TONKA RH : création d’un site internet

TONKA RH : création d’un site internet

TONKA RH, une structure créée à Aix-les-bains par Delphine Couty, freelance RH, nous a confiés la création de son site internet. Pour ce projet, nous sommes partis d’une page blanche (nous adorons partir de zéro !) pour participer à la stratégie digitale de Tonka RH.

Témoignage client

« J’ai beaucoup apprécié l’accompagnement de Nicolas/Agence Eco qui a su rester très à l’écoute de mes attentes tout en étant toujours force de propositions. Il est primordial de pouvoir échanger librement et surtout de confronter nos points de vue en bénéficiant des conseils aguerris d’un expert qui a le recul nécessaire pour pouvoir, parfois, nous faire changer d’avis.
En bref : bienveillance, professionnalisme et réactivité ! »

Delphine Couty, Directrice de Tonka RH

Le travail de l’Agence ECO

  • Analyse sémantique des mots-clé dans une démarche de SEO
  • Reprise de l’hébergement OVH existant avec pistes d’améliorations
  • Passage au protocole sécurisé HTTPS
  • Installation du module WordPress
  • Reprise de la charte graphique existante, toute en nuances de gris
  • Reprise rédactionnelle issue de la plaquette commerciale
  • Tests graphiques avec la cliente
  • Création et rédaction des pages statiques sur un modèle « one page » à scroller
  • Mise en place d’un formulaire de contact
  • Création et rédaction des mentions légales
  • Création et mise en place d’un onglet blog
  • Formation WordPress complète

Les bénéfices attendus pour notre client

  • Faire connaître l’entreprise Tonka RH sur le web et dans les moteurs de recherche
  • Faciliter le travail d’avant-vente auprès des prospects de l’entreprise
  • Fournir un outil permettant la publication d’articles liés à des actualités RH

Le résultat

Visitez le nouveau site web de TONKA RH ici :

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Hôtel CERVOLAN DZ : création et rédaction d’une newsletter mensuelle avec MailChimp

Hôtel CERVOLAN DZ : création et rédaction d’une newsletter mensuelle avec MailChimp

 

L’Hôtel Le CERVOLAN DZ, basé à Voglans en Savoie, nous a confiés la création graphique et la rédaction d’une newsletter. Fréquence d’envoi ? 1 fois par mois. Logiciel d’e-mailing utilisé ? MailChimp. Voici le détail.

 

Témoignage client

« Le sens de l’écoute, la simplicité des échanges ainsi que la disponibilité et la réactivité sont quelques qualificatifs de l’Agence ECO. Pour ce début de relation, ses services et son travail me satisfont entièrement. »

Lucie Rainbault
Responsable commerciale HOTEL CERVOLAN DZ

Le travail de l’Agence ECO

  • Reprise de la charte graphique issue du site web existant
  • Création d’un template de newsletter personnalisé
  • Tests graphiques avec le client
  • Rédaction de la newsletter mensuelle selon le cahier des charges du client
  • Tests et validation avant envoi
  • Suivi des statistiques MailChimp
  • Formation avancée à l’outil MailChimp

Les bénéfices attendus pour notre client

  • Faciliter le travail d’avant-vente pour les activités d’hôtellerie et de restauration
  • Diffuser l’image de marque de l’établissement auprès de ses clients et prospects
  • Augmenter le taux de réservation en hôtellerie et en restauration auprès d’une clientèle B2B 

Le résultat

Cliquez sur l’e-mailing ci-dessous pour le voir au format html :

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Rédiger pour le web : quel style rédactionnel employer ?

Rédiger pour le web : quel style rédactionnel employer ?

La rédaction d’un texte pour le web, comme un article de blog ou une page internet par exemple, peut s’avérer bien compliquée pour qui n’est pas habitué à l’écriture. Trois styles rédactionnels ont nos faveurs : le style « blog », le style journalistique, et le style romancé. C’est ce que nous vous détaillons ci-dessous.

Certains articles (presse, blogs, magazines, etc.), lorqu’on les lit, nous « parlent » tout de suite. Le sujet traité a son importance, le titre bien sûr (accrocheur ou non), mais également le style rédactionnel, le ton employé. Pourquoi ? Cela tient en grande partie à nos habitudes de lecture, donc à nos habitudes sociaux-culturelles, à notre éducation.

Et selon qui on est (une entreprise ? un particulier ?), selon à qui on s’adresse (une entreprise ? un particulier ?), selon son domaine d’activité (une étude notariale ? une agence d’événementiel ?), on n’emploiera pas forcément le même ton pour rédiger un texte pour le web. Voici notre analyse.

Le style « blog »

Si le style rédactionnel « blog » était une tenue vestimentaire, ce serait ce style « casual ». Crédit : Pinterest.

ll s’agit d’un ton naturel, décontracté, mais pas trop. On est à mi-chemin entre le langage parlé et le langage soutenu, et selon notre cible, on fera varier le curseur entre ces ceux tonalités.

Par exemple, le style rédactionnel que nous employons pour cet article est un style « blog » : naturel, décontracté, mais nous ne sommes pas là pour dire « Hey ! Comment ça va mon pote ?! Chu MDR quand je vois ta réaction ! C’est ouf ! ». Nous poussons à l’extrême, mais c’est un peu ça :  naturel, décontracté, mais on se tient.

Voici un exemple de style rédactionnel « blog », de notre cru, sur une thématique donnée : l’innovation de rupture

« Créer, c’est aller de 0 à 1. Innover, c’est aller de 1 à 1000. Ces rapports pourraient être la définition de ce qu’est l’innovation de rupture. On l’aura compris, innover est donc différent de créer. Des milliers de créations, d’inventions, ne trouvent jamais preneur. Et pour cause : il n’y a pas forcément un marché à mettre en face. Innover pourrait donc se résumer également par cette formule : création + marketing + vente = innovation. Tant que le produit ou le service ne trouve pas d’acheteurs en nombre, on ne peut parler d’innovation. Et l’innovation de rupture intervient justement quand tel produit ou tel service trouve des acheteurs en masse. Une « énorme » masse serait-on tenté de dire.

Des exemples ? Google, Wikipedia, Facebook, l’iPhone, Uber, Airbnb, etc., ces marques n’existaient pas il y a 20 ans. Aujourd’hui, elles sont devenues incontournables, gigantesques, tentaculaires. Pourquoi ? Parce qu’elles ont provoqué une innovation de rupture. Elles ont « créé un nouveau business model, basé sur la création de valeur, à un prix jugé acceptable par les utilisateurs. Elles ne sont pas entrées en compétition avec les autres, elles ont créé un marché qui n’existait pas » (lire absolument l’excellent livre Blue Ocean Strategy). Elles ont créé de nouveaux métiers, une nouvelle croissance, tant et si bien qu’il paraitrait impossible aujourd’hui de s’en passer.

La prochaine étape, nous l’espérons, sera l’innovation de rupture au service de l’humain. De tous les êtres humains. Social, solidaire, et écologique. Et pour vous, c’est quoi l’innovation de rupture ? Dites-le nous dans le champs de commentaires ci-dessous ! 🙂 »

Le style journalistique

Si le style journalistique était un style vestimentaire, ce serait quelqu’un portant un costume sobre, passe-partout, neutre. Et élégant. Crédit : Pierre Clarence.

Il s’agit d’un ton neutre, professionnel, analytique, rationnel. Presque « froid » parfois. Car oui, le journaliste est là pour énoncer des faits, rien que des faits. Dans un article journalistique, pas de prise de position, pas de marketing caché, pas d’incitation. Le maître-mot ? Informer. Et juste ça. De la façon la plus impartiale qui soit.

Voici un exemple de style rédactionnel journalistique, de notre cru, toujours sur la même thématique : l’innovation de rupture

« Depuis les années 60, après l’avoir étudiée, éprouvée, théorisée, nombre d’experts ont tenté de définir ce qu’était l’innovation de rupture. D’abord en Autriche, puis aux États-Unis, le « père du management contemporain » Peter Drucker (né en 1909, mort en 2005) nous parle en ces termes : « L’entreprise n’a que deux fonctions essentielles, et deux seulement : le marketing et l’innovation ». Pour lui, « L’innovation systématique requiert la volonté de considérer le changement comme une opportunité ».

Opportunité. Et si tout découlait de ce mot, en définitive. Là où les Anglo-saxons diront « Take a chance », les Français utiliseront « Prendre un risque ». Chance versus Risque, c’est précisément dans ces mots que se trouve le paradoxe complémentaire du verre à moitié vide ou du verre à moitié plein.

Là où certains voient une contrainte, d’autres voient une opportunité, et même une opportunité de masse. Des-devenus- géants comme Google, Wikipedia, Facebook, l’iPhone, Uber, ou Airbnb ne s’y sont pas trompés : c’est bien dans le marché de masse que ces entreprises ont puisé leur croissance. Dans leur ouvrage « Blue Ocean Strategy » (Stratégie Océan Bleu, Ndt) paru en 2005, W. Chan Kim et Renée Mauborgne résument l’innovation de rupture ainsi : « Ces entreprises ont créé un nouveau business model, basé sur la création de valeur, à un prix jugé acceptable par les utilisateurs. Elles ne sont pas entrées en compétition avec les autres, elles ont créé un marché qui n’existait pas ».

Après ces croissances acquises auprès d’un marché de masse, verra-t-on dans les mois et années à venir une croissance durable et humaniste émerger ? La question reste posée. »

Le style romancé

Si le style romancé était une tenue vestimentaire, ce serait celle de ce hipster, poète contemporain et navigateur au long cours. Crédit : Ricki Hall.

Depuis quelques années maintenant, on voit apparaître des « articles » sous la forme de mini-romans, sortes de nouvelles, ancrées dans la réalité du sujet à définir. En d’autres termes : le fameux storytelling. Littéralement : « on raconte une histoire ». Les histoires, contées par un Papa ou une nounou au moment de s’endormir lorsque nous étions enfant, ont un pouvoir de persuasion et de mémoire bien supérieur aux autres textes traditionnels.

Pourquoi ? Parce qu’il y a une intrigue, qu’on veut en connaître la fin. Et l’utilisation de personnages, de « héros » à qui on s’identifie, joue également un rôle important. Le style romancé, s’il est bien fait, peut donc tout à fait être utilisé dans des domaines plus « terre à terre », plus professionnels.

Voici un exemple de style romancé, de notre cru, sur la thématique…(oui vous le savez déjà…) de l’innovation de rupture :

« Marcus n’en revenait pas, tout encore abasourdi qu’il l’était. Laura venait de lui souffler à demi-mots ce qu’il cherchait, en vain, depuis tant d’années. Et avec un sourire malicieux en plus, malice qui aurait tourné à un certain charme, s’ils ne s’étaient pas trouvés tous deux dans un cadre professionnel. Il ne l’avait pas remarqué tout de suite, mais Marcus entendait les battements de son coeur résonner de façon sourde et profonde, dans sa tête et dans sa poitrine. Laura avait fait mouche. Elle ne le savait que trop bien. Marcus reprit peu à peu ses esprits et lui demanda :
-Alors toi, tu n’y vas pas par quatre chemins ! s’exclama-t-il. Tu sais combien de soirées j’ai passé à essayer de résumer ce qu’est l’innovation de rupture ?
-Disons que c’est notre sens du pragmatisme, poursuivit Laura. Qui a dit que les femmes ne savait pas être efficaces ? dit-elle avec une diablerie certaine désormais.
- »Créer, c’est aller de 0 à 1. Innover, c’est aller de 1 à 1000″. Marcus répéta mot pour mot les paroles de Laura.
-Et je peux même ajouter que, d’un point de vue financier, c’est idem. Regarde les géants omniprésents dans notre vie, au quotidien. Google, Facebook, Apple, Airbnb, qui n’utilise pas au moins un de leurs services ? À moins d’habiter dans un endroit reculé, et encore, de la forêt amazonienne, tout le monde a un rapport avec ces marques, quand tu y penses.
-Mais oui, c’est exactement ça. Pour poursuivre sur ta métaphore de la forêt, ces géants comme tu dis, ont créé leur propre espace vierge, leur propre marché, leur propre business model. ll faudra que je te parle d’un livre aussi, que j’ai dévoré ! Tu verras, c’est une histoire d’océans rouges et d’océans bleus…
-Oui, de W. Chan Kim et Renée Mauborgne, c’est ça ? dit Laura en souriant.
-Alors toi ! Waouh ! Tu me si-dères ! Mais comment tu…
Laura savait qu’elle ne devait pas entrer en compétition avec Marcus sur ce sujet de l’innovation. Après tout, il n’était qu’un homme… Elle l’assomma agréablement en lui faisant part de ses craintes, ses espoirs : de voir un jour ces nouvelles technologies être au service de l’être humain et de la planète. Elle avait donc fait un pas de côté, pour créer sa propre parole, sa propre stratégie. Son propre péril aussi. Elle était tombée sous le charme de Marcus : ses bras puissants, musclés, sous une chemise blanche bien taillée, ses airs d’intellectuel-candide, ne la laissaient pas de marbre. Mais à cet instant précis, ce qu’elle ignorait encore, c’est que cette relation amoureuse naissante la conduirait à sa propre perte… »

Conclusion

Bien sûr, il existe d’autres styles rédactionnels. Si on file la métaphore vestimentaire masculine, il y a le bleu de travail, le smoking de soirée, la tenue sportive, etc. Libre à chacun d’inventer sa propre mode, son propre style, qu’il soit vestimentaire ou rédactionnel.

Saviez-vous que, grâce au web, les gens n’ont jamais autant lu ? Oui, oui, vous avez bien lu (!). Même quelqu’un qui n’ouvre jamais de livres ou de magazines lit bien plus qu’avant : SMS, posts Facebook, tweets, e-mails, etc. Donc, bonne nouvelle : les lecteurs n’ont jamais été aussi nombreux ! Par conséquence, la culture de l’écrit n’a jamais été aussi forte depuis que le web est apparu.

Demain, peut-être que l’oralité (intelligence articielle, Siri, etc.) reprendra le dessus, mais en attendant, autant en profiter et « parler » de son entreprise par écrit, que ce soit au travers d’un blog d’entreprise ou d’une page web de son site internet.

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SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

« Je veux apparaître en premier dans Google ! ». Quelle agence web en SEO et en référencement naturel n’a pas entendu systématiquement cette requête de la part de son client ? Pourtant, la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche) est une science inexacte…

Pourquoi ? Parce que la SEO est en mutation constante ! On pensait avoir raison sur tel point ? Et hop ! Google met à jour son algorithme et vient bouleverser nos idées reçues. Oui, mais… il existe des bonnes pratiques dans le domaine de la SEO : viables, saines, durables.

Malgré le caractère inexact de cette science qu’est le référencement naturel, voici notre check-list en 18 points pour optimiser son positionnement dans Google, classés selon 4 thématiques :

  • l’intérêt du sujet et la qualité du contenu
  • les aspects techniques liés au site web ou au blog
  • les aspects techniques liés à la rédaction de l’article ou de la page
  • l’utilisation des réseaux sociaux et la viralité du contenu

1. LA règle en SEO : l’intérêt du sujet et la qualité du contenu

Traiter de sujets qui intéressent les gens : voici la première règle en SEO pour être visible ! C’est une évidence, mais on a souvent tendance à l’occulter, de façon inconsciente la plupart du temps. Pourquoi ? Parce qu’on a tellement envie de parler de NOTRE sujet, de NOTRE produit, qu’on en oublie de savoir si ça intéresse l’internaute…

Comment trouver des sujets qui intéressent les gens ? Réponse : être en alerte sur la « rumeur du monde ». C’est-à-dire les réseaux sociaux, les moteurs de recherche, les forums, les JT du 20h, les émissions de radio, les films au cinéma, les livres récemment parus, les salons locaux, les problématiques de nos clients, etc.

« Ok, j’ai trouvé un sujet intéressant, mais comment je fais pour le traiter de façon intéressante ? ». C’est aussi une question à ne pas occulter. Le mieux sera de se mettre à la place du lecteur et de se poser des questions comme « est-ce que j’ai appris quelque chose ? », « est-ce que ça m’a été utile ou je le savais déjà ? », « est-ce que ça donne envie de le partager avec mes amis ? ». Si on répond « non » à ces questions, alors il faut revoir sa copie…

SEO / référencement naturel, règle n°1 : être intéressant !

Les aspects SEO techniques liés au site web ou au blog

2. La disponibilité du site web / du serveur, la rapidité de chargement du site web

Autre évidence, mais assurons-nous d’avoir un site web, un serveur, un hébergeur avec un taux de disponibilité (donc d’affichage pour nos internautes…) proche de 100%. Ici, nous travaillons sous hébergement OVH, l’un des leaders en Europe… et français qui plus est (Lille).

Nous sommes comme tout le monde en ce qui concerne le web : il faut que ça aille vite ! Devoir patienter 10 secondes pour l’ouverture d’une page internet, et l’internaute passe son chemin. Pour mesurer et savoir comment optimiser le temps de chargement de votre site web, vous pouvez utiliser GT Metrix par exemple.

3. Un site adapté à tous les écrans : responsive design

On en vient naturellement à aborder le sujet des différentes tailles d’écran : ordinateur, tablette, smartphone. Votre site doit s’adapter automatiquement à l’appareil utilisé par l’internaute. En effet, rien de plus rébarbatif de consulter depuis son iPhone un site web conçu exclusivement pour les ordinateurs… La plupart des thèmes et des CMS sont maintenant d’office en Responsive design.

Vient ensuite un point important pour ce qui concerne les aspects techniques du site web : son ergonomie. Ou : « est-ce que mon site est intuitif ? ». Un site clair, bien fait, bien rangé, avec une fonctionnalité de recherche sera plus visité par les internautes. Il y a des chances pour qu’il se charge aussi plus rapidement. Bref, tout ceci participe au bon éco-système de votre SEO.

4. L’antériorité du site

Ah que ce point est injuste pour les « nouveaux-nés » ! En effet, un site qui possède une antériorité assez longue (de 3 à 15 ans, au moins), cela veut dire que la structure qui l’édite est pérenne, que le site est visité, que le contenu plait aux internautes, etc.

Bref, aux yeux des moteurs de recherche, vous avez peut-être un site dit « référent » avec un PageRank assez élevé. Et en terme de référencement naturel, un site pérenne et fréquemment mis à jour, c’est bon.

5. La fréquence de publications, des articles récents, la fréquentation du site, les sites référents

Plus on publie, plus on incite les robots des moteurs de recherche à venir « scanner » notre site web. Et inversement. Google veut du contenu bon… et frais. Si vous ne pouvez pas publier 30 articles par mois, pas de panique. Mieux vaut en publier 1 seul par semaine, mais de façon régulière. Cela laisse également plus de temps pour travailler sur son article. Qualité et quantité, un judicieux équilibre à trouver !

On l’a vu récemment ces derniers mois, les moteurs de recherche ont eu tendance à faire apparaître des articles vieux certains de plus de 10 ans ! Même si le défaut semble corrigé depuis, rien de plus frustrant de tomber sur un article dont le sujet n’est plus du tout à jour (évolutions technologiques, textes de lois différents, etc.). Comme pour le point précédent, publier régulièrement du contenu bon et frais permet de montrer aux moteurs de recherche que vous êtes un bon « élève ».

Plus un site est visité, plus son contenu plait, plus les internautes sont contents, et plus les moteurs de recherche sont contents, donc plus les moteurs de recherche le positionnent en première page, etc. Voilà un cercle vertueux dans lequel il peut être difficile de s’inscrire, mais une fois qu’on fait partie du cercle, la fréquentation va crescendo, et même de façon exponentielle.

Faisons une courte analogie : quand un ami de confiance nous recommande un restaurant ou un livre, eh bien on lui fait… confiance. Il en va de même entre sites internet. Si, par chance, vous connaissez un site qui est très bien référencé, et avec lequel vous pouvez échanger de bons procédés, ne vous en privez pas. Cela donne de la crédibilité à votre site internet.

6. Intégrer un blog d’entreprise et / ou un forum à votre site web

Le blog est un excellent moyen de donner de la visibilité à votre site internet. Il agit un peu comme un démultiplicateur pour vous offrir un véritable bras de levier dans certains cas. Nous le traitons dans cet article : pourquoi créer un blog d’entreprise ? Si vous parvenez à traiter de sujets qui sont recherchés par les internautes, et à y apporter une réponse, alors c’est gagné en terme de visibilité.

Tout autant que les blogs, vous avez déjà remarqué comme les forums sont très bien référencés dans les moteurs de recherche ? Véritables « bombes » de mots-clé et de champs lexicaux spécifiques, les sujets traités dans les forums (ainsi que les réponses) apparaissent très fréquemment dans les premières positions. Pourquoi ? Parce qu’à une problématique posée, une réponse est souvent apportée. Et le web adore rendre ce genre de services…

7. La technologie de codage du site web

Et pour le dernier point (non des moindres…) de cette thématique liée aux technologies du site internet : le codage ! Disons-le clairement : aujourd’hui, coder un site web à 100% c’est devenu très rare… Au mieux, pas besoin de coder (c’est l’avantage des CMS comme WordPress ou Joomla par exemple), ou si peu. Au pire, on fera travailler « ensemble » des extensions déjà codées, il restera donc à assembler ces lignes de code correctement. Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Les aspects SEO techniques liés à la rédaction

8. La structure de l’article de blog ou de la page web

Le web est une toile structurée… et qui adore les structures. Un article de blog ou une page web se doit également de respecter une certaine organisation, une certaine structure. Là, le web n’a pas inventé l’eau chaude, puisque les pratiques issues du journalisme font foi : titre, chapô (ou H2), paragraphes, inter-titres (H3), sous-intertitres (H4), photos, légendes, crédits, etc. Voici un exemple de structure pour un article de blog ou une page web :

9. Les mots-clé, le champ lexical, la sémantique

Une fois qu’on a choisi un sujet dont on sait qu’il va intéresser les internautes, il est temps de faire quelques recherches, afin de ne pas se fier complètement au hasard. En effet, on aura tendance à parler de « liquide à haute thermicité » lorsque notre internaute fera une requête sur les mots-clé « eau chaude ». Vous voyez la différence ? D’un côté, il y a ce qu’on croit être les bons mots-clé, de l’autre côté il y a la vérité : car les clients / internautes ont toujours raison au final. Quels outils utiliser pour déterminer les bons mots-clé ou expressions-clé ? Google nous en fournit quelques-uns :

  • Google Recherches associées (en bas de la page de résultats) :

10. Un titre accrocheur, percutant, vendeur (mais pas mensonger…)

Sur le web, vous trouverez des centaines d’articles qui traitent de cette thématique : comment rédiger des titres accrocheurs ? Voici quelques exemples de titres qu’on trouve habituellement dans des contenus sponsorisés comme Outbrain ou Taboola :

  • « Ces 20 stars se détestent plus que tout et on vous dit pourquoi » : le chiffre 20 interpelle, qui sont ces 20 personnes ? Ce sont des stars, donc on les connaît forcément, ça nous parle. Le registre émotionnel utilisé est celui de la haine. Enfin, on a la promesse d’apprendre quelques secrets.
  • « 15 voitures plébiscitées par les hipsters français » : la cible, c’est le hipster, cet individu un peu anti-conformiste (mais très consommateur…), habillé avec style et portant une barbe taillée et entretenue. Le titre est bien tourné car ce sont ces personnes qui choisissent pour nous (et non un magazine ou une marque…). Là encore, le chiffre 15 interpelle.
  • « Incroyable : une nouvelle source d’énergie pour chez soi » : là on joue sur le lexique émotionnel de la surprise, de la nouveauté. La cible est très large : on a tous un chez soi. Et avec l’essor des énergies renouvelables depuis quelques années, on a envie d’en savoir plus.
  • « Les 10 scènes de nu les plus marquantes du cinéma » : mais non, ce n’est pas pour la nudité des corps, c’est pour le cinéma ! Le désir, l’érotisme, le sexe ont toujours fait vendre. Mais c’est un sujet délicat à traiter lorsqu’on est une entreprise… 😉
  • « Frissons garantis : vous allez rester scotchés devant cette scène de rue tout simplement magique » : les émotions, encore et toujours. Frissons, scotchés, magique, des mots bien choisis qui touchent ce qu’il y a de plus intime en nous, et en même temps de plus universel : on marche tous dans la rue.

Maintenant, si on revient dans le domaine de l’entreprise, quelles techniques rédactionnelles ci-dessus pouvez-vous emprunter ? Lesquelles vous inspirent ?

11. Le style d’écriture : alterner rationnel et émotionnel

Une fois qu’on a trouvé le sujet dont on veut traiter, un titre accrocheur, qu’on a une idée de la structure de l’article, il est temps de s’intéresser au style d’écriture. Qu’on le veuille ou non, avec un peu d’entraînement, on a tous un style d’écriture (si si !), hérité de notre éducation, de notre personnalité, de nos croyances, de nos valeurs. La difficulté réside dans l’équilibre entre « ce qu’on est naturellement » et « l’image qu’on veut donner ». Idéalement, il faudrait le moins d’écart possible, mais ce n’est pas forcément évident dans le cadre professionnel.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ? Faire appel à nos deux cerveaux, celui de la raison et celui de la passion ? Vous aurez ainsi deux fois plus de chance de convaincre vos lecteurs / internautes / prospects / clients.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ?

12. La cible de lectorat ?

« Quand on écrit pour tout le monde, on n’écrit pour personne ». Définir sa cible de lectorat peut s’avérer très difficile, surtout quand on ne connait pas (encore) son lectorat… Le moyen le plus simple est d’imaginer qu’on s’adresse à une seule personne : une cliente, un prospect, un internaute qui nous suit sur les réseaux sociaux, une amie proche, un membre de sa famille, son patron, etc. Écrire pour une seule personne à la fois permet de donner plus de réalité, sonnante et trébuchante, au texte. Véridique ! Tous les grands orateurs le savent : ils ne s’adressent pas à la foule, mais à quelques personnes en particulier, bien choisies.

13. Des contenus visuels ludiques et pertinents

Sauf si on tombe sur une personne capable de lire des textes très longs et imbuvables pendant des heures, on aura tout intérêt à varier les contenus si on veut maintenir une attention intellectuelle de la part de notre internaute. Comme on l’a dit dans cet article traitant des infographies ou dans celui-ci traitant de la viralité de certaines vidéos, il est toujours intéressant de varier les formats de contenus qu’on diffuse sur notre site web ou notre blog. Tantôt ce sera un article composé de texte essentiellement, tantôt une infographie, tantôt une vidéo. Et quand on a un texte très long, il est important de le scinder par des respirations : des paragraphes clairs, des visuels percutants, une vidéo appropriée.

Une campagne de pub « percutante » pour lutter contre les violences routières.

14. La longueur de l’article, le nombre de mots

Quelle est la bonne longueur d’un article de blog ou d’une page web ? 300 mots ? 1000 caractères ? 1000 mots ? 1 page A4 ? Il n’y a pas de vérité établie, comme souvent. Certains préconisent au moins 300 mots, mais quid des articles avec juste un titre et une vidéo par exemple ? Et pourtant, rien ne les empêche de devenir viraux s’ils sont bons ?

Notre conseil est d’alterner la longueur des articles. Certains sujets seront plus courts à traiter (300 à 500 mots), d’autres plus longs car plus structurés (1500 / 2000 voire 3000 mots). « Oui mais les gens sont pressés et ils n’ont pas le temps ! ». Oui, bien sûr. Qui a du temps à consacrer à un sujet qui n’est pas intéressant ou traité de façon indifférente ? Personne ! Par contre, si on touche un sujet crucial ET traité intelligemment, quelles sont les limites ? Aucune. Pour preuve, quand on est pris dans un polar excellent, ne va-t-on pas au bout des 500 pages du pavé ? Dans une certaine mesure, il en va de même pour le web. Lire un article de blog de 4000 mots n’est pas un problème s’il traite d’un sujet crucial à nos yeux. Pour information, cet article fait 3450 mots.

15. Les méta-descriptions, les images, le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien, les URL, etc.

Bien sûr, on ne peut pas parler de SEO et ne pas aborder ces points. Dans l’article « 8 bonnes raisons de refaire son site web« , nous traitons de l’exemple de Wikipedia, c’est la raison n°7… et ce n’est pas inintéressant… 🙂

La méta-description

Une méta-description, c’est cette description de 2 lignes qu’on trouve sous le titre et sous l’URL, dans les pages de résultats des moteurs de recherche : Par défaut, Google la fabrique pour vous en prenant les deux premières lignes de texte de votre article. Et c’est généralement ce qu’on appelle le chapô, ou sous-titre, ou H2. D’où l’importance d’y accorder une attention particulière ! Sous WordPress, quelques outils, comme Yoast SEO par exemple, permettent de modifier la méta-description et d’imposer celle que vous souhaitez vraiment (indépendamment des deux premières lignes de votre article donc).

Les images / photos / visuels / infographies

Les images sont moins bien référencées par les moteurs de recherche que les textes. Il faut donc « injecter » un peu de texte aux images. Comment ? Par 3 façons : le titre de l’image (par exemple seo-referencement-naturel.jpg), son attribut Alt (ou texte alternatif, le texte qui s’affiche quand on positionne sa souris sur une image), la légende de la photo.

Et la taille des images dans tout ça ? Sauf cas bien particuliers, il est aberrant de voir s’afficher sur un site internet des images de 5000 pixels de large et pesant 15 Méga-octets. Pour l’image à la une d’un article ou pour une belle photo, une taille comprise entre 1000 et 1500px suffira amplement pour avoir un rendu net sur tous les types d’écran (Retina, etc.). Pour des images de moindre importance, une taille comprise entre 500 et 800 pixels conviendra la plupart du temps.

Si vous travaillez sous Mac, n’hésitez pas à utiliser l’application Aperçu, elle rend bien des services quand on n’est pas équipé de Photoshop ou Gimp. Sous PC, l’outil de base fonctionne également très bien pour gérer la taille des visuels, les rogner, etc.

Une URL optimisée

Si votre sujet traite de la loi de défiscalisation Pinel 2017″, votre URL devrait ressembler à ça : https://votre-site.com/loi-defiscalisation-pinel-2017 En aucun cas à ça : https://votre-site.com/p54637e33# Veillez donc bien à apporter un soin particulier à vos URL…

Le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien

L’un des meilleurs moyens de faire rester les internautes sur votre site, c’est de faire du maillage interne entre vos articles. Par exemple : « dans notre dernier article consacré au content marketing« , nous faisons un maillage interne. On renvoie vers un autre article de notre site. Si vous avez besoin de citer un article extérieur à votre site, c’est ce qu’on appelle un lien externe. Par exemple : « selon la définition Wikipedia, le content marketing est une… »

L’ancre de lien, c’est le texte visible par l’internaute et qui sert de support à un lien hypertexte. Les textes ci-dessus en rouge sont des ancres de lien. Privilégiez des ancres de lien lisibles par vos internautes ET qui contiennent les mots-clé dont votre article parle. Donc, à éviter : « pour lire notre dossier consacré au content marketing, cliquez ici« .

16. Et à la fin d’un article, on fait quoi ?

On appelle à l’action (CTA, pour Call To Action) ! Quelques exemples :

  • on incite à lire d’autres articles du même thème
  • on propose de s’inscrire à une newsletter pour recevoir les derniers articles
  • on renvoie vers une page de contact
  • on incite à télécharger un livre blanc au format .pdf en échange d’une adresse mail
  • etc.

Les aspects SEO liés à la viralité et aux réseaux sociaux

17. La viralité

Petite devinette : savez-vous pourquoi Facebook rencontre un si vif succès ? Pourquoi les internautes adorent aller sur Facebook ? Réponse : parce que Facebook flatte l’égo des internautes. Analysez les posts Facebook qui fonctionnement le mieux en terme de vues, de likes, de partages et de commentaires, et c’est flagrant…

En tout état de cause, on a bien plus de chance de provoquer la viralité d’un article si on traite d’un sujet qui intéresse les gens ! C’est une évidence, mais on ne se l’applique pas forcément tout le temps !

Ensuite, certains sujets, certains tons, certains débats entraînent naturellement une viralité. Prenez votre site web informatif préféré (lemonde.fr, lefigaro.fr, lequipe.fr, etc.) et analysez les articles qui sont les plus lus ou les plus commentés. Regardez le titre, la structure de l’article, le ton journalistique, les questions posées à la fin, tout ceci nous permet de savoir quels types d’articles fonctionnent. Il en va de même pour la vidéo : quels sont les 3 ingrédients nécessaires à la viralité dans une vidéo ?

18. Les réseaux sociaux, le cercle vertueux

Si on devait faire une analogie, les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, Google+, etc. sont la caisse de résonance de votre violon, l’amplificateur de votre guitare électrique, le micro de votre voix. Autre image : grâce aux réseaux sociaux, on n’attend plus que le prospect vienne chez nous, c’est nous qui allons là où il se trouve.

Bref, vous l’aurez compris, et nous en avions parlé également dans cet article dédié à l’inbound marketing, les réseaux sociaux font partie intégrante du cercle vertueux composé de ces étapes :

  • votre site web ou votre blog d’entreprise
  • sur lequel sont affichés vos contenus web (articles, infographies, vidéos, etc.)
  • qui sont référencés par les moteurs de recherche
  • internautes qui « tombent » sur votre article grâce aux moteurs de recherche
  • les internautes sont donc renvoyés vers votre site web ou votre blog
  • et si le contenu leur plait, ils le partageront sur les réseaux sociaux
  • ainsi leurs « amis » et connaissances pourront également eux aussi accéder à votre blog ou votre site
  • etc.

Et vous, quelles bonnes pratiques en terme de SEO et de référencement naturel avez-vous pu mettre en place pour votre structure ? Est-ce que ça a fonctionné en terme d’impact ? Avez-vous pu mesurer un retour sur investissement ?

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Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

La fiche-produit peut être la porte d’entrée ou la porte de sortie de notre site web marchand, selon la qualité rédactionnelle et photographique de cette dernière… Voici 8.5 astuces pour la rédaction de la fiche-produit d’un site de vente en ligne.

Si on veut faire fuir un acheteur potentiel, alors on rédige une fiche-produit avec une photo en petit, et un descriptif qui ne reprend que des caractéristiques sous la forme d’un tableau. Mais quel dommage, quand on a passé du temps à créer un site e-commerce, qu’on a peaufiné le design, la navigation, les prix, le tunnel de paiement, etc., que tous nos efforts se retrouvent anéantis parce qu’on ne donne pas une attention particulière à la fiche-produit…

Une fiche-produit n’est pas un article de blog. Dans le cas d’une fiche-produit destinée à acheter le produit, on recherchera la précision (offrir à l’acheteur potentiel l’information qu’il cherche) et la concision (ne pas faire perdre de temps à l’acheteur potentiel).

Les 8.5 conseils ci-dessous ne dispensent évidemment pas des autres éléments indispensables : mentions légales, prix, grille de tailles, couleurs, frais de livraison, retour, suggestions personnalisées, etc. Dans tous les cas, nous ne recherchons qu’un seul objectif : se différencier de ce que nos concurrents proposent, c’est-à-dire souvent les mêmes informations…

G-star-1

Le site web marchand de G-Star, par exemple, propose dans la fiche-produit des photos de produits portés en situations réelles, différents coloris, etc., et plus bas (non visible sur la photo) des informations sur la fabrication du produit, son origine, des détails sur les tissus, les informations de lavage, etc.

1. Fiche-produit : humaniser le titre

C’est une évidence pour certains, pas encore pour d’autres, mais nous insisterons particulièrement sur tout ce qui peut favoriser la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche, en français) dans les fiches-produits, et notamment en ce qui concerne le titre. Et comme tout ce qui est bon pour l’humain est bon pour les moteurs de recherche (et non l’inverse), nous allons « humaniser les titres » !

Exemples de titres à bannir :

  • Guide 35+ Deuter
  • TV 4K LCD 107cm Sony B40-352PWXD 3D
  • Ralph Lauren « effet chic »
  • Loft 63m Paris 12 dispo de suite

Exemples de titres à utiliser :

  • Sac à dos hommes DEUTER Guide 35+
  • Télé écran plat 107cm 4K SONY B40-352PWXD
  • Chemise de mariage cintrée RALPH LAUREN « Effet chic »
  • Beau loft de 63m² au coeur de Paris dans le 12ème arrondissement

2. Le descriptif produit résumé

Dans la même logique que le titre, nous allons tout simplement résumer en 2 lignes le produit, et les bénéfices immédiats du produit pour l’acheteur potentiel.

Exemple :
Sac à dos d’alpinisme pour hommes DEUTER Guide 35+. Résistant, confortable, léger, parfaitement accessoirisé, extensible de 8 litres.

Ah oui, une petite astuce aussi : sur la page qui présente la gamme (ou la collection), faire en sorte d’afficher au-dessus de la photo le titre du produit, et sous la photo le début de ces deux premières lignes, en finissant par 3 points de suspension : cela donne envie naturellement d’en savoir plus !

3. Les (belles) photos

L’internaute doit pouvoir faire comme s’il était en magasin et qu’il pouvait toucher le produit que nous proposons. Pour ce faire, rien de tel que de belles photos du produit :

  • 1 photo du produit sur fond blanc ou uni
  • 4 ou 5 photos du produit porté et/ou en conditions réelles d’utilisation
  • multiples vues : face, arrière, côtés, dessus, 3/4, etc.
  • zoom sur toutes les vues souhaitées
  • zoom sur la texture
  • etc.
Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, bref de quoi donner envie d'acheter.

Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, etc. Bref, de quoi donner envie d’acheter.

4. Le descriptif produit détaillé

C’est souvent ici que nous allons copier/coller les informations données par le fabricant. Caractéristiques techniques, argumentaire marketing du fabricant, avantages concurrentiels, c’est l’endroit idéal pour l’ensemble de ces informations. Nous l’aurons noté, c’est ce descriptif produit détaillé que nous retrouvons dans 95% des cas partout sur les différents sites web marchands…

5. L’avis de l’entreprise

Vous êtes fan du produit dont vous parlez ? Un commentaire humain, impartial, et personnalisé fait souvent toute la différence. N’hésitez pas à parler des « trucs qu’on adore », et des « trucs qu’on aime moins mais qui dans certains contextes se transforment en trucs qu’on adore »…

6. Les notes et avis des clients

Les notes (sur 10, ou des étoiles, etc.), ainsi que les avis des clients sont souvent l’élément déclencheur et qui permettent à l’internaute de devenir un client. Ils sont l’équivalent du fameux « bouche à oreilles ». Aujourd’hui, il existe une multitude de solutions techniques pour que nos clients puissent laisser un commentaire après avoir acheté et utilisé un produit.

Les sites d'hôtellerie comme Booking.com utilisent à 110% les notes et les avis de leurs clients.

Les sites d’hôtellerie comme Booking.com utilisent à 100% les notes et les avis de leurs clients.

7. Le lien vers le blog de l’entreprise

Vous tenez un blog d’entreprise et vous avez créé spécialement un article qui traite d’un produit en particulier ? Parfait ! N’hésitez donc pas à insérer, sur la fiche-produit, un lien vers le blog. Et pour être certain(e) de récupérer l’internaute à la fin de l’article, insérez de nouveau un lien vers le site web marchand…

8. La SEO

Naturellement, toutes les informations qu’on va donner ci-dessus (titre humain, descriptif résumé, photos avec de vrais titres, descriptif long, avis des clients, lien vers le blog, etc.) vont permettre d’améliorer le référencement de notre fiche-produit. N’oublions pas : si ça plaît aux internautes, ça plaît aux moteurs de recherche…

8,5. Sortir des sentiers battus

Et si au lieu de faire comme tout monde, on faisait comme personne ? Mettre de l’humain, de l’humour, du fantasque, du piment, de l’inconnu, du non-convenu, c’est ce qu’ont choisi de faire dans leurs fiches-produits les trublions du goût les plus en vogue du moment : Michel et Augustin.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d'une fiche-produit.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d’une fiche-produit.

Conclusion

On le sait, la difficulté pour une entreprise de e-commerce, c’est souvent de devoir gérer des centaines, voire des milliers de références de produits. Tout va dépendre donc de notre stratégie marketing initiale : veut-on offrir un choix immense à l’internaute mais avec peu d’informations, donc à bas prix, ou préfère-t-on offrir un contenu unique et de qualité afin de transformer le visiteur lambda en client ?

Aujourd’hui, l’un ne va pas sans l’autre. Si on offre un choix pléthorique mais sans contenu qualitatif permettant de choisir, c’est compliqué. Et si on offre de la valeur ajoutée mais mal placée en prix, on passe à côté des ventes. Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

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ECO Savoie Mont Blanc : création et rédaction d’une newsletter hebdomadaire

ECO Savoie Mont Blanc : création et rédaction d’une newsletter hebdomadaire

Informer un lectorat à propos d’actualités économiques locales requiert une stratégie multi-canal : un magazine papier, un site web, des réseaux sociaux… et une newsletter. C’est ce que nous avons créé pour notre maison-mère.

 

Contexte initial

Dans le cadre de la digitalisation du média économique ECO Savoie Mont Blanc, il était important de pouvoir toucher les lecteurs là où ils sont aussi : sur le web et les réseaux sociaux.

Nos idées

Le format d’une newsletter s’est imposé rapidement : informer les lecteurs par des sujets qui les intéressent faisait intégralement partie des métiers d’ECO Savoie Mont Blanc. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, les newsletters sont parmi les médias numériques les plus lus…

Le travail de création de l’Agence ECO

  • Choix de l’opérateur e-mailing : MailChimp
  • Création graphique d’un template ECO reprenant la sobriété graphique du magazine papier
  • Rédaction hebdomadaire de la newsletter en fonction des articles parus sur le site web
  • Choix des photos, des boutons CTA (Call To Action), etc.
  • Mise en avant de conférences, tables rondes, etc.
  • Mise en avant de produits commerciaux (abonnements, annonces légales)
  • Mise en avant des différentes marques du groupe

Les bénéfices attendus pour notre maison-mère

  • Apporter des lecteurs supplémentaires par le biais d’un nouveau canal de distribution
  • Augmenter le trafic du site web
  • Appuyer une identité papier + numérique
  • Repositionner l’image de la marque numérique

Le résultat :

http://mailchi.mp/ecosavoie/cest-lheure-de-votre-pause-eco-1005025

On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?