SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

« Je veux apparaître en premier dans Google ! ». Quelle agence web en SEO et en référencement naturel n’a pas entendu systématiquement cette requête de la part de son client ? Pourtant, la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche) est une science inexacte…

Pourquoi ? Parce que la SEO est en mutation constante ! On pensait avoir raison sur tel point ? Et hop ! Google met à jour son algorithme et vient bouleverser nos idées reçues. Oui, mais… il existe des bonnes pratiques dans le domaine de la SEO : viables, saines, durables.

Malgré le caractère inexact de cette science qu’est le référencement naturel, voici notre check-list en 18 points pour optimiser son positionnement dans Google, classés selon 4 thématiques :

  • l’intérêt du sujet et la qualité du contenu
  • les aspects techniques liés au site web ou au blog
  • les aspects techniques liés à la rédaction de l’article ou de la page
  • l’utilisation des réseaux sociaux et la viralité du contenu

1. LA règle en SEO : l’intérêt du sujet et la qualité du contenu

Traiter de sujets qui intéressent les gens : voici la première règle en SEO pour être visible ! C’est une évidence, mais on a souvent tendance à l’occulter, de façon inconsciente la plupart du temps. Pourquoi ? Parce qu’on a tellement envie de parler de NOTRE sujet, de NOTRE produit, qu’on en oublie de savoir si ça intéresse l’internaute…

Comment trouver des sujets qui intéressent les gens ? Réponse : être en alerte sur la « rumeur du monde ». C’est-à-dire les réseaux sociaux, les moteurs de recherche, les forums, les JT du 20h, les émissions de radio, les films au cinéma, les livres récemment parus, les salons locaux, les problématiques de nos clients, etc.

« Ok, j’ai trouvé un sujet intéressant, mais comment je fais pour le traiter de façon intéressante ? ». C’est aussi une question à ne pas occulter. Le mieux sera de se mettre à la place du lecteur et de se poser des questions comme « est-ce que j’ai appris quelque chose ? », « est-ce que ça m’a été utile ou je le savais déjà ? », « est-ce que ça donne envie de le partager avec mes amis ? ». Si on répond « non » à ces questions, alors il faut revoir sa copie…

SEO / référencement naturel, règle n°1 : être intéressant !

Les aspects SEO techniques liés au site web ou au blog

2. La disponibilité du site web / du serveur, la rapidité de chargement du site web

Autre évidence, mais assurons-nous d’avoir un site web, un serveur, un hébergeur avec un taux de disponibilité (donc d’affichage pour nos internautes…) proche de 100%. Ici, nous travaillons sous hébergement OVH, l’un des leaders en Europe… et français qui plus est (Lille).

Nous sommes comme tout le monde en ce qui concerne le web : il faut que ça aille vite ! Devoir patienter 10 secondes pour l’ouverture d’une page internet, et l’internaute passe son chemin. Pour mesurer et savoir comment optimiser le temps de chargement de votre site web, vous pouvez utiliser GT Metrix par exemple.

3. Un site adapté à tous les écrans : responsive design

On en vient naturellement à aborder le sujet des différentes tailles d’écran : ordinateur, tablette, smartphone. Votre site doit s’adapter automatiquement à l’appareil utilisé par l’internaute. En effet, rien de plus rébarbatif de consulter depuis son iPhone un site web conçu exclusivement pour les ordinateurs… La plupart des thèmes et des CMS sont maintenant d’office en Responsive design.

Vient ensuite un point important pour ce qui concerne les aspects techniques du site web : son ergonomie. Ou : « est-ce que mon site est intuitif ? ». Un site clair, bien fait, bien rangé, avec une fonctionnalité de recherche sera plus visité par les internautes. Il y a des chances pour qu’il se charge aussi plus rapidement. Bref, tout ceci participe au bon éco-système de votre SEO.

4. L’antériorité du site

Ah que ce point est injuste pour les « nouveaux-nés » ! En effet, un site qui possède une antériorité assez longue (de 3 à 15 ans, au moins), cela veut dire que la structure qui l’édite est pérenne, que le site est visité, que le contenu plait aux internautes, etc.

Bref, aux yeux des moteurs de recherche, vous avez peut-être un site dit « référent » avec un PageRank assez élevé. Et en terme de référencement naturel, un site pérenne et fréquemment mis à jour, c’est bon.

5. La fréquence de publications, des articles récents, la fréquentation du site, les sites référents

Plus on publie, plus on incite les robots des moteurs de recherche à venir « scanner » notre site web. Et inversement. Google veut du contenu bon… et frais. Si vous ne pouvez pas publier 30 articles par mois, pas de panique. Mieux vaut en publier 1 seul par semaine, mais de façon régulière. Cela laisse également plus de temps pour travailler sur son article. Qualité et quantité, un judicieux équilibre à trouver !

On l’a vu récemment ces derniers mois, les moteurs de recherche ont eu tendance à faire apparaître des articles vieux certains de plus de 10 ans ! Même si le défaut semble corrigé depuis, rien de plus frustrant de tomber sur un article dont le sujet n’est plus du tout à jour (évolutions technologiques, textes de lois différents, etc.). Comme pour le point précédent, publier régulièrement du contenu bon et frais permet de montrer aux moteurs de recherche que vous êtes un bon « élève ».

Plus un site est visité, plus son contenu plait, plus les internautes sont contents, et plus les moteurs de recherche sont contents, donc plus les moteurs de recherche le positionnent en première page, etc. Voilà un cercle vertueux dans lequel il peut être difficile de s’inscrire, mais une fois qu’on fait partie du cercle, la fréquentation va crescendo, et même de façon exponentielle.

Faisons une courte analogie : quand un ami de confiance nous recommande un restaurant ou un livre, eh bien on lui fait… confiance. Il en va de même entre sites internet. Si, par chance, vous connaissez un site qui est très bien référencé, et avec lequel vous pouvez échanger de bons procédés, ne vous en privez pas. Cela donne de la crédibilité à votre site internet.

6. Intégrer un blog d’entreprise et / ou un forum à votre site web

Le blog est un excellent moyen de donner de la visibilité à votre site internet. Il agit un peu comme un démultiplicateur pour vous offrir un véritable bras de levier dans certains cas. Nous le traitons dans cet article : pourquoi créer un blog d’entreprise ? Si vous parvenez à traiter de sujets qui sont recherchés par les internautes, et à y apporter une réponse, alors c’est gagné en terme de visibilité.

Tout autant que les blogs, vous avez déjà remarqué comme les forums sont très bien référencés dans les moteurs de recherche ? Véritables « bombes » de mots-clé et de champs lexicaux spécifiques, les sujets traités dans les forums (ainsi que les réponses) apparaissent très fréquemment dans les premières positions. Pourquoi ? Parce qu’à une problématique posée, une réponse est souvent apportée. Et le web adore rendre ce genre de services…

7. La technologie de codage du site web

Et pour le dernier point (non des moindres…) de cette thématique liée aux technologies du site internet : le codage ! Disons-le clairement : aujourd’hui, coder un site web à 100% c’est devenu très rare… Au mieux, pas besoin de coder (c’est l’avantage des CMS comme WordPress ou Joomla par exemple), ou si peu. Au pire, on fera travailler « ensemble » des extensions déjà codées, il restera donc à assembler ces lignes de code correctement. Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Les aspects SEO techniques liés à la rédaction

8. La structure de l’article de blog ou de la page web

Le web est une toile structurée… et qui adore les structures. Un article de blog ou une page web se doit également de respecter une certaine organisation, une certaine structure. Là, le web n’a pas inventé l’eau chaude, puisque les pratiques issues du journalisme font foi : titre, chapô (ou H2), paragraphes, inter-titres (H3), sous-intertitres (H4), photos, légendes, crédits, etc. Voici un exemple de structure pour un article de blog ou une page web :

9. Les mots-clé, le champ lexical, la sémantique

Une fois qu’on a choisi un sujet dont on sait qu’il va intéresser les internautes, il est temps de faire quelques recherches, afin de ne pas se fier complètement au hasard. En effet, on aura tendance à parler de « liquide à haute thermicité » lorsque notre internaute fera une requête sur les mots-clé « eau chaude ». Vous voyez la différence ? D’un côté, il y a ce qu’on croit être les bons mots-clé, de l’autre côté il y a la vérité : car les clients / internautes ont toujours raison au final. Quels outils utiliser pour déterminer les bons mots-clé ou expressions-clé ? Google nous en fournit quelques-uns :

  • Google Recherches associées (en bas de la page de résultats) :

10. Un titre accrocheur, percutant, vendeur (mais pas mensonger…)

Sur le web, vous trouverez des centaines d’articles qui traitent de cette thématique : comment rédiger des titres accrocheurs ? Voici quelques exemples de titres qu’on trouve habituellement dans des contenus sponsorisés comme Outbrain ou Taboola :

  • « Ces 20 stars se détestent plus que tout et on vous dit pourquoi » : le chiffre 20 interpelle, qui sont ces 20 personnes ? Ce sont des stars, donc on les connaît forcément, ça nous parle. Le registre émotionnel utilisé est celui de la haine. Enfin, on a la promesse d’apprendre quelques secrets.
  • « 15 voitures plébiscitées par les hipsters français » : la cible, c’est le hipster, cet individu un peu anti-conformiste (mais très consommateur…), habillé avec style et portant une barbe taillée et entretenue. Le titre est bien tourné car ce sont ces personnes qui choisissent pour nous (et non un magazine ou une marque…). Là encore, le chiffre 15 interpelle.
  • « Incroyable : une nouvelle source d’énergie pour chez soi » : là on joue sur le lexique émotionnel de la surprise, de la nouveauté. La cible est très large : on a tous un chez soi. Et avec l’essor des énergies renouvelables depuis quelques années, on a envie d’en savoir plus.
  • « Les 10 scènes de nu les plus marquantes du cinéma » : mais non, ce n’est pas pour la nudité des corps, c’est pour le cinéma ! Le désir, l’érotisme, le sexe ont toujours fait vendre. Mais c’est un sujet délicat à traiter lorsqu’on est une entreprise… 😉
  • « Frissons garantis : vous allez rester scotchés devant cette scène de rue tout simplement magique » : les émotions, encore et toujours. Frissons, scotchés, magique, des mots bien choisis qui touchent ce qu’il y a de plus intime en nous, et en même temps de plus universel : on marche tous dans la rue.

Maintenant, si on revient dans le domaine de l’entreprise, quelles techniques rédactionnelles ci-dessus pouvez-vous emprunter ? Lesquelles vous inspirent ?

11. Le style d’écriture : alterner rationnel et émotionnel

Une fois qu’on a trouvé le sujet dont on veut traiter, un titre accrocheur, qu’on a une idée de la structure de l’article, il est temps de s’intéresser au style d’écriture. Qu’on le veuille ou non, avec un peu d’entraînement, on a tous un style d’écriture (si si !), hérité de notre éducation, de notre personnalité, de nos croyances, de nos valeurs. La difficulté réside dans l’équilibre entre « ce qu’on est naturellement » et « l’image qu’on veut donner ». Idéalement, il faudrait le moins d’écart possible, mais ce n’est pas forcément évident dans le cadre professionnel.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ? Faire appel à nos deux cerveaux, celui de la raison et celui de la passion ? Vous aurez ainsi deux fois plus de chance de convaincre vos lecteurs / internautes / prospects / clients.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ?

12. La cible de lectorat ?

« Quand on écrit pour tout le monde, on n’écrit pour personne ». Définir sa cible de lectorat peut s’avérer très difficile, surtout quand on ne connait pas (encore) son lectorat… Le moyen le plus simple est d’imaginer qu’on s’adresse à une seule personne : une cliente, un prospect, un internaute qui nous suit sur les réseaux sociaux, une amie proche, un membre de sa famille, son patron, etc. Écrire pour une seule personne à la fois permet de donner plus de réalité, sonnante et trébuchante, au texte. Véridique ! Tous les grands orateurs le savent : ils ne s’adressent pas à la foule, mais à quelques personnes en particulier, bien choisies.

13. Des contenus visuels ludiques et pertinents

Sauf si on tombe sur une personne capable de lire des textes très longs et imbuvables pendant des heures, on aura tout intérêt à varier les contenus si on veut maintenir une attention intellectuelle de la part de notre internaute. Comme on l’a dit dans cet article traitant des infographies ou dans celui-ci traitant de la viralité de certaines vidéos, il est toujours intéressant de varier les formats de contenus qu’on diffuse sur notre site web ou notre blog. Tantôt ce sera un article composé de texte essentiellement, tantôt une infographie, tantôt une vidéo. Et quand on a un texte très long, il est important de le scinder par des respirations : des paragraphes clairs, des visuels percutants, une vidéo appropriée.

Une campagne de pub « percutante » pour lutter contre les violences routières.

14. La longueur de l’article, le nombre de mots

Quelle est la bonne longueur d’un article de blog ou d’une page web ? 300 mots ? 1000 caractères ? 1000 mots ? 1 page A4 ? Il n’y a pas de vérité établie, comme souvent. Certains préconisent au moins 300 mots, mais quid des articles avec juste un titre et une vidéo par exemple ? Et pourtant, rien ne les empêche de devenir viraux s’ils sont bons ?

Notre conseil est d’alterner la longueur des articles. Certains sujets seront plus courts à traiter (300 à 500 mots), d’autres plus longs car plus structurés (1500 / 2000 voire 3000 mots). « Oui mais les gens sont pressés et ils n’ont pas le temps ! ». Oui, bien sûr. Qui a du temps à consacrer à un sujet qui n’est pas intéressant ou traité de façon indifférente ? Personne ! Par contre, si on touche un sujet crucial ET traité intelligemment, quelles sont les limites ? Aucune. Pour preuve, quand on est pris dans un polar excellent, ne va-t-on pas au bout des 500 pages du pavé ? Dans une certaine mesure, il en va de même pour le web. Lire un article de blog de 4000 mots n’est pas un problème s’il traite d’un sujet crucial à nos yeux. Pour information, cet article fait 3450 mots.

15. Les méta-descriptions, les images, le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien, les URL, etc.

Bien sûr, on ne peut pas parler de SEO et ne pas aborder ces points. Dans l’article « 8 bonnes raisons de refaire son site web« , nous traitons de l’exemple de Wikipedia, c’est la raison n°7… et ce n’est pas inintéressant… 🙂

La méta-description

Une méta-description, c’est cette description de 2 lignes qu’on trouve sous le titre et sous l’URL, dans les pages de résultats des moteurs de recherche : Par défaut, Google la fabrique pour vous en prenant les deux premières lignes de texte de votre article. Et c’est généralement ce qu’on appelle le chapô, ou sous-titre, ou H2. D’où l’importance d’y accorder une attention particulière ! Sous WordPress, quelques outils, comme Yoast SEO par exemple, permettent de modifier la méta-description et d’imposer celle que vous souhaitez vraiment (indépendamment des deux premières lignes de votre article donc).

Les images / photos / visuels / infographies

Les images sont moins bien référencées par les moteurs de recherche que les textes. Il faut donc « injecter » un peu de texte aux images. Comment ? Par 3 façons : le titre de l’image (par exemple seo-referencement-naturel.jpg), son attribut Alt (ou texte alternatif, le texte qui s’affiche quand on positionne sa souris sur une image), la légende de la photo.

Et la taille des images dans tout ça ? Sauf cas bien particuliers, il est aberrant de voir s’afficher sur un site internet des images de 5000 pixels de large et pesant 15 Méga-octets. Pour l’image à la une d’un article ou pour une belle photo, une taille comprise entre 1000 et 1500px suffira amplement pour avoir un rendu net sur tous les types d’écran (Retina, etc.). Pour des images de moindre importance, une taille comprise entre 500 et 800 pixels conviendra la plupart du temps.

Si vous travaillez sous Mac, n’hésitez pas à utiliser l’application Aperçu, elle rend bien des services quand on n’est pas équipé de Photoshop ou Gimp. Sous PC, l’outil de base fonctionne également très bien pour gérer la taille des visuels, les rogner, etc.

Une URL optimisée

Si votre sujet traite de la loi de défiscalisation Pinel 2017″, votre URL devrait ressembler à ça : https://votre-site.com/loi-defiscalisation-pinel-2017 En aucun cas à ça : https://votre-site.com/p54637e33# Veillez donc bien à apporter un soin particulier à vos URL…

Le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien

L’un des meilleurs moyens de faire rester les internautes sur votre site, c’est de faire du maillage interne entre vos articles. Par exemple : « dans notre dernier article consacré au content marketing« , nous faisons un maillage interne. On renvoie vers un autre article de notre site. Si vous avez besoin de citer un article extérieur à votre site, c’est ce qu’on appelle un lien externe. Par exemple : « selon la définition Wikipedia, le content marketing est une… »

L’ancre de lien, c’est le texte visible par l’internaute et qui sert de support à un lien hypertexte. Les textes ci-dessus en rouge sont des ancres de lien. Privilégiez des ancres de lien lisibles par vos internautes ET qui contiennent les mots-clé dont votre article parle. Donc, à éviter : « pour lire notre dossier consacré au content marketing, cliquez ici« .

16. Et à la fin d’un article, on fait quoi ?

On appelle à l’action (CTA, pour Call To Action) ! Quelques exemples :

  • on incite à lire d’autres articles du même thème
  • on propose de s’inscrire à une newsletter pour recevoir les derniers articles
  • on renvoie vers une page de contact
  • on incite à télécharger un livre blanc au format .pdf en échange d’une adresse mail
  • etc.

Les aspects SEO liés à la viralité et aux réseaux sociaux

17. La viralité

Petite devinette : savez-vous pourquoi Facebook rencontre un si vif succès ? Pourquoi les internautes adorent aller sur Facebook ? Réponse : parce que Facebook flatte l’égo des internautes. Analysez les posts Facebook qui fonctionnement le mieux en terme de vues, de likes, de partages et de commentaires, et c’est flagrant…

En tout état de cause, on a bien plus de chance de provoquer la viralité d’un article si on traite d’un sujet qui intéresse les gens ! C’est une évidence, mais on ne se l’applique pas forcément tout le temps !

Ensuite, certains sujets, certains tons, certains débats entraînent naturellement une viralité. Prenez votre site web informatif préféré (lemonde.fr, lefigaro.fr, lequipe.fr, etc.) et analysez les articles qui sont les plus lus ou les plus commentés. Regardez le titre, la structure de l’article, le ton journalistique, les questions posées à la fin, tout ceci nous permet de savoir quels types d’articles fonctionnent. Il en va de même pour la vidéo : quels sont les 3 ingrédients nécessaires à la viralité dans une vidéo ?

18. Les réseaux sociaux, le cercle vertueux

Si on devait faire une analogie, les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, Google+, etc. sont la caisse de résonance de votre violon, l’amplificateur de votre guitare électrique, le micro de votre voix. Autre image : grâce aux réseaux sociaux, on n’attend plus que le prospect vienne chez nous, c’est nous qui allons là où il se trouve.

Bref, vous l’aurez compris, et nous en avions parlé également dans cet article dédié à l’inbound marketing, les réseaux sociaux font partie intégrante du cercle vertueux composé de ces étapes :

  • votre site web ou votre blog d’entreprise
  • sur lequel sont affichés vos contenus web (articles, infographies, vidéos, etc.)
  • qui sont référencés par les moteurs de recherche
  • internautes qui « tombent » sur votre article grâce aux moteurs de recherche
  • les internautes sont donc renvoyés vers votre site web ou votre blog
  • et si le contenu leur plait, ils le partageront sur les réseaux sociaux
  • ainsi leurs « amis » et connaissances pourront également eux aussi accéder à votre blog ou votre site
  • etc.

Et vous, quelles bonnes pratiques en terme de SEO et de référencement naturel avez-vous pu mettre en place pour votre structure ? Est-ce que ça a fonctionné en terme d’impact ? Avez-vous pu mesurer un retour sur investissement ?

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Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Et si demain la visibilité d’une entreprise sur le web passait par son blog ? Et si demain le blog d’entreprise devenait le premier canal de prospection ? Et si demain c’était aujourd’hui ? Voici 4 bonnes raisons de créer et/ou de faire vivre son blog d’entreprise.

La mission première d’une entreprise est d’apporter de la valeur à ses clients : en résolvant une problématique, en fournissant un produit, un service, ou une expérience, par exemple. La conséquence se traduit par la création et l’augmentation d’un chiffre d’affaires, d’une marge, d’un EBE, d’un résultat net, etc.

Quand on entend les mots « web » et « entreprise » dans une même phrase, on pense à site web marchand, ou site vitrine qui présente des produits ou un savoir-faire particulier. Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises créent un blog d’entreprise. Mais pourquoi peut-on se demander ? À quoi ça sert ? Est-ce bénéfique pour l’entreprise ? Peut-on exiger un retour sur investissement rapide ? Et quel service de l’entreprise doit le gérer ? C’est ce que nous allons essayer de voir dans cet article.

Inbound marketing, définition

Comme nous le dit la définition Wikipedia, « L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher avec les techniques de marketing management traditionnelles, de type outbound marketing. Cette technique de marketing a été initiée par Seth Godin, inventeur du concept de permission marketing à l’origine de l’inbound Marketing : il faut attirer l’attention des prospects en produisant du contenu de qualité sur son site, afin qu’il soit fortement identifiable par les moteurs de recherche et partagé sur les réseaux sociaux. L’objectif est de gagner l’attention du prospect. On parle aussi de earned customers ou client acquis, par opposition aux paid customers ou clients achetés par de la publicité, du référencement payant, etc. »

« L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher. »

Blog : définition

À l’origine, un blog est une sorte de site web, sur lequel on publie des articles. D’ailleurs, on rattache souvent le mot « blog » au mot « personnel ». On y parle de tout et de rien, de coups de coeur, de coups de gueule, dans tous les domaines possibles et inimaginables : mode, beauté, nouvelles technologies, voitures, recettes de cuisine, livres, sorties cinéma, disques, etc.

De nombreux blogueurs et blogueuses défraient souvent la chronique, parce qu’ils ou elles, ont su créer un contenu qu’on ne trouvait nulle part ailleurs, s’attachant au passage des milliers, voire des centaines de milliers de « vues ». Alors, en quoi ces blogs peuvent nous servir dans le milieu de l’entreprise ?

1. Un blog d’entreprise : pour nos clients

Un appel téléphonique, le passage d’un commercial, une carte de voeux, une invitation à un déjeuner, une présence sur les réseaux sociaux, autant de signaux qu’une entreprise utilise pour dire à ses clients « youhou, on est là, on existe, on pense à vous ! ».

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

Vis-à-vis de nos clients, le blog d’entreprise et la rédaction d’articles permettent de tenir, pour une fois, un discours non-commercial. Du moins, en apparence. Conseils, astuces, veille technologique, actualités, témoignage clients, c’est la partie immergée de l’iceberg qu’on appelle « relation client ».

Le blog d’entreprise sert à nous rappeler au bon souvenir de nos clients. Pour qu’ils pensent à nous, le jour où. Sans parler de la crédibilité et de l’expertise que cela nous apporte par rapport à nos concurrents. Le maître-mot ? Toujours le même : se dé-mar-quer !

2. Un blog d’entreprise : pour nos prospects

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo », etc.

À condition qu’il soit bâti avec une bonne architecture, à condition que le contenu soit bon, qu’il respecte un certain nombre de règles, que les internautes l’apprécient car il apporte une réponse à ce qu’ils cherchent, et qu’ils le partagent sur les réseaux sociaux, alors les moteurs de recherche feront tout pour qu’on puisse trouver NOTRE blog.

C’est ainsi qu’on commencera à apparaître dans les premiers résultats des SERP (pages de résultats d’un moteur de recherche). Et parce que nous serons dans les premiers résultats, l’internaute, le prospect, ira cliquer sur notre blog d’entreprise pour trouver l’information ou le produit qu’il cherche.

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo ».

3. Un blog d’entreprise : pour notre communauté

L’entreprise ne se résume pas qu’à nous et nos clients. D’autres personnes, d’autres structures jouent un rôle considérable dans la vie d’une entreprise : les clients évidemment, mais aussi les prospects, les fournisseurs, les banques, les administrations, les contacts professionnels, les associations, les salariés potentiels, les agences d’intérim, les consultants, les business angels, les internautes lambda, ou les curieux tout simplement.

Aujourd’hui, beaucoup de gens, beaucoup de structures, beaucoup d’entreprises ont une page Facebook, un compte Google+, un compte Twitter, un profil LinkedIn ou Viadeo.

Et c’est là qu’un blog d’entreprise va être utile. Parce qu’un blog d’entreprise ne parle pas QUE de notre entreprise, mais parce qu’il parle également d’autres sujets.

Par exemple, vous êtes une entreprise de BTP ? Alors vous pouvez très bien publier un article sur la Réglementation Thermique 2012 pour informer votre communauté, et affirmer ainsi votre rôle de veille et d’expert. Vous vendez des véhicules ? Pourquoi ne pas publier un comparatif impartial entre deux modèles afin d’orienter au mieux vos prospects ?

Une fois que les articles sont rédigés et publiés sur notre blog, il est grand temps de les partager et de les faire vivre sur nos réseaux sociaux.

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

4. Un blog d’entreprise : pour Google

La mission première des moteurs de recherche est de trouver l’information que cherche l’internaute. L’information la plus fiable et la plus précise possible afin de ne pas faire perdre de temps à l’internaute. Par un subtil choix de mots-clé et d’expressions-clé, d’astuces légales et recommandées, nous allons justement pouvoir attirer l’attention des moteurs de recherche, donc des internautes :

  • les moteurs de recherche adorent les sites et les blogs bien faits, bien pensés, avec une facilité de navigation et de compréhension immédiate pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent trouver sur notre site ou notre blog du contenu original, pertinent, et intéressant pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent quand un contenu efficace est partagé et re-partagé sur les réseaux sociaux.

Créer un blog d’entreprise, le faire vivre, l’alimenter en articles et en contenus riches et intéressants, puis partager ces contenus sur les réseaux sociaux, tout ceci participe au cercle vertueux « nous / les moteurs de recherche / les internautes / les réseaux sociaux ».

Conclusion

Vous l’aurez compris, créer un blog d’entreprise, l’alimenter grâce à du contenu intéressant, en rapport avec notre métier, de près ou de loin, puis le partager sur nos réseaux sociaux d’entreprise, est un gage de professionnalisme. Cela rassure nos clients, attire des prospects, et crée un cercle vertueux avec les moteurs de recherche, Google pour n’en citer qu’un. Créer un blog d’entreprise oblige également à se poser des questions, sur son métier, sur ses fondamentaux, sur son avenir. En bref, un blog d’entreprise permet de créer de la valeur qui sera bénéfique dans tous les cas, et transformable en retour sur investissement, tôt ou tard.

Le blog d’entreprise permet d’intégrer un cercle vertueux.

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Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

En quoi un site internet de 2007 est différent d’un de 2017, et quelles sont les tendances (2027) à venir ? Quelle est désormais la place du web dans une stratégie marketing globale ? Vaut-il mieux améliorer par couches successives son site internet, ou le re-créer de A à Z ? Quels bénéfices peut-on offrir aujourd’hui à des internautes pour un échange gagnant-gagnant ?

 

Nous allons tenter d’apporter notre pierre à l’édifice en donnant quelques pistes de réflexion. Selon nous, voici 8 raisons de créer (ou de refaire) son site web.

 

Internet : de 1997 à 2017…

 

Le web grand public a 20 ans. Nous sommes en 1997, on parle de « netscape », « altavista », « yahoo ». Google n’existe pas encore (1998), Facebook encore moins (2004), les smartphones non plus (2007 pour le premier iPhone). La connexion internet avec un modem 56K, au bruit caractéristique, empêche de téléphoner en même temps (!). C’était les débuts du web.

 

10 ans plus tard, en 2007, les géants du web sont là : Google, Amazon, Facebook, Apple (les GAFA). En France, les grandes entreprises et les PME possèdent leur propre site web. Site vitrine, il permet d’afficher à l’internaute un certain nombre d’informations : pages web statiques, informations de contact, etc. Chez les particuliers, à la maison, on voit apparaître de plus en plus de « blogs » et de réseaux sociaux. On verra que cette influence « home » ne sera pas neutre…

 

Aujourd’hui, 2017, le marché est arrivé à maturité. Aux GAFA se sont ajoutées les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Les entreprises communiquent directement sur les réseaux sociaux, elles vendent en ligne, ajoutant un canal de distribution à leur stratégie commerciale, elles gèrent des publications cross-media, elles font attention à leur e-réputation, elles embauchent des Community Manager, des développeurs IT, des responsables de stratégie digitale, etc. Qui l’aurait cru il y a seulement 20 ans ?

 

Le web va vite, très vite. Mais il semble désormais que les internautes sont encore plus rapides dans leurs besoins exprimés. Le web a été créé pour la « masse », il est devenu un « outil de masse », et c’est désormais bien cette « masse » qui entend en prendre le pouvoir à terme, sur un modèle collaboratif et horizontal.

La page web de Yahoo, à l’époque…

Refaire son site web / raison n°1 : pour créer une stratégie numérique globale

 

Les grands groupes et les grandes entreprises savent parfaitement ce qu’est une stratégie digitale, nous ne nous attarderons donc pas sur cette cible particulière. Pour une TPE ou une PME de taille modeste, élaborer une stratégie numérique n’est pas si compliqué que cela en a l’air. Bien sûr, chaque entreprise définira son propre cahier des charges, mais la stratégie ci-dessous nous paraît remplir la fonction dans 80% des cas :

 

UN SITE WEB + UN BLOG + DES CONTENUS WEB + DES RÉSEAUX SOCIAUX = UN BON DÉPART POUR UNE STRATÉGIE DIGITALE.

 

Selon le type d’entreprise et la volonté (ou non) de vendre en ligne, on pourra y adjoindre un module (voire un site) de e-commerce. Des campagnes de publicité payantes (Google AdWords, Facebook Business, etc.) ne seront pas inutiles non plus. Dans de rares cas, une application mobile dédiée (AppStore, Google PlayStore, etc.) sera également nécessaire.

 

 

Raison n°2 : pour améliorer votre image de marque auprès de vos clients (et prospects)

 

Vous le savez, le premier réflexe d’un prospect qui a entendu parler de vous, mais qui ne vous connait pas encore, c’est de vous « googliser« . En d’autres termes : il tape dans son moteur de recherche favori votre nom, ou le nom de votre entreprise. Et là… gare aux surprises ! C’est à ce moment précis qu’on parle de votre e-réputation : ce que le web dit de vous.

 

En tout logique, c’est le nom de votre entreprise qui devrait apparaître en premier dans les pages de résultats (SERP). Peuvent venir ensuite d’autres sites, comme les réseaux sociaux, un compte Google My Business éventuellement, avec l’avis laissé d’internautes qui vous notent avec des étoiles allant de 1 (mauvais…) à 5 (excellent).

 

Vous le remarquerez, dans ces fameuses pages de résultats apparaissent souvent des documents .pdf (ceux-ci sont très bien référencés par les moteurs de recherche), un blog WordPress (idem, c’est l’une des technologies les plus SEO friendly qui soit), etc.

 

Un petit tour dans l’onglet « images » vous donnera également un aperçu des visuels qui sont référencés lorsqu’on tape votre nom ou celui de votre entreprise dans Google.

 

Vous l’aurez compris : les moteurs de recherche sont votre miroir… miroir accessible à tous. C’est d’ailleurs bien le but recherché ! La porte d’entrée de ce miroir, c’est donc votre site web. De par son design, son accessibilité, son ergonomie, son contenu, c’est directement votre image de marque qui sera appréhendée, en positif… comme en négatif…

 

Nous faisons tous des efforts pour bien « paraître » (tenue vestimentaire, langage, mails, véhicule, etc.). Votre site web est donc bien un outil supplémentaire sur lequel on portera une attention particulière.

 

Ah oui, une petite astuce : quand vous tapez votre nom ou celui de votre entreprise dans un moteur de recherche, pensez bien à vous mettre en navigation privée et à vider le cache de votre navigateur avant. Pourquoi ? Sinon les résultats sont biaisés par votre historique de recherches.

 

Raison n°3 pour créer ou refaire son site internet : faire table rase et repartir d’une page blanche

 

Il est parfois de bon ton de tout reposer à plat. Les années passent, les couches successives s’accumulent, ce qui semblait normal avant peut devenir une aberration aujourd’hui. Faire table rase permet de repenser des processus, une stratégie, et pourquoi pas une vision d’avenir.

 

Créer ou refaire son site web est un excellent atelier de brainstorming. Cela nous oblige à poser les bonnes questions : qui sommes-nous ? Qui sont nos clients ? Que leur proposons-nous ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui peut être amélioré / supprimé / accentué / créé ? Quelles simplifications pouvons-nous opérer ? Serait-ce le moment d’offrir à nos clients une innovation de rupture ? Quelles incidences la refonte d’un site internet peut avoir sur le management des équipes ?

 

De par l’évolution des technologies, mais aussi des internautes, la durée de vie d’un site web aujourd’hui dépassera rarement les 5 années. Repartir d’une page blanche tous les 5 ans permet de rester en veille, à l’affût de la « rumeur du web » et de ses évolutions. Évidemment, cela n’empêche pas des améliorations successives chaque année !

 

 

Raison n°4 : pour que votre site s’adapte automatiquement à tous les supports (PC, Mac, smartphones, tablettes)

 

 

Autrement dit : RESPONSIVE DESIGN ! Ce n’est plus à l’internaute de s’adapter à nous, mais bien nous qui devons nous adapter à l’internaute. Toute une philosophie…

 

Nous sommes connectés, c’est un fait. Nous commençons à checker nos mails sur ordinateur, puis nous devons partir et poursuivons sur une tablette. Un article publié sur Facebook et lu sur notre smartphone, il nous plait, hop, on l’enregistre pour le relire plus tard, à tête reposée, sur notre PC ou notre Mac. Tels sont les usages du web : s’adapter. Constamment.

 

En parlant d’adaptation, quoi de plus rageant que de naviguer sur un site web statique depuis son smartphone, et être obligé(e) de zoomer pour en lire le contenu, puis dézoomer, scroller, re-zoomer, etc.

 

Un site web aujourd’hui, et depuis 10 ans environ, se doit d’être adaptable, d’être responsive design, pour offrir à l’utilisateur la meilleure expérience web possible.

 

Raison n°5 d’améliorer son site internet : pour intégrer un blog d’entreprise

qui amène de l’actualité fraiche

 

Autrefois réservé aux « particuliers » qui souhaitaient partager avec une communauté sur un sujet précis, aujourd’hui le blog est un outil plébiscité par les entreprises. Pourquoi ? Parce qu’il permet d’établir une relation décalée avec ses clients et ses prospects : une relation de conseil. Par le biais de thématiques propres à votre métier, nous allons pouvoir rédiger des articles web, agrémentés de photos, d’infographies, et pourquoi pas de vidéos.

 

Par exemple, un cabinet spécialisé en immobilier d’entreprise va pouvoir rédiger des articles-conseil : « Faut-il louer ou acheter son local professionnel ? », ou « Nos 6 conseils pour améliorer le bien-être au travail », etc.

 

Autre exemple, un plombier pourra partager diverses astuces sous un format vidéo : « Comment réparer une fuite de lavabo ? », « Comment ajouter de la pression en eau dans une chaudière gaz ? », etc.

 

Bien sûr, ces articles seront partagés sur les réseaux sociaux de l’entreprises (Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, Instagram, etc.) afin de ramener l’internaute vers le blog de l’entreprise. Et, cerise sur le gâteau, les moteurs de recherche comme Google ou Bing sont très friands de ces articles-conseil, leur référencement s’en trouve donc amélioré… pour peu qu’on utilise la bonne technologie de blog, ainsi que quelques notions élémentaires en rédaction web.

 

Raison n°6 : pour développer un business grâce au e-commerce

 

Comme nous le disions plus haut, refaire son site web permet de se reposer certaines questions, et notamment des questions liées à la stratégie commerciale de l’entreprise. Un site web bien fait facilite le travail en avant-vente, mais il peut aussi servir à vendre en ligne !

 

Disons-le clairement : vendre en ligne du conseil ou des services n’est pas encore entré dans les moeurs. Tout comme acheter un objet représentant une somme conséquente (voiture, appartement, etc.) ne se fait pas encore en ajoutant une « voiture » dans un « panier » et en la payant en ligne avec sa carte bancaire…

 

Par contre, pour tout le reste, et notamment des produits allant de 1€ à 2500€, le marché du e-commerce est désormais mature. À partir du moment où on achète sur un site de confiance, rien n’empêche de dépenser des sommes importantes, pour un voyage par exemple.

 

Lorsque décision est prise de proposer à ses clients un site marchand, se posent de nouvelles questions : qui réalise le site e-commerce ? Est-ce un site 100% dédié ? Est-ce un module supplémentaire au site traditionnel ? Est-ce que je le fais en interne ? Est-ce que je fais sous-traiter à une agence web spécialisée en e-commerce ? Et qui va me faire les mises à jours ? La gestion des stocks ? La rédaction des fiches-produits ? Les photos ? Etc.

 

D’un point de vue technologique, deux gros prestataires open-source se disputent le haut du marché : WooCommerce (WordPress), et Prestashop. Notre préférence, à ce jour, va vers WooCommerce (c’est le module installé sur ce présent site, sur une version ultra-simplifiée), d’autres préféreront Prestashop. Nous vous laisserons fouiller sur le web pour trouver des comparatifs, tests, avis, etc.

 

 

Raison n°7 de créer son site internet : pour être plus visible dans les moteurs de recherche (#SEO #Optimisation #RéférencementNaturel !)

 

Avec une part de marché de 94.1%, Google reste le leader incontesté des moteurs de recherche en France. Cette situation hégémonique n’est pas sans poser quelques problèmes d’ailleurs à la Commission Européenne… Bref, être visible dans les moteurs de recherche, c’est donc être visible dans Google.

 

Petite question-piège : quel site web apparaît quasi-systématiquement dans la 1ère page de résultats Google (quand ce n’est pas en 1ère position…) ? Réponse : Wikipedia. Pourquoi ? Les réponses sont nombreuses : qualité des contenus, fréquence des mises à jour, liens internes à l’infini, articles complets à vocation encyclopédique, licence Creative Commons, ancienneté du site, etc.

 

ll suffit donc d’écrire des articles comme dans Wikipedia alors ? Oui… et non. Oui, parce que généralement la qualité des contenus est là, mais quantité d’autres facteurs jouent en faveur de Wikipedia, dont les liens internes et l’ancienneté du site, site qui a acquis au fur et à mesure des années (Wikipedia est né en 2001) ses lettres de noblesse auprès de Google.

 

Maintenant que nous avons fait un léger détour par Wikipedia, entrons dans le vif du sujet : la SEO (Search Engine Optimization, traduit par Optimisation pour les Moteurs de Recherche). Comme nous le dit l’encyclopédie :

 

« L’optimisation d’un site web passe par de multiples leviers internes : accessibilité des contenus, codage sémantique, mise en place d’une arborescence optimisée, maillage interne des pages, ajout de contenus frais. Mais les facteurs externes vont l’impacter fortement pour asseoir son autorité aux yeux des moteurs de recherche. Le nombre et la qualité des liens entrants, les signaux apportés par les réseaux sociaux sont autant de facteurs d’influence positifs. »

 

Certaines technologies de sites web sont naturellement optimisées pour la SEO et le référencement naturel, d’autres moins. L’accessibilité sur smartphones et tablettes jouent également un rôle important. Quantité d’autres leviers techniques sont à prendre en compte pour optimiser son référencement naturel, mais ce qui fait VRAIMENT la différence, c’est la qualité et la viralité du contenu proposé aux internautes. Dans ses algorithmes, Google prend réellement en compte cette viralité, permise notamment grâce aux réseaux sociaux.

Le Saint-Graal : apparaître en 1ère position dans Google. 😉

Enfin, raison n°8 : pour avoir la main sur les mises à jour…

 

Aujourd’hui, une agence web doit vous laisser la main (à votre demande bien sûr) sur les mises à jour de votre site internet, de votre blog, ou de votre site marchand. Réactivité, expertise-métier, liberté, « anti-monopole », voici quelques raisons de choisir une agence web ou un prestataire web qui ne vous verrouille pas.

 

 

1997, 2007, 2017, 2027 ?

 

Que sera le web en 2027, dans 10 ans ? Bien malin celui qui pourrait y répondre… Après un rapide brainstorming (de 2 minutes) dans le bureau, voici quelques pistes : 

  • « ce sera comme dans le film Minority report ! »
  • « le web n’existera plus comme on le connait »
  • « il n’y aura plus de terminaux, ou alors ils seront différents »
  • « les interfaces seront complètement dématérialisées »
  • « on aura des puces intégrées à nos cerveaux, dans une logique transhumaniste »
  • « le web sera ultra-méga rapide, plus aucun délai d’attente »
  • « ce sera devenu super simple de créer son site web »
  • « il y aura + de réseaux sociaux et – de sites internet »
  • « l’impact écologique du web sera tellement devenu énorme qu’on va tous mourir »
  • « au lieu d’écrire, on utilisera la voix, pour tout »

Trêve de plaisanterie, (quoique…), si on regarde les 3 grosses avancées majeures du web entre 2007 et 2017, ce sont :

  • l’affichage sur tous les types de supports (smartphones, tablettes, etc.)
  • les réseaux sociaux
  • le e-commerce

Que sera le web en 2027 ? Nous vous laissons imaginer les possibilités et nous en faire part dans le champ « commentaires » ci-dessous !

 

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