 

Vous l’aurez compris : les moteurs de recherche sont votre miroir… miroir accessible à tous. C’est d’ailleurs bien le but recherché ! La porte d’entrée de ce miroir, c’est donc votre site web. De par son design, son accessibilité, son ergonomie, son contenu, c’est directement votre image de marque qui sera appréhendée, en positif… comme en négatif…

 

Nous faisons tous des efforts pour bien « paraître » (tenue vestimentaire, langage, mails, véhicule, etc.). Votre site web est donc bien un outil supplémentaire sur lequel on portera une attention particulière.

 

Ah oui, une petite astuce : quand vous tapez votre nom ou celui de votre entreprise dans un moteur de recherche, pensez bien à vous mettre en navigation privée et à vider le cache de votre navigateur avant. Pourquoi ? Sinon les résultats sont biaisés par votre historique de recherches.

 

Raison n°3 pour créer ou refaire son site internet : faire table rase et repartir d’une page blanche

 

Il est parfois de bon ton de tout reposer à plat. Les années passent, les couches successives s’accumulent, ce qui semblait normal avant peut devenir une aberration aujourd’hui. Faire table rase permet de repenser des processus, une stratégie, et pourquoi pas une vision d’avenir.

 

Créer ou refaire son site web est un excellent atelier de brainstorming. Cela nous oblige à poser les bonnes questions : qui sommes-nous ? Qui sont nos clients ? Que leur proposons-nous ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui peut être amélioré / supprimé / accentué / créé ? Quelles simplifications pouvons-nous opérer ? Serait-ce le moment d’offrir à nos clients une innovation de rupture ? Quelles incidences la refonte d’un site internet peut avoir sur le management des équipes ?

 

De par l’évolution des technologies, mais aussi des internautes, la durée de vie d’un site web aujourd’hui dépassera rarement les 5 années. Repartir d’une page blanche tous les 5 ans permet de rester en veille, à l’affût de la « rumeur du web » et de ses évolutions. Évidemment, cela n’empêche pas des améliorations successives chaque année !

 

 

Raison n°4 : pour que votre site s’adapte automatiquement à tous les supports (PC, Mac, smartphones, tablettes)

 

 

Autrement dit : RESPONSIVE DESIGN ! Ce n’est plus à l’internaute de s’adapter à nous, mais bien nous qui devons nous adapter à l’internaute. Toute une philosophie…

 

Nous sommes connectés, c’est un fait. Nous commençons à checker nos mails sur ordinateur, puis nous devons partir et poursuivons sur une tablette. Un article publié sur Facebook et lu sur notre smartphone, il nous plait, hop, on l’enregistre pour le relire plus tard, à tête reposée, sur notre PC ou notre Mac. Tels sont les usages du web : s’adapter. Constamment.

 

En parlant d’adaptation, quoi de plus rageant que de naviguer sur un site web statique depuis son smartphone, et être obligé(e) de zoomer pour en lire le contenu, puis dézoomer, scroller, re-zoomer, etc.

 

Un site web aujourd’hui, et depuis 10 ans environ, se doit d’être adaptable, d’être responsive design, pour offrir à l’utilisateur la meilleure expérience web possible.

 

Raison n°5 d’améliorer son site internet : pour intégrer un blog d’entreprise

qui amène de l’actualité fraiche

 

Autrefois réservé aux « particuliers » qui souhaitaient partager avec une communauté sur un sujet précis, aujourd’hui le blog est un outil plébiscité par les entreprises. Pourquoi ? Parce qu’il permet d’établir une relation décalée avec ses clients et ses prospects : une relation de conseil. Par le biais de thématiques propres à votre métier, nous allons pouvoir rédiger des articles web, agrémentés de photos, d’infographies, et pourquoi pas de vidéos.

 

Par exemple, un cabinet spécialisé en immobilier d’entreprise va pouvoir rédiger des articles-conseil : « Faut-il louer ou acheter son local professionnel ? », ou « Nos 6 conseils pour améliorer le bien-être au travail », etc.

 

Autre exemple, un plombier pourra partager diverses astuces sous un format vidéo : « Comment réparer une fuite de lavabo ? », « Comment ajouter de la pression en eau dans une chaudière gaz ? », etc.

 

Bien sûr, ces articles seront partagés sur les réseaux sociaux de l’entreprises (Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, Instagram, etc.) afin de ramener l’internaute vers le blog de l’entreprise. Et, cerise sur le gâteau, les moteurs de recherche comme Google ou Bing sont très friands de ces articles-conseil, leur référencement s’en trouve donc amélioré… pour peu qu’on utilise la bonne technologie de blog, ainsi que quelques notions élémentaires en rédaction web.

 

Raison n°6 : pour développer un business grâce au e-commerce

 

Comme nous le disions plus haut, refaire son site web permet de se reposer certaines questions, et notamment des questions liées à la stratégie commerciale de l’entreprise. Un site web bien fait facilite le travail en avant-vente, mais il peut aussi servir à vendre en ligne !

 

Disons-le clairement : vendre en ligne du conseil ou des services n’est pas encore entré dans les moeurs. Tout comme acheter un objet représentant une somme conséquente (voiture, appartement, etc.) ne se fait pas encore en ajoutant une « voiture » dans un « panier » et en la payant en ligne avec sa carte bancaire…

 

Par contre, pour tout le reste, et notamment des produits allant de 1€ à 2500€, le marché du e-commerce est désormais mature. À partir du moment où on achète sur un site de confiance, rien n’empêche de dépenser des sommes importantes, pour un voyage par exemple.

 

Lorsque décision est prise de proposer à ses clients un site marchand, se posent de nouvelles questions : qui réalise le site e-commerce ? Est-ce un site 100% dédié ? Est-ce un module supplémentaire au site traditionnel ? Est-ce que je le fais en interne ? Est-ce que je fais sous-traiter à une agence web spécialisée en e-commerce ? Et qui va me faire les mises à jours ? La gestion des stocks ? La rédaction des fiches-produits ? Les photos ? Etc.

 

D’un point de vue technologique, deux gros prestataires open-source se disputent le haut du marché : WooCommerce (WordPress), et Prestashop. Notre préférence, à ce jour, va vers WooCommerce (c’est le module installé sur ce présent site, sur une version ultra-simplifiée), d’autres préféreront Prestashop. Nous vous laisserons fouiller sur le web pour trouver des comparatifs, tests, avis, etc.

 

 

Raison n°7 de créer son site internet : pour être plus visible dans les moteurs de recherche (#SEO #Optimisation #RéférencementNaturel !)

 

Avec une part de marché de 94.1%, Google reste le leader incontesté des moteurs de recherche en France. Cette situation hégémonique n’est pas sans poser quelques problèmes d’ailleurs à la Commission Européenne… Bref, être visible dans les moteurs de recherche, c’est donc être visible dans Google.

 

Petite question-piège : quel site web apparaît quasi-systématiquement dans la 1ère page de résultats Google (quand ce n’est pas en 1ère position…) ? Réponse : Wikipedia. Pourquoi ? Les réponses sont nombreuses : qualité des contenus, fréquence des mises à jour, liens internes à l’infini, articles complets à vocation encyclopédique, licence Creative Commons, ancienneté du site, etc.

 

ll suffit donc d’écrire des articles comme dans Wikipedia alors ? Oui… et non. Oui, parce que généralement la qualité des contenus est là, mais quantité d’autres facteurs jouent en faveur de Wikipedia, dont les liens internes et l’ancienneté du site, site qui a acquis au fur et à mesure des années (Wikipedia est né en 2001) ses lettres de noblesse auprès de Google.

 

Maintenant que nous avons fait un léger détour par Wikipedia, entrons dans le vif du sujet : la SEO (Search Engine Optimization, traduit par Optimisation pour les Moteurs de Recherche). Comme nous le dit l’encyclopédie :

 

« L’optimisation d’un site web passe par de multiples leviers internes : accessibilité des contenus, codage sémantique, mise en place d’une arborescence optimisée, maillage interne des pages, ajout de contenus frais. Mais les facteurs externes vont l’impacter fortement pour asseoir son autorité aux yeux des moteurs de recherche. Le nombre et la qualité des liens entrants, les signaux apportés par les réseaux sociaux sont autant de facteurs d’influence positifs. »

 

Certaines technologies de sites web sont naturellement optimisées pour la SEO et le référencement naturel, d’autres moins. L’accessibilité sur smartphones et tablettes jouent également un rôle important. Quantité d’autres leviers techniques sont à prendre en compte pour optimiser son référencement naturel, mais ce qui fait VRAIMENT la différence, c’est la qualité et la viralité du contenu proposé aux internautes. Dans ses algorithmes, Google prend réellement en compte cette viralité, permise notamment grâce aux réseaux sociaux.

Le Saint-Graal : apparaître en 1ère position dans Google. 😉

Enfin, raison n°8 : pour avoir la main sur les mises à jour…

 

Aujourd’hui, une agence web doit vous laisser la main (à votre demande bien sûr) sur les mises à jour de votre site internet, de votre blog, ou de votre site marchand. Réactivité, expertise-métier, liberté, « anti-monopole », voici quelques raisons de choisir une agence web ou un prestataire web qui ne vous verrouille pas.

 

 

1997, 2007, 2017, 2027 ?

 

Que sera le web en 2027, dans 10 ans ? Bien malin celui qui pourrait y répondre… Après un rapide brainstorming (de 2 minutes) dans le bureau, voici quelques pistes : 

  • « ce sera comme dans le film Minority report ! »
  • « le web n’existera plus comme on le connait »
  • « il n’y aura plus de terminaux, ou alors ils seront différents »
  • « les interfaces seront complètement dématérialisées »
  • « on aura des puces intégrées à nos cerveaux, dans une logique transhumaniste »
  • « le web sera ultra-méga rapide, plus aucun délai d’attente »
  • « ce sera devenu super simple de créer son site web »
  • « il y aura + de réseaux sociaux et – de sites internet »
  • « l’impact écologique du web sera tellement devenu énorme qu’on va tous mourir »
  • « au lieu d’écrire, on utilisera la voix, pour tout »

Trêve de plaisanterie, (quoique…), si on regarde les 3 grosses avancées majeures du web entre 2007 et 2017, ce sont :

  • l’affichage sur tous les types de supports (smartphones, tablettes, etc.)
  • les réseaux sociaux
  • le e-commerce

Que sera le web en 2027 ? Nous vous laissons imaginer les possibilités et nous en faire part dans le champ « commentaires » ci-dessous !

 

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Digitalisation des entreprises : ce que permet le web (et ce qu’il ne permet pas)

Digitalisation des entreprises : ce que permet le web (et ce qu’il ne permet pas)

Le web peut être l’objet de tous les fantasmes… ou de toutes les désillusions. Pour être certain(e) de ne pas être déçu(e), voici quelques bénéfices à tirer du web pour une entreprise en voie de digitalisation.

Commençons d’abord par chasser LA fausse croyance.

1. Ce que ne permet pas le web :

« Exploser » les chiffres de vente d’un business model traditionnel.

2. Maintenant, ce que permet le web pour la transformation digitale des entreprises :

Tous les services sont concernés…

Communication :

  • Donner une visibilité à l’entreprise
  • Renforcer une image de marque
  • Assurer une présence sur les réseaux sociaux
  • Communiquer des informations à vos clients et vos prospects
  • Gérer un espace et du contenu réservé aux membres

Marketing :

  • Favoriser une démarche d’innovation
  • Améliorer l’expérience utilisateur
  • Analyser les sources de création de valeur
  • Engager l’exploration d’un nouveau business model

Vente :

  • Vendre en ligne (produit, service, inscription, abonnement, téléchargement, etc.)
  • Faciliter une démarche de prospection
  • Ajouter une force de pré-vente à une équipe existante
  • Apporter des revenus complémentaires

Finance :

  • Rationaliser et simplifier les processus
  • Réaliser des économies d’échelle sur des frais traditionnels
  • Orienter le coût d’un collaborateur vers un métier à forte valeur ajoutée

Management / RH :

  • Entamer un processus de digitalisation de l’entreprise
  • Apporter une crédibilité RH vis-à-vis des nouvelles générations (Y, Z, Millenials, etc.)
  • Favoriser un management transversal
  • Impliquer les collaborateurs dans une démarche d’intrapreneuriat

Bien sûr, cette liste est non exhaustive, ce ne sont que quelques exemples… L’entreprise étant un organisme vivant, c’est bien l’humain (et non la technologie) qui fera réussir (ou pas) sa transformation numérique. Et vous, avez-vous déjà abordé une stratégie de digitalisation dans votre entreprise ? Quels sont les bénéfices que vous en tirez ? Quelles difficultés rencontrez-vous ? Qu’avez-vous appris de vos erreurs ?

3. Digitalisation des entreprises / Transformation digitale : définition(s) en 2 vidéos

Qu’est-ce que la transformation digitale ? Antoine Amiel, fondateur de LearnAssembly vous explique dans cette vidéo du MOOC Culture Digitale, pourquoi nous parlons de transformation digitale; pourquoi ce concept est aujourd’hui abondamment utilisé dans les grandes entreprises :

Depuis quelques années, ordinateurs, smartphones, tablettes digitales révolutionnent notre quotidien et transforment notre façon de consommer. Nous sommes inter-connectés en permanence, en tout lieu et pour tous les usages. Découvrez dans ce film comment, ce lien direct entre consommateurs et services, oblige les entreprises à réinventer leur modèle économique et toute la chaine interne de fonctionnement :

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