Recherches web et processus d’achat : quelles sont les habitudes des ingénieurs et des techniciens ?

Recherches web et processus d’achat : quelles sont les habitudes des ingénieurs et des techniciens ?

Voilà une étude qui permet de briser quelques idées reçues ! Et non des moindres… La structure TREW Marketing publie une enquête menée auprès de profils techniques (ingénieurs, techniciens, managers, etc.) basés en Europe (France, Belgique, Allemagne, Pays-bas, Royaume-uni, etc.) à propos de leurs habitudes de recherches sur le web. À quelles sources font-ils confiance ? Quels types de contenus retiennent leur attention ? Jusqu’où vont-ils dans les pages de résultats (SERP) pour parvenir à leur fin ? Quelles interactions ont-ils avec les vendeurs ? Voici quelques-unes des questions posées, avec les réponses ci-dessous :

 

1. À quelles sources accordez-vous de la valeur lorsque vous faites des recherches techniques ?

Les moteurs de recherche (Google, Bing, etc.) trustent le podium. Juste derrière arrive le site web d’une entreprise experte dans son domaine. Les réseaux sociaux sont les grands perdants lorsqu’il s’agit de pertinence et de qualité…

2. En fonction de votre âge, quelles sources vous semblent les plus pertinentes pour vos recherches techniques ?

Les personnes âgées de 25 à 45 ans font plus confiance aux publications techniques spécialisées que les personnes plus âgées. Tandis que ces dernières font plus confiance aux moteurs de recherche…

3. Quels types de contenus ont vos faveurs ?

Les études de cas (study case), les livres blanc et les e-books occupent le haut du panier. Quand il s’agit d’obtenir des informations pointues, les ingénieurs n’hésitent pas à lire des contenus longs.

4. D’accord ou pas d’accord : est-ce qu’une entreprise qui publie régulièrement des contenus est plus engageante qu’une autre ?

La publication (rendre public) de contenus, et son bon référencement, sont donc bien un gage de confiance.

5. À qui faites-vous confiance pour la rédaction de contenus techniques ?

Les résultats sont assez serrés malgré tout :

6. À combien de newsletters êtes-vous abonné.e ?

Plus de 2 profils techniques sur 3 sont abonnés à entre 2 et 5 newsletters publiées régulièrement.

7. Jusqu’à quelle profondeur de pages de résultats (SERP) êtes-vous prêt à aller pour trouver la bonne information ?

C’est probablement l’une des plus grosses idées reçues qui tombe ici : la 1ère page Google ne représente que 5% des résultats ! La majorité des personnes interrogées vont jusqu’aux 2ème et 3ème page…

8. Lorsque vous remplissez un formulaire de contact, quelles sont les informations que vous êtes prêt.e à donner ?

Désormais nous le savons : les gens sont plutôt enclins à transmettre plus que leur adresse mail. Le prénom, le nom et le nom de leur structure (les 3 éléments qui composent une adresse mail généralement) ne font plus peur.

9. Accordez-vous beaucoup d’importance, d’impact, à la qualité d’un site web que vous visitez ?

Pour près de 75% des internautes, un site web bien conçu, propre, à l’aspect professionnel est un gage de confiance.

10. Quand vous prévoyez de faire un achat, préférez-vous être faire vos recherches de façon autonome avant ou préférez-vous faire appel à un.e vendeur.euse ?

La réponse est claire, nette et précise : 87% des personnes interrogées font d’abord leurs recherches seules, sans influence subie de la part d’un vendeur.

11. Lorsque vous êtes en phase d’achat, combien de fois êtes-vous prêt.e à avoir des interactions avec un.e vendeur.deuse ?

La réponse est logique avec le résultat ci-dessus : les gens sont désormais bien informés. Le vendeur ou la vendeuse sera là pour répondre aux ultimes interrogations. Le process d’achat s’est donc largement raccourci grâce à l’apport du web.

12. Quel âge avez-vous ?

13. Combien d’employés.es compte l’entreprise pour laquelle vous travaillez ?

14. Dans quel pays travaillez-vous ?

Pour lire ou télécharger l’étude complète (en anglais) :

Le saviez-vous ?
Vous pouvez afficher la publication en plein écran, télécharger le document en .pdf (nécessite un compte Calaméo gratuit), l’imprimer, mais aussi rechercher dans la publication ! Pratique, non ? 🙂

Source : https://www.trewmarketing.com/new-research-smart-marketing-for-engineers-europe-final-report

Vous avez aimé ce contenu ? Suivez-nous sur vos réseaux sociaux ! 🙂

Marketing digital : quelles sont les tendances 2017-2018 ?

Marketing digital : quelles sont les tendances 2017-2018 ?

Disons-le clairement : la tendance digitale pour les mois et années à venir, c’est le marketing prédictif, ou database marketing. Bien sûr, les grosses entreprises, nationales et surtout internationales, l’ont bien compris et basent désormais leur attractivité sur ces données recueillies auprès des internautes. Voyons en quoi ces datas peuvent nous servir dans nos entreprises locales et à taille humaine.

Faisant partie des outils de marketing direct, le database marketing (ou marketing prédictif) utilise les données laissées par l’internaute sur le web (recherches Google, likes et partages Facebook, géo-localisation des smartphones, achats en ligne, etc). Le but ? Faire la promotion d’un produit ou d’un service. Comment ? En proposant une communication ultra-personnalisée, basée sur les centres d’intérêts des internautes.

Le marketing ? Oui, mais autrement

Ce n’est plus le marketing habituel qui cherche le client et qui utilise un gros budget dont une bonne partie est à perte. Le marketing prédictif, ou database marketing, est un ensemble d’éléments marketing, basés notamment sur la connaissance client, qui permet d’anticiper son comportement grâce à des prédictions ou prévisions, en fonction de données et de calculs de probabilités. En clair, il s’agit d’un algorithme. Le caractère prédictif fonctionne par des méthodes de datamining (ou exploration de données) qui ont pour but de modéliser un comportement à un instant donné à l’aide de données connues.

L’établissement de modèles fondés sur l’analyse de données massives aide à la prédiction. Cette construction est facilitée par l’accroissement de l’usage du numérique qui permet de croiser de nombreux types de données pour prédire les actions de consommateurs. Les analyses habituelles de segmentation utilisant des critères issus d’études marketing sont de moins en moins utilisées seules pour prédire.

De nos jours, des algorithmes spécifiques sont développés et actualisés pour être à même d’anticiper nos comportements. Grâce à cela, une entreprise peut optimiser ses meilleures propositions, au meilleur moment, par le meilleur canal relationnel. Ce marketing s’inscrit dans le cadre du marketing 3.0 : une nouvelle forme centrée sur les valeurs fonctionnelles, émotionnelles et même spirituelles. La participation et la collaboration du client sont essentielles…

Qui peut utiliser le data marketing ?

Le marketing prédictif est une méthode utilisable par n’importe quel organisme pouvant analyser des données et voulant maîtriser sa relation client. Les structures qui peuvent l’utiliser sont celles qui se donnent les moyens de traiter ces données de comportement, acquises principalement sur internet (recherches Google, likes et partages Facebook, géo-localisation des smartphones, achats en ligne, etc.).

Du Big data au Smart data : le retour à un certain « humanisme »

Le marketing prédictif peut fonctionner grâce aux données recueillies dans le cadre du Big Data, source de données gigantesque sur les consommateurs, avec tout type de supports : le rédactionnel, l’image, le son, et la vidéo. Le big data fournit les données qui doivent être ensuite ordonnées, classifiées, pour pouvoir être analysées et utilisables. Ce processus de profilage, est appelé le Smart Data. Tous les moyens sont bons pour arriver à un profilage de grande qualité, y compris des croisements de données auxquels nous ne penserions pas.
Le but du marketing prédictif va au-delà de l’acquisition de nouveaux clients en allant vers la satisfaction et la fidélisation de la clientèle, et ce, grâce au Smart Data.

Concrètement, comment ça fonctionne pour les PME / TPE ?

Tout est fondé sur la collecte de données. Les données du consommateur, les données d’achats (issues d’achats e-commerce), les données comportementales (sur le net ou via un smartphone ou une tablette), sont des données factuelles et utilisables par le Smart Data. Ces données sont stockées dans des dataware house, des entrepôts de données, afin d’être analysées.

Des exemples simples ? Les produits Google, notamment Google Analytics, qui recueillent, stockent et analysent des masses de données :

Un exemple de données démographiques issues de Google Analytics : l’âge et le sexe.


Idem, mais avec les centres d’intérêts.


Et là, les données géographiques.

Les statistiques issues d’une page Facebook Entreprise peuvent également servir :

Sans oublier les datas issues d’une plateforme de e-commerce, ici le tableau de bord des commandes passées avec WooCommerce (les datas sont floutées…) :

Datas : attention aux abus…

Le marketing prédictif se poursuit, dans ses aspects techniques, par la segmentation selon des critères définis pour mieux procéder au profilage. Ce processus de recueillement des datas doit être mesuré et modéré pour garder une dimension humaine, l’idée étant de ne pas submerger l’internaute d’informations : cela pourrait créer une sensation de pression subie.

Quelques applications à la loupe

Mode de calcul du scoring

Des démarches de scoring sont utilisées en marketing pour obtenir des scores dits d’appétence. Il permet d’étudier la probabilité existante pour qu’un prospect se transforme en consommateur ou qu’il montre un retour positif à une offre. Ceci permet aux entreprises d’attribuer un score qui s’adapte à chaque consommateur effectif ou potentiel. Il est possible d’obtenir ce score par la symbiose de plusieurs données dont celles, par exemple, des comportements d’achats, ou encore de sa réactivité aux divers canaux de communications. Par exemple, un consommateur achète un ordinateur par l’intermédiaire d’un site de vente après avoir reçu un email promotionnel.

Valeur du « temps de vie » d’un client

La valeur du temps de vie d’un client ou CLTV pour Customer Life Time Value est la valeur moyenne de durée de vie d’un client type. Le Smart Data permet de définir avec plus de précision la valeur de vie d’un client. Il augmente cette valeur en augmentant la connaissance de son cycle de vie.

Prédiction des pertes de clientèle : le « churn »

Le mot barbare « churn », c’est la prévision de phénomènes qui entrainent une perte de clients. Cet outil a la capacité de prévoir des comportements collectifs ou individuels. Il est couramment appliqué dans le domaine des nouvelles technologies qui utilisent toutes les traces recueillies par un site pour étudier le comportement d’un client. Par exemple, si l’opérateur observe des attitudes tendant à la résiliation d’un service, des offres promotionnelles seront envoyées.

Les nouveaux métiers de la Data

Le Big data est un marché immense et en pleine croissance, à la mesure de la croissance de nos données, avec de nombreux acteurs : les réseaux sociaux, les acteurs du web, les experts en big data, les fournisseurs, etc. Mais aussi les éditeurs de logiciels, et en particulier les logiciels de Business Intelligence et d’analyse de Big Data.

Ce domaine récent constitue une révolution technologique avec l’apparition de métiers nouveaux :

  • le Data Scientist qui établit des stratégies de gestion et d’analyse avancées du Big Data. Le but ? Donner du sens à cet ensemble de données et produire des indicateurs de mesure utiles à la direction d’une entreprise.
  • le Data Miner qui extrait et analyse des données pour faire du profilage d’utilisateurs.
  • le Data Analyst qui fait le travail du Data Miner sous une autre forme, avec une quantité de données plus grande et des outils plus spécifiques.

Conclusion

Nous pourrions résumer le marketing, devenu marketing digital, en 7 étapes : la personnalisation, l’expérience et l’immersion, le native advertising, la stratégie omnicanal, la nécessité de la data, les assistants personnels et la recherche vocale, et les objets connectés. Le marketing prédictif est donc intimement lié à cet immense marché qu’est celui de la donnée.

Nous avons sans doute tous entendu parler des méthodes utilisées par de grandes sociétés comme Amazon, Google, NetFlix, Uber, Airbnb, ou d’autres encore. Ces sociétés utilisent des outils, appelés logiciels ou algorithmes, toujours plus performants. Ils sont devenus principalement des canaux d’acquisition de données pour divers usages, dont le profilage d’utilisateurs pour le développement de multitudes d’entreprises dans le monde, une aide aux services de renseignements nationaux et internationaux, etc.

Il suffit d’être plus attentif à toute l’information reçue par mail, téléphone, SMS, courriers, etc. Analyser les processus, les tendances de ce qui est reçu pour finalement observer que l’information reçue correspond de plus en plus précisément à nos attentes, y compris en anticipation de nos désirs, même de nos besoins.

Avec ces données récoltées à l’aide d’outils de plus en plus pointus, le marketing est passé du stade du « relationnel direct » à celui de « marketing scientifique » (voire neuroscientifique). L’informatique, ou plutôt l’intelligence artificielle, prend une place toujours plus grande dans nos vies. Nous confions nos données, souvent, sans prendre la peine de le savoir ou sans le savoir. Reste à connaître les frontières précises de ce qui est récupéré « à notre insu » par ces géants du web. Finalement, on en revient à la question suivante : suis-je prêt à accepter que mes données soient utilisées pour améliorer mon quotidien ? Mais quid d’une mauvaise utilisation de ces données à des fins purement mercantiles, voire malveillantes ?

Crédit photo : Kenny Louie.

Vous avez aimé ce contenu ? Suivez-nous sur vos réseaux sociaux ! 🙂

Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

L’une des missions premières du marketing est de connaître ses clients potentiels : les fameuses « cibles ». Et c’est encore plus vrai dans le domaine du e-commerce. L’agence RAKUTEN Marketing a mené l’enquête afin de définir qui sont les nouveaux profils d’acheteurs sur le web.

L’infographie ci-dessous révèle 4 profils :

  • le discounter, à l’affût des meilleures affaires, des promos les plus intéressantes.
  • le luxe addict, un véritable ambassadeur de marques célèbres au pouvoir d’achat élevé
  • l’impulsif, qui agit au coup de coeur / coup de clic
  • le flâneur nomade, un aficionado de nouvelles technologies, tendance globe-trotter

Et vous, connaissez-vous quelqu’un de votre entourage qui ressemble à l’un de ces profils ? Vous, peut-être ? En quoi ces données peuvent vous être utiles pour votre stratégie marketing et pour votre site web marchand ?

E-commerce, site web marchand : 4 profils d'acheteurs, par Rakuten Marketing.

Source : https://www.leptidigital.fr/e-commerce/profils-acheteur-en-ligne-10848/

 

 

Vous avez aimé ce contenu ? Suivez-nous sur vos réseaux sociaux ! 🙂

L’Agence ECO : création du site internet… et du business plan associé

L’Agence ECO : création du site internet… et du business plan associé

Notre maison-mère, SOPREDA2, souhaitait diversifier ses activités en partant du constant que, depuis 1974, nous créons du contenu rédactionnel journalistique et économique. C’est ainsi que l’Agence ECO s’est créée dans le cadre d’un éco-système web : création de contenus web, création de sites internet, référencement / SEO.

Contexte initial

Nous sommes partis de deux constats :

  • Créer du contenu rédactionnel est notre métier depuis toujours chez Sopreda2
  • Beaucoup d’agences de communication proposent des services de création de sites internet. Mais au final, rares sont celles qui proposent de rédiger du contenu pour alimenter ces mêmes sites.

Nos idées

  • S’appuyer sur l’expérience ECO en rédactionnel pour créer cette nouvelle agence web et content marketing en Savoie Mont Blanc
  • Intégrer de nouvelles compétences pour étoffer l’offre : rédaction web, création d’infographies, création de vidéos, création de sites web, référencement / SEO, etc.
  • S’appuyer sur les partenaires historiques ECO pour lancer cette agence

Le travail de création de l’Agence ECO

  • Brainstorming d’idées, création du business plan
  • Création du nom, du slogan, choix de l’URL
  • Création du logo et de la charte graphique
  • Partir d’une page blanche pour créer le site internet
  • Intégrer les dernières technologies WordPress pour ce site vitrine
  • Créer un site web intégrant un blog d’entreprise + un module e-commerce
  • Rédiger des articles de blog en rapport avec les actualités web
  • Créer les réseaux sociaux

Les bénéfices attendus pour notre maison-mère

  • Diversification de l’offre globale
  • Apport de revenus complémentaires
  • Affirmation d’une présence web en Savoie Mont Blanc
  • Participer à la digitalisation des entreprises locales, donc à l’économie locale

Le résultat : 😉

agence eco

On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?

Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

La fiche-produit peut être la porte d’entrée ou la porte de sortie de notre site web marchand, selon la qualité rédactionnelle et photographique de cette dernière… Voici 8.5 astuces pour la rédaction de la fiche-produit d’un site de vente en ligne.

Si on veut faire fuir un acheteur potentiel, alors on rédige une fiche-produit avec une photo en petit, et un descriptif qui ne reprend que des caractéristiques sous la forme d’un tableau. Mais quel dommage, quand on a passé du temps à créer un site e-commerce, qu’on a peaufiné le design, la navigation, les prix, le tunnel de paiement, etc., que tous nos efforts se retrouvent anéantis parce qu’on ne donne pas une attention particulière à la fiche-produit…

Une fiche-produit n’est pas un article de blog. Dans le cas d’une fiche-produit destinée à acheter le produit, on recherchera la précision (offrir à l’acheteur potentiel l’information qu’il cherche) et la concision (ne pas faire perdre de temps à l’acheteur potentiel).

Les 8.5 conseils ci-dessous ne dispensent évidemment pas des autres éléments indispensables : mentions légales, prix, grille de tailles, couleurs, frais de livraison, retour, suggestions personnalisées, etc. Dans tous les cas, nous ne recherchons qu’un seul objectif : se différencier de ce que nos concurrents proposent, c’est-à-dire souvent les mêmes informations…

G-star-1

Le site web marchand de G-Star, par exemple, propose dans la fiche-produit des photos de produits portés en situations réelles, différents coloris, etc., et plus bas (non visible sur la photo) des informations sur la fabrication du produit, son origine, des détails sur les tissus, les informations de lavage, etc.

1. Fiche-produit : humaniser le titre

C’est une évidence pour certains, pas encore pour d’autres, mais nous insisterons particulièrement sur tout ce qui peut favoriser la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche, en français) dans les fiches-produits, et notamment en ce qui concerne le titre. Et comme tout ce qui est bon pour l’humain est bon pour les moteurs de recherche (et non l’inverse), nous allons « humaniser les titres » !

Exemples de titres à bannir :

  • Guide 35+ Deuter
  • TV 4K LCD 107cm Sony B40-352PWXD 3D
  • Ralph Lauren « effet chic »
  • Loft 63m Paris 12 dispo de suite

Exemples de titres à utiliser :

  • Sac à dos hommes DEUTER Guide 35+
  • Télé écran plat 107cm 4K SONY B40-352PWXD
  • Chemise de mariage cintrée RALPH LAUREN « Effet chic »
  • Beau loft de 63m² au coeur de Paris dans le 12ème arrondissement

2. Le descriptif produit résumé

Dans la même logique que le titre, nous allons tout simplement résumer en 2 lignes le produit, et les bénéfices immédiats du produit pour l’acheteur potentiel.

Exemple :
Sac à dos d’alpinisme pour hommes DEUTER Guide 35+. Résistant, confortable, léger, parfaitement accessoirisé, extensible de 8 litres.

Ah oui, une petite astuce aussi : sur la page qui présente la gamme (ou la collection), faire en sorte d’afficher au-dessus de la photo le titre du produit, et sous la photo le début de ces deux premières lignes, en finissant par 3 points de suspension : cela donne envie naturellement d’en savoir plus !

3. Les (belles) photos

L’internaute doit pouvoir faire comme s’il était en magasin et qu’il pouvait toucher le produit que nous proposons. Pour ce faire, rien de tel que de belles photos du produit :

  • 1 photo du produit sur fond blanc ou uni
  • 4 ou 5 photos du produit porté et/ou en conditions réelles d’utilisation
  • multiples vues : face, arrière, côtés, dessus, 3/4, etc.
  • zoom sur toutes les vues souhaitées
  • zoom sur la texture
  • etc.
Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, bref de quoi donner envie d'acheter.

Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, etc. Bref, de quoi donner envie d’acheter.

4. Le descriptif produit détaillé

C’est souvent ici que nous allons copier/coller les informations données par le fabricant. Caractéristiques techniques, argumentaire marketing du fabricant, avantages concurrentiels, c’est l’endroit idéal pour l’ensemble de ces informations. Nous l’aurons noté, c’est ce descriptif produit détaillé que nous retrouvons dans 95% des cas partout sur les différents sites web marchands…

5. L’avis de l’entreprise

Vous êtes fan du produit dont vous parlez ? Un commentaire humain, impartial, et personnalisé fait souvent toute la différence. N’hésitez pas à parler des « trucs qu’on adore », et des « trucs qu’on aime moins mais qui dans certains contextes se transforment en trucs qu’on adore »…

6. Les notes et avis des clients

Les notes (sur 10, ou des étoiles, etc.), ainsi que les avis des clients sont souvent l’élément déclencheur et qui permettent à l’internaute de devenir un client. Ils sont l’équivalent du fameux « bouche à oreilles ». Aujourd’hui, il existe une multitude de solutions techniques pour que nos clients puissent laisser un commentaire après avoir acheté et utilisé un produit.

Les sites d'hôtellerie comme Booking.com utilisent à 110% les notes et les avis de leurs clients.

Les sites d’hôtellerie comme Booking.com utilisent à 100% les notes et les avis de leurs clients.

7. Le lien vers le blog de l’entreprise

Vous tenez un blog d’entreprise et vous avez créé spécialement un article qui traite d’un produit en particulier ? Parfait ! N’hésitez donc pas à insérer, sur la fiche-produit, un lien vers le blog. Et pour être certain(e) de récupérer l’internaute à la fin de l’article, insérez de nouveau un lien vers le site web marchand…

8. La SEO

Naturellement, toutes les informations qu’on va donner ci-dessus (titre humain, descriptif résumé, photos avec de vrais titres, descriptif long, avis des clients, lien vers le blog, etc.) vont permettre d’améliorer le référencement de notre fiche-produit. N’oublions pas : si ça plaît aux internautes, ça plaît aux moteurs de recherche…

8,5. Sortir des sentiers battus

Et si au lieu de faire comme tout monde, on faisait comme personne ? Mettre de l’humain, de l’humour, du fantasque, du piment, de l’inconnu, du non-convenu, c’est ce qu’ont choisi de faire dans leurs fiches-produits les trublions du goût les plus en vogue du moment : Michel et Augustin.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d'une fiche-produit.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d’une fiche-produit.

Conclusion

On le sait, la difficulté pour une entreprise de e-commerce, c’est souvent de devoir gérer des centaines, voire des milliers de références de produits. Tout va dépendre donc de notre stratégie marketing initiale : veut-on offrir un choix immense à l’internaute mais avec peu d’informations, donc à bas prix, ou préfère-t-on offrir un contenu unique et de qualité afin de transformer le visiteur lambda en client ?

Aujourd’hui, l’un ne va pas sans l’autre. Si on offre un choix pléthorique mais sans contenu qualitatif permettant de choisir, c’est compliqué. Et si on offre de la valeur ajoutée mais mal placée en prix, on passe à côté des ventes. Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

Vous avez aimé ce contenu ? Suivez-nous sur vos réseaux sociaux ! 🙂

Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

En quoi un site internet de 2007 est différent d’un de 2017, et quelles sont les tendances (2027) à venir ? Quelle est désormais la place du web dans une stratégie marketing globale ? Vaut-il mieux améliorer par couches successives son site internet, ou le re-créer de A à Z ? Quels bénéfices peut-on offrir aujourd’hui à des internautes pour un échange gagnant-gagnant ?

 

Nous allons tenter d’apporter notre pierre à l’édifice en donnant quelques pistes de réflexion. Selon nous, voici 8 raisons de créer (ou de refaire) son site web.

 

Internet : de 1997 à 2017…

 

Le web grand public a 20 ans. Nous sommes en 1997, on parle de « netscape », « altavista », « yahoo ». Google n’existe pas encore (1998), Facebook encore moins (2004), les smartphones non plus (2007 pour le premier iPhone). La connexion internet avec un modem 56K, au bruit caractéristique, empêche de téléphoner en même temps (!). C’était les débuts du web.

 

10 ans plus tard, en 2007, les géants du web sont là : Google, Amazon, Facebook, Apple (les GAFA). En France, les grandes entreprises et les PME possèdent leur propre site web. Site vitrine, il permet d’afficher à l’internaute un certain nombre d’informations : pages web statiques, informations de contact, etc. Chez les particuliers, à la maison, on voit apparaître de plus en plus de « blogs » et de réseaux sociaux. On verra que cette influence « home » ne sera pas neutre…

 

Aujourd’hui, 2017, le marché est arrivé à maturité. Aux GAFA se sont ajoutées les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Les entreprises communiquent directement sur les réseaux sociaux, elles vendent en ligne, ajoutant un canal de distribution à leur stratégie commerciale, elles gèrent des publications cross-media, elles font attention à leur e-réputation, elles embauchent des Community Manager, des développeurs IT, des responsables de stratégie digitale, etc. Qui l’aurait cru il y a seulement 20 ans ?

 

Le web va vite, très vite. Mais il semble désormais que les internautes sont encore plus rapides dans leurs besoins exprimés. Le web a été créé pour la « masse », il est devenu un « outil de masse », et c’est désormais bien cette « masse » qui entend en prendre le pouvoir à terme, sur un modèle collaboratif et horizontal.

La page web de Yahoo, à l’époque…

Refaire son site web / raison n°1 : pour créer une stratégie numérique globale

 

Les grands groupes et les grandes entreprises savent parfaitement ce qu’est une stratégie digitale, nous ne nous attarderons donc pas sur cette cible particulière. Pour une TPE ou une PME de taille modeste, élaborer une stratégie numérique n’est pas si compliqué que cela en a l’air. Bien sûr, chaque entreprise définira son propre cahier des charges, mais la stratégie ci-dessous nous paraît remplir la fonction dans 80% des cas :

 

UN SITE WEB + UN BLOG + DES CONTENUS WEB + DES RÉSEAUX SOCIAUX = UN BON DÉPART POUR UNE STRATÉGIE DIGITALE.

 

Selon le type d’entreprise et la volonté (ou non) de vendre en ligne, on pourra y adjoindre un module (voire un site) de e-commerce. Des campagnes de publicité payantes (Google AdWords, Facebook Business, etc.) ne seront pas inutiles non plus. Dans de rares cas, une application mobile dédiée (AppStore, Google PlayStore, etc.) sera également nécessaire.

 

 

Raison n°2 : pour améliorer votre image de marque auprès de vos clients (et prospects)

 

Vous le savez, le premier réflexe d’un prospect qui a entendu parler de vous, mais qui ne vous connait pas encore, c’est de vous « googliser« . En d’autres termes : il tape dans son moteur de recherche favori votre nom, ou le nom de votre entreprise. Et là… gare aux surprises ! C’est à ce moment précis qu’on parle de votre e-réputation : ce que le web dit de vous.

 

En tout logique, c’est le nom de votre entreprise qui devrait apparaître en premier dans les pages de résultats (SERP). Peuvent venir ensuite d’autres sites, comme les réseaux sociaux, un compte Google My Business éventuellement, avec l’avis laissé d’internautes qui vous notent avec des étoiles allant de 1 (mauvais…) à 5 (excellent).

 

Vous le remarquerez, dans ces fameuses pages de résultats apparaissent souvent des documents .pdf (ceux-ci sont très bien référencés par les moteurs de recherche), un blog WordPress (idem, c’est l’une des technologies les plus SEO friendly qui soit), etc.

 

Un petit tour dans l’onglet « images » vous donnera également un aperçu des visuels qui sont référencés lorsqu’on tape votre nom ou celui de votre entreprise dans Google.

 

Vous l’aurez compris : les moteurs de recherche sont votre miroir… miroir accessible à tous. C’est d’ailleurs bien le but recherché ! La porte d’entrée de ce miroir, c’est donc votre site web. De par son design, son accessibilité, son ergonomie, son contenu, c’est directement votre image de marque qui sera appréhendée, en positif… comme en négatif…

 

Nous faisons tous des efforts pour bien « paraître » (tenue vestimentaire, langage, mails, véhicule, etc.). Votre site web est donc bien un outil supplémentaire sur lequel on portera une attention particulière.

 

Ah oui, une petite astuce : quand vous tapez votre nom ou celui de votre entreprise dans un moteur de recherche, pensez bien à vous mettre en navigation privée et à vider le cache de votre navigateur avant. Pourquoi ? Sinon les résultats sont biaisés par votre historique de recherches.

 

Raison n°3 pour créer ou refaire son site internet : faire table rase et repartir d’une page blanche

 

Il est parfois de bon ton de tout reposer à plat. Les années passent, les couches successives s’accumulent, ce qui semblait normal avant peut devenir une aberration aujourd’hui. Faire table rase permet de repenser des processus, une stratégie, et pourquoi pas une vision d’avenir.

 

Créer ou refaire son site web est un excellent atelier de brainstorming. Cela nous oblige à poser les bonnes questions : qui sommes-nous ? Qui sont nos clients ? Que leur proposons-nous ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui peut être amélioré / supprimé / accentué / créé ? Quelles simplifications pouvons-nous opérer ? Serait-ce le moment d’offrir à nos clients une innovation de rupture ? Quelles incidences la refonte d’un site internet peut avoir sur le management des équipes ?

 

De par l’évolution des technologies, mais aussi des internautes, la durée de vie d’un site web aujourd’hui dépassera rarement les 5 années. Repartir d’une page blanche tous les 5 ans permet de rester en veille, à l’affût de la « rumeur du web » et de ses évolutions. Évidemment, cela n’empêche pas des améliorations successives chaque année !

 

 

Raison n°4 : pour que votre site s’adapte automatiquement à tous les supports (PC, Mac, smartphones, tablettes)

 

 

Autrement dit : RESPONSIVE DESIGN ! Ce n’est plus à l’internaute de s’adapter à nous, mais bien nous qui devons nous adapter à l’internaute. Toute une philosophie…

 

Nous sommes connectés, c’est un fait. Nous commençons à checker nos mails sur ordinateur, puis nous devons partir et poursuivons sur une tablette. Un article publié sur Facebook et lu sur notre smartphone, il nous plait, hop, on l’enregistre pour le relire plus tard, à tête reposée, sur notre PC ou notre Mac. Tels sont les usages du web : s’adapter. Constamment.

 

En parlant d’adaptation, quoi de plus rageant que de naviguer sur un site web statique depuis son smartphone, et être obligé(e) de zoomer pour en lire le contenu, puis dézoomer, scroller, re-zoomer, etc.

 

Un site web aujourd’hui, et depuis 10 ans environ, se doit d’être adaptable, d’être responsive design, pour offrir à l’utilisateur la meilleure expérience web possible.

 

Raison n°5 d’améliorer son site internet : pour intégrer un blog d’entreprise

qui amène de l’actualité fraiche

 

Autrefois réservé aux « particuliers » qui souhaitaient partager avec une communauté sur un sujet précis, aujourd’hui le blog est un outil plébiscité par les entreprises. Pourquoi ? Parce qu’il permet d’établir une relation décalée avec ses clients et ses prospects : une relation de conseil. Par le biais de thématiques propres à votre métier, nous allons pouvoir rédiger des articles web, agrémentés de photos, d’infographies, et pourquoi pas de vidéos.

 

Par exemple, un cabinet spécialisé en immobilier d’entreprise va pouvoir rédiger des articles-conseil : « Faut-il louer ou acheter son local professionnel ? », ou « Nos 6 conseils pour améliorer le bien-être au travail », etc.

 

Autre exemple, un plombier pourra partager diverses astuces sous un format vidéo : « Comment réparer une fuite de lavabo ? », « Comment ajouter de la pression en eau dans une chaudière gaz ? », etc.

 

Bien sûr, ces articles seront partagés sur les réseaux sociaux de l’entreprises (Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, Instagram, etc.) afin de ramener l’internaute vers le blog de l’entreprise. Et, cerise sur le gâteau, les moteurs de recherche comme Google ou Bing sont très friands de ces articles-conseil, leur référencement s’en trouve donc amélioré… pour peu qu’on utilise la bonne technologie de blog, ainsi que quelques notions élémentaires en rédaction web.

 

Raison n°6 : pour développer un business grâce au e-commerce

 

Comme nous le disions plus haut, refaire son site web permet de se reposer certaines questions, et notamment des questions liées à la stratégie commerciale de l’entreprise. Un site web bien fait facilite le travail en avant-vente, mais il peut aussi servir à vendre en ligne !

 

Disons-le clairement : vendre en ligne du conseil ou des services n’est pas encore entré dans les moeurs. Tout comme acheter un objet représentant une somme conséquente (voiture, appartement, etc.) ne se fait pas encore en ajoutant une « voiture » dans un « panier » et en la payant en ligne avec sa carte bancaire…

 

Par contre, pour tout le reste, et notamment des produits allant de 1€ à 2500€, le marché du e-commerce est désormais mature. À partir du moment où on achète sur un site de confiance, rien n’empêche de dépenser des sommes importantes, pour un voyage par exemple.

 

Lorsque décision est prise de proposer à ses clients un site marchand, se posent de nouvelles questions : qui réalise le site e-commerce ? Est-ce un site 100% dédié ? Est-ce un module supplémentaire au site traditionnel ? Est-ce que je le fais en interne ? Est-ce que je fais sous-traiter à une agence web spécialisée en e-commerce ? Et qui va me faire les mises à jours ? La gestion des stocks ? La rédaction des fiches-produits ? Les photos ? Etc.

 

D’un point de vue technologique, deux gros prestataires open-source se disputent le haut du marché : WooCommerce (WordPress), et Prestashop. Notre préférence, à ce jour, va vers WooCommerce (c’est le module installé sur ce présent site, sur une version ultra-simplifiée), d’autres préféreront Prestashop. Nous vous laisserons fouiller sur le web pour trouver des comparatifs, tests, avis, etc.

 

 

Raison n°7 de créer son site internet : pour être plus visible dans les moteurs de recherche (#SEO #Optimisation #RéférencementNaturel !)

 

Avec une part de marché de 94.1%, Google reste le leader incontesté des moteurs de recherche en France. Cette situation hégémonique n’est pas sans poser quelques problèmes d’ailleurs à la Commission Européenne… Bref, être visible dans les moteurs de recherche, c’est donc être visible dans Google.

 

Petite question-piège : quel site web apparaît quasi-systématiquement dans la 1ère page de résultats Google (quand ce n’est pas en 1ère position…) ? Réponse : Wikipedia. Pourquoi ? Les réponses sont nombreuses : qualité des contenus, fréquence des mises à jour, liens internes à l’infini, articles complets à vocation encyclopédique, licence Creative Commons, ancienneté du site, etc.

 

ll suffit donc d’écrire des articles comme dans Wikipedia alors ? Oui… et non. Oui, parce que généralement la qualité des contenus est là, mais quantité d’autres facteurs jouent en faveur de Wikipedia, dont les liens internes et l’ancienneté du site, site qui a acquis au fur et à mesure des années (Wikipedia est né en 2001) ses lettres de noblesse auprès de Google.

 

Maintenant que nous avons fait un léger détour par Wikipedia, entrons dans le vif du sujet : la SEO (Search Engine Optimization, traduit par Optimisation pour les Moteurs de Recherche). Comme nous le dit l’encyclopédie :

 

« L’optimisation d’un site web passe par de multiples leviers internes : accessibilité des contenus, codage sémantique, mise en place d’une arborescence optimisée, maillage interne des pages, ajout de contenus frais. Mais les facteurs externes vont l’impacter fortement pour asseoir son autorité aux yeux des moteurs de recherche. Le nombre et la qualité des liens entrants, les signaux apportés par les réseaux sociaux sont autant de facteurs d’influence positifs. »

 

Certaines technologies de sites web sont naturellement optimisées pour la SEO et le référencement naturel, d’autres moins. L’accessibilité sur smartphones et tablettes jouent également un rôle important. Quantité d’autres leviers techniques sont à prendre en compte pour optimiser son référencement naturel, mais ce qui fait VRAIMENT la différence, c’est la qualité et la viralité du contenu proposé aux internautes. Dans ses algorithmes, Google prend réellement en compte cette viralité, permise notamment grâce aux réseaux sociaux.

Le Saint-Graal : apparaître en 1ère position dans Google. 😉

Enfin, raison n°8 : pour avoir la main sur les mises à jour…

 

Aujourd’hui, une agence web doit vous laisser la main (à votre demande bien sûr) sur les mises à jour de votre site internet, de votre blog, ou de votre site marchand. Réactivité, expertise-métier, liberté, « anti-monopole », voici quelques raisons de choisir une agence web ou un prestataire web qui ne vous verrouille pas.

 

 

1997, 2007, 2017, 2027 ?

 

Que sera le web en 2027, dans 10 ans ? Bien malin celui qui pourrait y répondre… Après un rapide brainstorming (de 2 minutes) dans le bureau, voici quelques pistes : 

  • « ce sera comme dans le film Minority report ! »
  • « le web n’existera plus comme on le connait »
  • « il n’y aura plus de terminaux, ou alors ils seront différents »
  • « les interfaces seront complètement dématérialisées »
  • « on aura des puces intégrées à nos cerveaux, dans une logique transhumaniste »
  • « le web sera ultra-méga rapide, plus aucun délai d’attente »
  • « ce sera devenu super simple de créer son site web »
  • « il y aura + de réseaux sociaux et – de sites internet »
  • « l’impact écologique du web sera tellement devenu énorme qu’on va tous mourir »
  • « au lieu d’écrire, on utilisera la voix, pour tout »

Trêve de plaisanterie, (quoique…), si on regarde les 3 grosses avancées majeures du web entre 2007 et 2017, ce sont :

  • l’affichage sur tous les types de supports (smartphones, tablettes, etc.)
  • les réseaux sociaux
  • le e-commerce

Que sera le web en 2027 ? Nous vous laissons imaginer les possibilités et nous en faire part dans le champ « commentaires » ci-dessous !

 

Vous avez aimé ce contenu ? Suivez-nous sur vos réseaux sociaux ! 🙂

ECO de l’Ain : un nouveau site web… dans une logique de groupe

ECO de l’Ain : un nouveau site web… dans une logique de groupe

ECO DE L’AIN est un média économique basé à Bourg-en-Bresse et c’est une société-fille du groupe SOPREDA2. Comme un travail de refonte totale du site web avait déjà été fait pour ECO Savoie Mont Blanc, il s’agissait d’intégrer le même webdesign, dans une logique de groupe.

 

Contexte initial

L’objectif initial était de refaire le site internet courrier-economie.com, entré dans le giron du groupe Sopreda2 à l’été 2016. Devenu ECO de l’Ain, il fallait dupliquer le travail réalisé précédemment pour le nouveau site web ECO Savoie Mont Blanc, tout en l’adaptant aux spécificités liées au territoire de l’Ain.

Nos idées

Reprendre les idées directrices du projet initial. Le nouveau site internet devait être : un site institutionnel + un blog + un site e-commerce (pour les abonnements en ligne) + des outils dédiés aux acteurs économiques locaux (ventes aux enchères, publication d’annonces légales, etc) + un onglet Premium réservé à nos abonnés Premium + des espaces publicitaires dédiés.

Le travail de création de l’Agence ECO

  • Choix de l’URL
  • Passage au protocole sécurisé HTTPS
  • Reprise du thème WordPress hérité du site ECO Savoie Mont Blanc
  • Conception en Responsive Design (adaptable aux différents écrans)
  • Reprise et approfondissement du référencement naturel / de la SEO
  • Création d’outils numériques dédiés aux entreprises (ventes aux enchères, publication et recherche d’annonces légales, consultation de marchés publics, etc.
  • Création d’une boutique en ligne pour les abonnements
  • Création d’un espace réservé aux membres Premium avec du contenu restreint
  • Création d’espaces publicitaires
  • Monétisation du site : abonnements en ligne, annonces légales, publicités
  • Approfondissement des réseaux sociaux

Les bénéfices attendus pour notre maison-mère

  •  Dans une logique groupe, appuyer la double-identité papier + numérique
  • Apporter une proposition de valeur forte aux lecteurs : articles en ligne, outils web spécifiques, abonnements en ligne, etc.
  • Être positionné en page 1 (voire dans le TOP 5 des résultats) dans les moteurs de recherche
  • Créer des recettes financières numériques

Le résultat :

creation site internet eco ain

On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?

ECO Savoie Mont Blanc : refonte totale du site internet

ECO Savoie Mont Blanc : refonte totale du site internet

Notre maison-mère, SOPREDA2, éditrice du site web eco-savoie-mont-blanc.com, souhaitait refondre de A à Z son précédent site internet datant de 2010, lui-même hérité d’une première version réalisée en 2002. Plus qu’une refonte de site, c’est toute une stratégie d’entreprise qui a été repensée.

 

Contexte initial

L’objectif initial était de refaire un site internet institutionnel vieillissant, permettant aux journalistes de publier leurs articles directement sur le site. Il fallait également créer l’identité numérique du journal papier ECO Savoie Mont Blanc, présent sur nos territoires économiques depuis 1974.

Nos idées

Partir d’une page blanche. La métaphore avec le papier s’arrête là, c’est bien sur le web que tout s’est passé. Le site web ECO se devait d’être un vrai site de médias, au même titre que les grands frères : lemonde.fr, lefigaro.fr, lesechos.fr, etc. C’est-à-dire : un site institutionnel + un blog + un site e-commerce (pour les abonnements en ligne) + des outils dédiés aux acteurs économiques locaux (ventes aux enchères, publication d’annonces légales, etc) + un onglet Premium réservé à nos abonnés Premium + des espaces publicitaires dédiés.

Le travail de création de l’Agence ECO

  • Choix de l’URL
  • Passage au protocole sécurisé HTTPS
  • Choix du thème WordPress
  • Conception en Responsive Design (adaptable aux différents écrans)
  • Reprise et approfondissement du référencement naturel / de la SEO
  • Création de la mise en page
  • Création des catégories d’articles
  • Création d’outils numériques dédiés aux entreprises (ventes aux enchères, publication et recherche d’annonces légales, consultation de marchés publics, etc.
  • Création d’une boutique en ligne pour les abonnements
  • Création d’un espace réservé aux membres Premium avec du contenu restreint
  • Création et rédaction d’une newsletter
  • Création d’espaces publicitaires
  • Monétisation du site : abonnements en ligne, annonces légales, publicités
  • Approfondissement des réseaux sociaux

Les bénéfices attendus pour notre maison-mère

  •  Avoir une identité papier + numérique
  • Repositionner l’image de la marque numérique
  • Apporter une proposition de valeur forte aux lecteurs : articles en ligne, outils web spécifiques, newsletter, abonnements en ligne, etc.
  • Être positionné en page 1 (voire dans le TOP 5 des résultats) dans les moteurs de recherche
  • Créer des recettes financières numériques

 

Le résultat :

eco savoie mont blanc

On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?