Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

Marketing web : 4 nouveaux profils d’acheteurs e-commerce

L’une des missions premières du marketing est de connaître ses clients potentiels : les fameuses « cibles ». Et c’est encore plus vrai dans le domaine du e-commerce. L’agence RAKUTEN Marketing a mené l’enquête afin de définir qui sont les nouveaux profils d’acheteurs sur le web.

L’infographie ci-dessous révèle 4 profils :

  • le discounter, à l’affût des meilleures affaires, des promos les plus intéressantes.
  • le luxe addict, un véritable ambassadeur de marques célèbres au pouvoir d’achat élevé
  • l’impulsif, qui agit au coup de coeur / coup de clic
  • le flâneur nomade, un aficionado de nouvelles technologies, tendance globe-trotter

Et vous, connaissez-vous quelqu’un de votre entourage qui ressemble à l’un de ces profils ? Vous, peut-être ? En quoi ces données peuvent vous être utiles pour votre stratégie marketing et pour votre site web marchand ?

E-commerce, site web marchand : 4 profils d'acheteurs, par Rakuten Marketing.

Source : https://www.leptidigital.fr/e-commerce/profils-acheteur-en-ligne-10848/

 

 

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SEO : les 40 erreurs techniques les plus fréquentes, par SEMrush

SEO : les 40 erreurs techniques les plus fréquentes, par SEMrush

SEMrush, une célèbre agence américaine de marketing online, publie une infographie forte intéressante : les 40 erreurs techniques les plus courantes en SEO. La voici.

Beaucoup d’éléments y sont abordés : les noms de domaines, les redirections, les liens cassés, la sitemap, le contenu rédactionnel, les images, la vitesse de chargement de la page, la technologie du site web, la compatibilité Responsive design, etc.

SEO / référencement naturel : 40 erreurs courantes, par SEMrush.

 Source : https://fr.semrush.com/blog/40-erreurs-de-seo-technique-etude-semrush-2017/

 

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L’Agence ECO : création du site internet… et du business plan associé

L’Agence ECO : création du site internet… et du business plan associé

Notre maison-mère, SOPREDA2, souhaitait diversifier ses activités en partant du constant que, depuis 1974, nous créons du contenu rédactionnel journalistique et économique. C’est ainsi que l’Agence ECO s’est créée dans le cadre d’un éco-système web : création de contenus web, création de sites internet, référencement / SEO.

Contexte initial

Nous sommes partis de deux constats :

  • Créer du contenu rédactionnel est notre métier depuis toujours chez Sopreda2
  • Beaucoup d’agences de communication proposent des services de création de sites internet. Mais au final, rares sont celles qui proposent de rédiger du contenu pour alimenter ces mêmes sites.

Nos idées

  • S’appuyer sur l’expérience ECO en rédactionnel pour créer cette nouvelle agence web et content marketing en Savoie Mont Blanc
  • Intégrer de nouvelles compétences pour étoffer l’offre : rédaction web, création d’infographies, création de vidéos, création de sites web, référencement / SEO, etc.
  • S’appuyer sur les partenaires historiques ECO pour lancer cette agence

Le travail de création de l’Agence ECO

  • Brainstorming d’idées, création du business plan
  • Création du nom, du slogan, choix de l’URL
  • Création du logo et de la charte graphique
  • Partir d’une page blanche pour créer le site internet
  • Intégrer les dernières technologies WordPress pour ce site vitrine
  • Créer un site web intégrant un blog d’entreprise + un module e-commerce
  • Rédiger des articles de blog en rapport avec les actualités web
  • Créer les réseaux sociaux

Les bénéfices attendus pour notre maison-mère

  • Diversification de l’offre globale
  • Apport de revenus complémentaires
  • Affirmation d’une présence web en Savoie Mont Blanc
  • Participer à la digitalisation des entreprises locales, donc à l’économie locale

Le résultat : 😉

agence eco

On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?

Rédiger pour le web : quel style rédactionnel employer ?

Rédiger pour le web : quel style rédactionnel employer ?

La rédaction d’un texte pour le web, comme un article de blog ou une page internet par exemple, peut s’avérer bien compliquée pour qui n’est pas habitué à l’écriture. Trois styles rédactionnels ont nos faveurs : le style « blog », le style journalistique, et le style romancé. C’est ce que nous vous détaillons ci-dessous.

Certains articles (presse, blogs, magazines, etc.), lorqu’on les lit, nous « parlent » tout de suite. Le sujet traité a son importance, le titre bien sûr (accrocheur ou non), mais également le style rédactionnel, le ton employé. Pourquoi ? Cela tient en grande partie à nos habitudes de lecture, donc à nos habitudes sociaux-culturelles, à notre éducation.

Et selon qui on est (une entreprise ? un particulier ?), selon à qui on s’adresse (une entreprise ? un particulier ?), selon son domaine d’activité (une étude notariale ? une agence d’événementiel ?), on n’emploiera pas forcément le même ton pour rédiger un texte pour le web. Voici notre analyse.

Le style « blog »

Si le style rédactionnel « blog » était une tenue vestimentaire, ce serait ce style « casual ». Crédit : Pinterest.

ll s’agit d’un ton naturel, décontracté, mais pas trop. On est à mi-chemin entre le langage parlé et le langage soutenu, et selon notre cible, on fera varier le curseur entre ces ceux tonalités.

Par exemple, le style rédactionnel que nous employons pour cet article est un style « blog » : naturel, décontracté, mais nous ne sommes pas là pour dire « Hey ! Comment ça va mon pote ?! Chu MDR quand je vois ta réaction ! C’est ouf ! ». Nous poussons à l’extrême, mais c’est un peu ça :  naturel, décontracté, mais on se tient.

Voici un exemple de style rédactionnel « blog », de notre cru, sur une thématique donnée : l’innovation de rupture

« Créer, c’est aller de 0 à 1. Innover, c’est aller de 1 à 1000. Ces rapports pourraient être la définition de ce qu’est l’innovation de rupture. On l’aura compris, innover est donc différent de créer. Des milliers de créations, d’inventions, ne trouvent jamais preneur. Et pour cause : il n’y a pas forcément un marché à mettre en face. Innover pourrait donc se résumer également par cette formule : création + marketing + vente = innovation. Tant que le produit ou le service ne trouve pas d’acheteurs en nombre, on ne peut parler d’innovation. Et l’innovation de rupture intervient justement quand tel produit ou tel service trouve des acheteurs en masse. Une « énorme » masse serait-on tenté de dire.

Des exemples ? Google, Wikipedia, Facebook, l’iPhone, Uber, Airbnb, etc., ces marques n’existaient pas il y a 20 ans. Aujourd’hui, elles sont devenues incontournables, gigantesques, tentaculaires. Pourquoi ? Parce qu’elles ont provoqué une innovation de rupture. Elles ont « créé un nouveau business model, basé sur la création de valeur, à un prix jugé acceptable par les utilisateurs. Elles ne sont pas entrées en compétition avec les autres, elles ont créé un marché qui n’existait pas » (lire absolument l’excellent livre Blue Ocean Strategy). Elles ont créé de nouveaux métiers, une nouvelle croissance, tant et si bien qu’il paraitrait impossible aujourd’hui de s’en passer.

La prochaine étape, nous l’espérons, sera l’innovation de rupture au service de l’humain. De tous les êtres humains. Social, solidaire, et écologique. Et pour vous, c’est quoi l’innovation de rupture ? Dites-le nous dans le champs de commentaires ci-dessous ! 🙂 »

Le style journalistique

Si le style journalistique était un style vestimentaire, ce serait quelqu’un portant un costume sobre, passe-partout, neutre. Et élégant. Crédit : Pierre Clarence.

Il s’agit d’un ton neutre, professionnel, analytique, rationnel. Presque « froid » parfois. Car oui, le journaliste est là pour énoncer des faits, rien que des faits. Dans un article journalistique, pas de prise de position, pas de marketing caché, pas d’incitation. Le maître-mot ? Informer. Et juste ça. De la façon la plus impartiale qui soit.

Voici un exemple de style rédactionnel journalistique, de notre cru, toujours sur la même thématique : l’innovation de rupture

« Depuis les années 60, après l’avoir étudiée, éprouvée, théorisée, nombre d’experts ont tenté de définir ce qu’était l’innovation de rupture. D’abord en Autriche, puis aux États-Unis, le « père du management contemporain » Peter Drucker (né en 1909, mort en 2005) nous parle en ces termes : « L’entreprise n’a que deux fonctions essentielles, et deux seulement : le marketing et l’innovation ». Pour lui, « L’innovation systématique requiert la volonté de considérer le changement comme une opportunité ».

Opportunité. Et si tout découlait de ce mot, en définitive. Là où les Anglo-saxons diront « Take a chance », les Français utiliseront « Prendre un risque ». Chance versus Risque, c’est précisément dans ces mots que se trouve le paradoxe complémentaire du verre à moitié vide ou du verre à moitié plein.

Là où certains voient une contrainte, d’autres voient une opportunité, et même une opportunité de masse. Des-devenus- géants comme Google, Wikipedia, Facebook, l’iPhone, Uber, ou Airbnb ne s’y sont pas trompés : c’est bien dans le marché de masse que ces entreprises ont puisé leur croissance. Dans leur ouvrage « Blue Ocean Strategy » (Stratégie Océan Bleu, Ndt) paru en 2005, W. Chan Kim et Renée Mauborgne résument l’innovation de rupture ainsi : « Ces entreprises ont créé un nouveau business model, basé sur la création de valeur, à un prix jugé acceptable par les utilisateurs. Elles ne sont pas entrées en compétition avec les autres, elles ont créé un marché qui n’existait pas ».

Après ces croissances acquises auprès d’un marché de masse, verra-t-on dans les mois et années à venir une croissance durable et humaniste émerger ? La question reste posée. »

Le style romancé

Si le style romancé était une tenue vestimentaire, ce serait celle de ce hipster, poète contemporain et navigateur au long cours. Crédit : Ricki Hall.

Depuis quelques années maintenant, on voit apparaître des « articles » sous la forme de mini-romans, sortes de nouvelles, ancrées dans la réalité du sujet à définir. En d’autres termes : le fameux storytelling. Littéralement : « on raconte une histoire ». Les histoires, contées par un Papa ou une nounou au moment de s’endormir lorsque nous étions enfant, ont un pouvoir de persuasion et de mémoire bien supérieur aux autres textes traditionnels.

Pourquoi ? Parce qu’il y a une intrigue, qu’on veut en connaître la fin. Et l’utilisation de personnages, de « héros » à qui on s’identifie, joue également un rôle important. Le style romancé, s’il est bien fait, peut donc tout à fait être utilisé dans des domaines plus « terre à terre », plus professionnels.

Voici un exemple de style romancé, de notre cru, sur la thématique…(oui vous le savez déjà…) de l’innovation de rupture :

« Marcus n’en revenait pas, tout encore abasourdi qu’il l’était. Laura venait de lui souffler à demi-mots ce qu’il cherchait, en vain, depuis tant d’années. Et avec un sourire malicieux en plus, malice qui aurait tourné à un certain charme, s’ils ne s’étaient pas trouvés tous deux dans un cadre professionnel. Il ne l’avait pas remarqué tout de suite, mais Marcus entendait les battements de son coeur résonner de façon sourde et profonde, dans sa tête et dans sa poitrine. Laura avait fait mouche. Elle ne le savait que trop bien. Marcus reprit peu à peu ses esprits et lui demanda :
-Alors toi, tu n’y vas pas par quatre chemins ! s’exclama-t-il. Tu sais combien de soirées j’ai passé à essayer de résumer ce qu’est l’innovation de rupture ?
-Disons que c’est notre sens du pragmatisme, poursuivit Laura. Qui a dit que les femmes ne savait pas être efficaces ? dit-elle avec une diablerie certaine désormais.
- »Créer, c’est aller de 0 à 1. Innover, c’est aller de 1 à 1000″. Marcus répéta mot pour mot les paroles de Laura.
-Et je peux même ajouter que, d’un point de vue financier, c’est idem. Regarde les géants omniprésents dans notre vie, au quotidien. Google, Facebook, Apple, Airbnb, qui n’utilise pas au moins un de leurs services ? À moins d’habiter dans un endroit reculé, et encore, de la forêt amazonienne, tout le monde a un rapport avec ces marques, quand tu y penses.
-Mais oui, c’est exactement ça. Pour poursuivre sur ta métaphore de la forêt, ces géants comme tu dis, ont créé leur propre espace vierge, leur propre marché, leur propre business model. ll faudra que je te parle d’un livre aussi, que j’ai dévoré ! Tu verras, c’est une histoire d’océans rouges et d’océans bleus…
-Oui, de W. Chan Kim et Renée Mauborgne, c’est ça ? dit Laura en souriant.
-Alors toi ! Waouh ! Tu me si-dères ! Mais comment tu…
Laura savait qu’elle ne devait pas entrer en compétition avec Marcus sur ce sujet de l’innovation. Après tout, il n’était qu’un homme… Elle l’assomma agréablement en lui faisant part de ses craintes, ses espoirs : de voir un jour ces nouvelles technologies être au service de l’être humain et de la planète. Elle avait donc fait un pas de côté, pour créer sa propre parole, sa propre stratégie. Son propre péril aussi. Elle était tombée sous le charme de Marcus : ses bras puissants, musclés, sous une chemise blanche bien taillée, ses airs d’intellectuel-candide, ne la laissaient pas de marbre. Mais à cet instant précis, ce qu’elle ignorait encore, c’est que cette relation amoureuse naissante la conduirait à sa propre perte… »

Conclusion

Bien sûr, il existe d’autres styles rédactionnels. Si on file la métaphore vestimentaire masculine, il y a le bleu de travail, le smoking de soirée, la tenue sportive, etc. Libre à chacun d’inventer sa propre mode, son propre style, qu’il soit vestimentaire ou rédactionnel.

Saviez-vous que, grâce au web, les gens n’ont jamais autant lu ? Oui, oui, vous avez bien lu (!). Même quelqu’un qui n’ouvre jamais de livres ou de magazines lit bien plus qu’avant : SMS, posts Facebook, tweets, e-mails, etc. Donc, bonne nouvelle : les lecteurs n’ont jamais été aussi nombreux ! Par conséquence, la culture de l’écrit n’a jamais été aussi forte depuis que le web est apparu.

Demain, peut-être que l’oralité (intelligence articielle, Siri, etc.) reprendra le dessus, mais en attendant, autant en profiter et « parler » de son entreprise par écrit, que ce soit au travers d’un blog d’entreprise ou d’une page web de son site internet.

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SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

SEO / référencement naturel : comment être visible dans les moteurs de recherche ?

« Je veux apparaître en premier dans Google ! ». Quelle agence web en SEO et en référencement naturel n’a pas entendu systématiquement cette requête de la part de son client ? Pourtant, la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche) est une science inexacte…

Pourquoi ? Parce que la SEO est en mutation constante ! On pensait avoir raison sur tel point ? Et hop ! Google met à jour son algorithme et vient bouleverser nos idées reçues. Oui, mais… il existe des bonnes pratiques dans le domaine de la SEO : viables, saines, durables.

Malgré le caractère inexact de cette science qu’est le référencement naturel, voici notre check-list en 18 points pour optimiser son positionnement dans Google, classés selon 4 thématiques :

  • l’intérêt du sujet et la qualité du contenu
  • les aspects techniques liés au site web ou au blog
  • les aspects techniques liés à la rédaction de l’article ou de la page
  • l’utilisation des réseaux sociaux et la viralité du contenu

1. LA règle en SEO : l’intérêt du sujet et la qualité du contenu

Traiter de sujets qui intéressent les gens : voici la première règle en SEO pour être visible ! C’est une évidence, mais on a souvent tendance à l’occulter, de façon inconsciente la plupart du temps. Pourquoi ? Parce qu’on a tellement envie de parler de NOTRE sujet, de NOTRE produit, qu’on en oublie de savoir si ça intéresse l’internaute…

Comment trouver des sujets qui intéressent les gens ? Réponse : être en alerte sur la « rumeur du monde ». C’est-à-dire les réseaux sociaux, les moteurs de recherche, les forums, les JT du 20h, les émissions de radio, les films au cinéma, les livres récemment parus, les salons locaux, les problématiques de nos clients, etc.

« Ok, j’ai trouvé un sujet intéressant, mais comment je fais pour le traiter de façon intéressante ? ». C’est aussi une question à ne pas occulter. Le mieux sera de se mettre à la place du lecteur et de se poser des questions comme « est-ce que j’ai appris quelque chose ? », « est-ce que ça m’a été utile ou je le savais déjà ? », « est-ce que ça donne envie de le partager avec mes amis ? ». Si on répond « non » à ces questions, alors il faut revoir sa copie…

SEO / référencement naturel, règle n°1 : être intéressant !

Les aspects SEO techniques liés au site web ou au blog

2. La disponibilité du site web / du serveur, la rapidité de chargement du site web

Autre évidence, mais assurons-nous d’avoir un site web, un serveur, un hébergeur avec un taux de disponibilité (donc d’affichage pour nos internautes…) proche de 100%. Ici, nous travaillons sous hébergement OVH, l’un des leaders en Europe… et français qui plus est (Lille).

Nous sommes comme tout le monde en ce qui concerne le web : il faut que ça aille vite ! Devoir patienter 10 secondes pour l’ouverture d’une page internet, et l’internaute passe son chemin. Pour mesurer et savoir comment optimiser le temps de chargement de votre site web, vous pouvez utiliser GT Metrix par exemple.

3. Un site adapté à tous les écrans : responsive design

On en vient naturellement à aborder le sujet des différentes tailles d’écran : ordinateur, tablette, smartphone. Votre site doit s’adapter automatiquement à l’appareil utilisé par l’internaute. En effet, rien de plus rébarbatif de consulter depuis son iPhone un site web conçu exclusivement pour les ordinateurs… La plupart des thèmes et des CMS sont maintenant d’office en Responsive design.

Vient ensuite un point important pour ce qui concerne les aspects techniques du site web : son ergonomie. Ou : « est-ce que mon site est intuitif ? ». Un site clair, bien fait, bien rangé, avec une fonctionnalité de recherche sera plus visité par les internautes. Il y a des chances pour qu’il se charge aussi plus rapidement. Bref, tout ceci participe au bon éco-système de votre SEO.

4. L’antériorité du site

Ah que ce point est injuste pour les « nouveaux-nés » ! En effet, un site qui possède une antériorité assez longue (de 3 à 15 ans, au moins), cela veut dire que la structure qui l’édite est pérenne, que le site est visité, que le contenu plait aux internautes, etc.

Bref, aux yeux des moteurs de recherche, vous avez peut-être un site dit « référent » avec un PageRank assez élevé. Et en terme de référencement naturel, un site pérenne et fréquemment mis à jour, c’est bon.

5. La fréquence de publications, des articles récents, la fréquentation du site, les sites référents

Plus on publie, plus on incite les robots des moteurs de recherche à venir « scanner » notre site web. Et inversement. Google veut du contenu bon… et frais. Si vous ne pouvez pas publier 30 articles par mois, pas de panique. Mieux vaut en publier 1 seul par semaine, mais de façon régulière. Cela laisse également plus de temps pour travailler sur son article. Qualité et quantité, un judicieux équilibre à trouver !

On l’a vu récemment ces derniers mois, les moteurs de recherche ont eu tendance à faire apparaître des articles vieux certains de plus de 10 ans ! Même si le défaut semble corrigé depuis, rien de plus frustrant de tomber sur un article dont le sujet n’est plus du tout à jour (évolutions technologiques, textes de lois différents, etc.). Comme pour le point précédent, publier régulièrement du contenu bon et frais permet de montrer aux moteurs de recherche que vous êtes un bon « élève ».

Plus un site est visité, plus son contenu plait, plus les internautes sont contents, et plus les moteurs de recherche sont contents, donc plus les moteurs de recherche le positionnent en première page, etc. Voilà un cercle vertueux dans lequel il peut être difficile de s’inscrire, mais une fois qu’on fait partie du cercle, la fréquentation va crescendo, et même de façon exponentielle.

Faisons une courte analogie : quand un ami de confiance nous recommande un restaurant ou un livre, eh bien on lui fait… confiance. Il en va de même entre sites internet. Si, par chance, vous connaissez un site qui est très bien référencé, et avec lequel vous pouvez échanger de bons procédés, ne vous en privez pas. Cela donne de la crédibilité à votre site internet.

6. Intégrer un blog d’entreprise et / ou un forum à votre site web

Le blog est un excellent moyen de donner de la visibilité à votre site internet. Il agit un peu comme un démultiplicateur pour vous offrir un véritable bras de levier dans certains cas. Nous le traitons dans cet article : pourquoi créer un blog d’entreprise ? Si vous parvenez à traiter de sujets qui sont recherchés par les internautes, et à y apporter une réponse, alors c’est gagné en terme de visibilité.

Tout autant que les blogs, vous avez déjà remarqué comme les forums sont très bien référencés dans les moteurs de recherche ? Véritables « bombes » de mots-clé et de champs lexicaux spécifiques, les sujets traités dans les forums (ainsi que les réponses) apparaissent très fréquemment dans les premières positions. Pourquoi ? Parce qu’à une problématique posée, une réponse est souvent apportée. Et le web adore rendre ce genre de services…

7. La technologie de codage du site web

Et pour le dernier point (non des moindres…) de cette thématique liée aux technologies du site internet : le codage ! Disons-le clairement : aujourd’hui, coder un site web à 100% c’est devenu très rare… Au mieux, pas besoin de coder (c’est l’avantage des CMS comme WordPress ou Joomla par exemple), ou si peu. Au pire, on fera travailler « ensemble » des extensions déjà codées, il restera donc à assembler ces lignes de code correctement. Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Pour notre part, nous utilisons les technologies développées sous WordPress : l’une des plus importantes communauté Open Source au monde ! Donc l’une des plus performantes en terme de référencement et de SEO…

Les aspects SEO techniques liés à la rédaction

8. La structure de l’article de blog ou de la page web

Le web est une toile structurée… et qui adore les structures. Un article de blog ou une page web se doit également de respecter une certaine organisation, une certaine structure. Là, le web n’a pas inventé l’eau chaude, puisque les pratiques issues du journalisme font foi : titre, chapô (ou H2), paragraphes, inter-titres (H3), sous-intertitres (H4), photos, légendes, crédits, etc. Voici un exemple de structure pour un article de blog ou une page web :

9. Les mots-clé, le champ lexical, la sémantique

Une fois qu’on a choisi un sujet dont on sait qu’il va intéresser les internautes, il est temps de faire quelques recherches, afin de ne pas se fier complètement au hasard. En effet, on aura tendance à parler de « liquide à haute thermicité » lorsque notre internaute fera une requête sur les mots-clé « eau chaude ». Vous voyez la différence ? D’un côté, il y a ce qu’on croit être les bons mots-clé, de l’autre côté il y a la vérité : car les clients / internautes ont toujours raison au final. Quels outils utiliser pour déterminer les bons mots-clé ou expressions-clé ? Google nous en fournit quelques-uns :

  • Google Recherches associées (en bas de la page de résultats) :

10. Un titre accrocheur, percutant, vendeur (mais pas mensonger…)

Sur le web, vous trouverez des centaines d’articles qui traitent de cette thématique : comment rédiger des titres accrocheurs ? Voici quelques exemples de titres qu’on trouve habituellement dans des contenus sponsorisés comme Outbrain ou Taboola :

  • « Ces 20 stars se détestent plus que tout et on vous dit pourquoi » : le chiffre 20 interpelle, qui sont ces 20 personnes ? Ce sont des stars, donc on les connaît forcément, ça nous parle. Le registre émotionnel utilisé est celui de la haine. Enfin, on a la promesse d’apprendre quelques secrets.
  • « 15 voitures plébiscitées par les hipsters français » : la cible, c’est le hipster, cet individu un peu anti-conformiste (mais très consommateur…), habillé avec style et portant une barbe taillée et entretenue. Le titre est bien tourné car ce sont ces personnes qui choisissent pour nous (et non un magazine ou une marque…). Là encore, le chiffre 15 interpelle.
  • « Incroyable : une nouvelle source d’énergie pour chez soi » : là on joue sur le lexique émotionnel de la surprise, de la nouveauté. La cible est très large : on a tous un chez soi. Et avec l’essor des énergies renouvelables depuis quelques années, on a envie d’en savoir plus.
  • « Les 10 scènes de nu les plus marquantes du cinéma » : mais non, ce n’est pas pour la nudité des corps, c’est pour le cinéma ! Le désir, l’érotisme, le sexe ont toujours fait vendre. Mais c’est un sujet délicat à traiter lorsqu’on est une entreprise… 😉
  • « Frissons garantis : vous allez rester scotchés devant cette scène de rue tout simplement magique » : les émotions, encore et toujours. Frissons, scotchés, magique, des mots bien choisis qui touchent ce qu’il y a de plus intime en nous, et en même temps de plus universel : on marche tous dans la rue.

Maintenant, si on revient dans le domaine de l’entreprise, quelles techniques rédactionnelles ci-dessus pouvez-vous emprunter ? Lesquelles vous inspirent ?

11. Le style d’écriture : alterner rationnel et émotionnel

Une fois qu’on a trouvé le sujet dont on veut traiter, un titre accrocheur, qu’on a une idée de la structure de l’article, il est temps de s’intéresser au style d’écriture. Qu’on le veuille ou non, avec un peu d’entraînement, on a tous un style d’écriture (si si !), hérité de notre éducation, de notre personnalité, de nos croyances, de nos valeurs. La difficulté réside dans l’équilibre entre « ce qu’on est naturellement » et « l’image qu’on veut donner ». Idéalement, il faudrait le moins d’écart possible, mais ce n’est pas forcément évident dans le cadre professionnel.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ? Faire appel à nos deux cerveaux, celui de la raison et celui de la passion ? Vous aurez ainsi deux fois plus de chance de convaincre vos lecteurs / internautes / prospects / clients.

Un ton trop journalistique, trop rationnel, pourra être intéressant, mais n’emportera pas forcément les coeurs. À l’inverse, un texte trop basé sur les émotions (l’humour, la tristesse, etc.) pourra vite devenir inapproprié pour un sujet d’entreprise. Alors pourquoi ne pas mêler les deux, intelligemment ?

12. La cible de lectorat ?

« Quand on écrit pour tout le monde, on n’écrit pour personne ». Définir sa cible de lectorat peut s’avérer très difficile, surtout quand on ne connait pas (encore) son lectorat… Le moyen le plus simple est d’imaginer qu’on s’adresse à une seule personne : une cliente, un prospect, un internaute qui nous suit sur les réseaux sociaux, une amie proche, un membre de sa famille, son patron, etc. Écrire pour une seule personne à la fois permet de donner plus de réalité, sonnante et trébuchante, au texte. Véridique ! Tous les grands orateurs le savent : ils ne s’adressent pas à la foule, mais à quelques personnes en particulier, bien choisies.

13. Des contenus visuels ludiques et pertinents

Sauf si on tombe sur une personne capable de lire des textes très longs et imbuvables pendant des heures, on aura tout intérêt à varier les contenus si on veut maintenir une attention intellectuelle de la part de notre internaute. Comme on l’a dit dans cet article traitant des infographies ou dans celui-ci traitant de la viralité de certaines vidéos, il est toujours intéressant de varier les formats de contenus qu’on diffuse sur notre site web ou notre blog. Tantôt ce sera un article composé de texte essentiellement, tantôt une infographie, tantôt une vidéo. Et quand on a un texte très long, il est important de le scinder par des respirations : des paragraphes clairs, des visuels percutants, une vidéo appropriée.

Une campagne de pub « percutante » pour lutter contre les violences routières.

14. La longueur de l’article, le nombre de mots

Quelle est la bonne longueur d’un article de blog ou d’une page web ? 300 mots ? 1000 caractères ? 1000 mots ? 1 page A4 ? Il n’y a pas de vérité établie, comme souvent. Certains préconisent au moins 300 mots, mais quid des articles avec juste un titre et une vidéo par exemple ? Et pourtant, rien ne les empêche de devenir viraux s’ils sont bons ?

Notre conseil est d’alterner la longueur des articles. Certains sujets seront plus courts à traiter (300 à 500 mots), d’autres plus longs car plus structurés (1500 / 2000 voire 3000 mots). « Oui mais les gens sont pressés et ils n’ont pas le temps ! ». Oui, bien sûr. Qui a du temps à consacrer à un sujet qui n’est pas intéressant ou traité de façon indifférente ? Personne ! Par contre, si on touche un sujet crucial ET traité intelligemment, quelles sont les limites ? Aucune. Pour preuve, quand on est pris dans un polar excellent, ne va-t-on pas au bout des 500 pages du pavé ? Dans une certaine mesure, il en va de même pour le web. Lire un article de blog de 4000 mots n’est pas un problème s’il traite d’un sujet crucial à nos yeux. Pour information, cet article fait 3450 mots.

15. Les méta-descriptions, les images, le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien, les URL, etc.

Bien sûr, on ne peut pas parler de SEO et ne pas aborder ces points. Dans l’article « 8 bonnes raisons de refaire son site web« , nous traitons de l’exemple de Wikipedia, c’est la raison n°7… et ce n’est pas inintéressant… 🙂

La méta-description

Une méta-description, c’est cette description de 2 lignes qu’on trouve sous le titre et sous l’URL, dans les pages de résultats des moteurs de recherche : Par défaut, Google la fabrique pour vous en prenant les deux premières lignes de texte de votre article. Et c’est généralement ce qu’on appelle le chapô, ou sous-titre, ou H2. D’où l’importance d’y accorder une attention particulière ! Sous WordPress, quelques outils, comme Yoast SEO par exemple, permettent de modifier la méta-description et d’imposer celle que vous souhaitez vraiment (indépendamment des deux premières lignes de votre article donc).

Les images / photos / visuels / infographies

Les images sont moins bien référencées par les moteurs de recherche que les textes. Il faut donc « injecter » un peu de texte aux images. Comment ? Par 3 façons : le titre de l’image (par exemple seo-referencement-naturel.jpg), son attribut Alt (ou texte alternatif, le texte qui s’affiche quand on positionne sa souris sur une image), la légende de la photo.

Et la taille des images dans tout ça ? Sauf cas bien particuliers, il est aberrant de voir s’afficher sur un site internet des images de 5000 pixels de large et pesant 15 Méga-octets. Pour l’image à la une d’un article ou pour une belle photo, une taille comprise entre 1000 et 1500px suffira amplement pour avoir un rendu net sur tous les types d’écran (Retina, etc.). Pour des images de moindre importance, une taille comprise entre 500 et 800 pixels conviendra la plupart du temps.

Si vous travaillez sous Mac, n’hésitez pas à utiliser l’application Aperçu, elle rend bien des services quand on n’est pas équipé de Photoshop ou Gimp. Sous PC, l’outil de base fonctionne également très bien pour gérer la taille des visuels, les rogner, etc.

Une URL optimisée

Si votre sujet traite de la loi de défiscalisation Pinel 2017″, votre URL devrait ressembler à ça : https://votre-site.com/loi-defiscalisation-pinel-2017 En aucun cas à ça : https://votre-site.com/p54637e33# Veillez donc bien à apporter un soin particulier à vos URL…

Le maillage interne, les liens externes, les ancres de lien

L’un des meilleurs moyens de faire rester les internautes sur votre site, c’est de faire du maillage interne entre vos articles. Par exemple : « dans notre dernier article consacré au content marketing« , nous faisons un maillage interne. On renvoie vers un autre article de notre site. Si vous avez besoin de citer un article extérieur à votre site, c’est ce qu’on appelle un lien externe. Par exemple : « selon la définition Wikipedia, le content marketing est une… »

L’ancre de lien, c’est le texte visible par l’internaute et qui sert de support à un lien hypertexte. Les textes ci-dessus en rouge sont des ancres de lien. Privilégiez des ancres de lien lisibles par vos internautes ET qui contiennent les mots-clé dont votre article parle. Donc, à éviter : « pour lire notre dossier consacré au content marketing, cliquez ici« .

16. Et à la fin d’un article, on fait quoi ?

On appelle à l’action (CTA, pour Call To Action) ! Quelques exemples :

  • on incite à lire d’autres articles du même thème
  • on propose de s’inscrire à une newsletter pour recevoir les derniers articles
  • on renvoie vers une page de contact
  • on incite à télécharger un livre blanc au format .pdf en échange d’une adresse mail
  • etc.

Les aspects SEO liés à la viralité et aux réseaux sociaux

17. La viralité

Petite devinette : savez-vous pourquoi Facebook rencontre un si vif succès ? Pourquoi les internautes adorent aller sur Facebook ? Réponse : parce que Facebook flatte l’égo des internautes. Analysez les posts Facebook qui fonctionnement le mieux en terme de vues, de likes, de partages et de commentaires, et c’est flagrant…

En tout état de cause, on a bien plus de chance de provoquer la viralité d’un article si on traite d’un sujet qui intéresse les gens ! C’est une évidence, mais on ne se l’applique pas forcément tout le temps !

Ensuite, certains sujets, certains tons, certains débats entraînent naturellement une viralité. Prenez votre site web informatif préféré (lemonde.fr, lefigaro.fr, lequipe.fr, etc.) et analysez les articles qui sont les plus lus ou les plus commentés. Regardez le titre, la structure de l’article, le ton journalistique, les questions posées à la fin, tout ceci nous permet de savoir quels types d’articles fonctionnent. Il en va de même pour la vidéo : quels sont les 3 ingrédients nécessaires à la viralité dans une vidéo ?

18. Les réseaux sociaux, le cercle vertueux

Si on devait faire une analogie, les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Instagram, Linkedin, Google+, etc. sont la caisse de résonance de votre violon, l’amplificateur de votre guitare électrique, le micro de votre voix. Autre image : grâce aux réseaux sociaux, on n’attend plus que le prospect vienne chez nous, c’est nous qui allons là où il se trouve.

Bref, vous l’aurez compris, et nous en avions parlé également dans cet article dédié à l’inbound marketing, les réseaux sociaux font partie intégrante du cercle vertueux composé de ces étapes :

  • votre site web ou votre blog d’entreprise
  • sur lequel sont affichés vos contenus web (articles, infographies, vidéos, etc.)
  • qui sont référencés par les moteurs de recherche
  • internautes qui « tombent » sur votre article grâce aux moteurs de recherche
  • les internautes sont donc renvoyés vers votre site web ou votre blog
  • et si le contenu leur plait, ils le partageront sur les réseaux sociaux
  • ainsi leurs « amis » et connaissances pourront également eux aussi accéder à votre blog ou votre site
  • etc.

Et vous, quelles bonnes pratiques en terme de SEO et de référencement naturel avez-vous pu mettre en place pour votre structure ? Est-ce que ça a fonctionné en terme d’impact ? Avez-vous pu mesurer un retour sur investissement ?

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Vidéo : les 3 ingrédients indispensables pour créer de la viralité

Vidéo : les 3 ingrédients indispensables pour créer de la viralité

Qu’ont en commun les 3 vidéos présentées ci-dessous selon vous ?

1ère vidéo, l’apnéiste Guillaume Néry, filmé en apnée par Julie Gautier au Dean’s Blue Hole (Bahamas) et à Nice, sur une musique de Archive :

2ème vidéo, un court-métrage apparu sur les réseaux sociaux en juillet 2017, sur la nécessité d’ouvrir son coeur à l’autre :

3ème vidéo, quand Apple, à ses débuts, fait appel au réalisateur Ridley Scott, pour lancer un ordinateur sur le marché :

Alors, vous avez trouvé ? 🙂

Cela tient en 3 ingrédients… et en plus, vous les connaissez déjà…

Ok, voici les 3 ingrédients pour créer une vidéo virale :

1. la construction du scénario, le suspense occasionné
2. le ressenti d’émotions particulières
3. l’appel à réfléchir, à se poser des questions

La construction du scénario et le suspense occasionné

Tout écrivain, tout réalisateur, tout auteur de scripts le sait : pour qu’un contenu (roman, film, pièce de théâtre, etc.) fonctionne bien, son scénario doit être BÉ-TON. Le fameux storytelling (écrire pour vendre) n’a rien inventé : on trouve les scénarios les plus aboutis dans les histoires qu’on nous raconte étant enfants depuis la nuit des temps, dans les pièces de théâtre de Shakespeare depuis le XVIème siècle, dans tout bon roman ou film,  dans toute bonne série comme House of Cards, Game of Thrones, Homeland, Breaking Bad, etc.

Selon nous, un bon scénario de vidéo doit contenir (au moins) ces éléments :

  • une problématique de départ et qui sera résolue à la fin
  • du rythme, des rebondissements
  • un personnage touchant, à qui on s’identifie

Oui, mais comment ça se construit un scénario ? Cela demande deux phases :

  • phase 1 : étape d’ouverture, on libère la créativité, toutes les idées sont bonnes à prendre, même les plus farfelues
  • phase 2 : étape de fermeture, on fait des choix, on valide, on pèse les pour et les contre

Bien sûr, on ne peut qu’encourager à utiliser des outils visuels pour améliorer sa créativité : une timeline dessinée sur de grandes feuilles de papier, des post-it, le dessin, etc.

Et concrètement ? Le plus simple est de se poser quelques questions et essayer d’y répondre :

  • Qui est mon client idéal ?
  • Quelles problématiques rencontrent mes clients / prospects / internautes ?
  • En quoi puis-je les aider ?
  • La solution est-elle simple à mettre en oeuvre ?
  • Comment présenter de manière originale la solution à la problématique exprimée ?
  • Maintenant, d’un point de vue visuel, comment je « vois » le scénario ? Est-ce un dessin que j’anime ? Une vidéo de « vrais » gens ? La mise en avant d’un produit ?

Certes, elles ne sont pas très récentes, mais ces vidéos Apple ont conservé tout leur saveur :

Le ressenti d’émotions particulières

Avez-vous vu le film d’animation Vice-versa ? Dans ce très bon dessin animé, il est question de 5 émotions personnifiées :

  • la joie, l’optimisme, le bonheur
  • la peur, l’insécurité
  • la colère, les injustices
  • le dégoût
  • la tristesse, la compassion

On le sait : un contenu, quel qu’il soit, qui n’a pas d’impact émotionnel sur nous n’encourage pas à être partagé. Sur quel registre émotionnel pouvez-vous jouer pour donner de la profondeur à votre scénario et à votre vidéo ? Cela peut passer par le sujet traité, mais aussi par l’attitude générale qui se dégage de la vidéo…

L’appel à réfléchir, à se poser des questions

Après avoir visionné un certain type de films ou lu un certain type de livres, parfois, on se sent pousser des ailes, on regorge d’énergie, avec l’idée obsédante de bonnes résolutions à mettre en oeuvre, tout de suite.

En plus d’une émotion particulière qui a su nous prendre physiologiquement, certaines vidéos appellent naturellement une réflexion, une discussion, un débat, voire un plan d’action. Si vous avez vu le film « Demain« , vous savez de quoi on parle…

En quoi votre vidéo parle d’un sujet qui est plus grand que vous, que votre produit ? Quelle portée universelle peut-elle avoir ?

Et d’un point de vue technique : quel matériel vidéo utiliser ?

Pour commencer la vidéo, dans un premier temps, pas besoin d’investir des sommes folles dans des caméras à 20000€ et des micros à 1000€ pièce. Aujourd’hui, beaucoup de « petits » matériels permettent de créer des vidéos de qualité semi-professionnelle :

  • un appareil photo compact
  • un smartphone
  • une caméra de type GoPro
  • un micro-cravate
  • un petit trépieds
  • le logiciel iMovie sous Mac
  • etc.

Et comme souvent, votre créativité pourra venir pallier un manque technique ! Et vous, qu’utilisez-vous comme techniques particulières pour créer vos vidéos ?

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On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?

Infographies : 4 avantages… et 1 inconvénient (mais qui se contourne)

Infographies : 4 avantages… et 1 inconvénient (mais qui se contourne)

Vous avez déjà succombé à l’utilisation de l’infographie ? Pas encore ? Mais au fait, pourquoi utiliser les infographies dans votre stratégie de Content Marketing ? Et d’abord, c’est quoi une infographie ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Et quels outils pour en créer ?

En anglais, le terme « infographics » signifie « graphisme d’information ». La racine -info veut donc bien dire INFOrmation, et non INFOrmatique comme on le confond trop souvent lorsqu’on utilise le mot « infographie » en français.

Infographie = graphisme d’information

Avant l’apparition de l’outil informatique, la presse utilise déjà beaucoup le graphisme, les illustrations et le dessin. Pourquoi ? Comme le dit le slogan de Paris-Match dès 1949 : « le poids des mots, le choc des photos ». Rien ne résume mieux la nécessité d’illustrer un texte, surtout lorsque celui-ci est long et/ou complexe.

Autre slogan / proverbe : « une image vaut mille mots ». D’un point de vue neuro-scientifique, notre cerveau assimile plus rapidement et plus facilement des données complexes lorsque celles-ci sont résumées sous la forme d’une image. Et c’est encore plus vrai pour le web : nous, internautes, sommes bien plus sensibles à un visuel percutant qu’à un long texte à lire.

Bref, une infographie sert à informer, à éduquer, à comprendre, à apprendre. Donc à vendre.

Les 4 avantages de l’infographie… et l’unique inconvénient

Eh bien justement, résumons-les sous la forme d’une infographie ! 🙂

Content marketing : pourquoi utiliser une inforgraphie ?

Les 4 avantages :

  • Une infographie, c’est lisible : c’est un fait, le cerveau « voit » plus qu’il ne « lit ». Nous n’avons pas la prétention de l’expliquer ici, mais c’est ainsi. Une image vaut 1000 mots, rappelons-nous.
  • Une infographie, c’est ludique : quand ça nous plait, on l’enregistre. C’est le principe de base de tout formateur ou tout enseignant. Apprendre en jouant, jouer à apprendre, tout un programme !
  • Une infographie, c’est synthétique : un dessin, une illustration, un graphique sont justement l’art de résumer une pensée longue ou complexe. L’infographie suit le même principe. L’objectif : quelles sont les 3 informations cruciales que nous voulons faire retenir à nos clients ?
  • Une infographie, c’est viral : les visuels fonctionnent bien avec les réseaux sociaux. Hormis le « chaton trop mignon », d’autres visuels peuvent également devenir viraux, à condition qu’ils fassent appel à nos émotions bien entendu…

Et le seul inconvénient…

Mais qui se contourne (très) facilement : le référencement, la SEO, bref l’optimisation pour les moteurs de recherche. En effet, à ce jour, les images ne sont pas aussi bien référencées que les textes (quoique…). Voici 3 astuces pour pallier cet inconvénient :

  • nommer votre infographie avec des mots-clé qui traitent du sujet dont vous souhaitez parler
  • utiliser la balise « Alt » (le texte alternatif qui apparaît quand vous positionnez votre souris sur une photo)
  • ajouter du texte lisible par les humains dans l’article et incorporer l’infographie à cet article (comme nous le faisons actuellement !) 🙂

Quid de la vidéo ?

Les vidéos ne sont ni plus ni moins qu’une succession d’images fixes à la cadence de 24 images par seconde ! La vidéo, c’est tout l’attrait de l’image, multiplié par la puissance d’un roman. Une bonne vidéo possède son propre scénario et touche directement son public par l’utilisation judicieuse de la raison et des émotions. C’est ce que nous détaillons dans cet article consacré à la création de vidéos.

Les outils pour créer des infographies

Logiciel d’infographie, infographie en ligne, les outils sont nombreux et il n’a jamais été aussi facile d’en créer. Mais ne l’oublions pas : le moyen n’est pas une fin en soi…

Voici quelques logiciels, non-exhaustifs, pour créer vos infographies :

Et voici quelques outils en ligne pour créer vos infographies :

Sinon, vous pouvez également faire appel à nos services ! 🙂

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On parle de votre projet autour d’un café ou d’un thé ?

Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

Vente en ligne : comment rédiger une fiche-produit percutante ?

La fiche-produit peut être la porte d’entrée ou la porte de sortie de notre site web marchand, selon la qualité rédactionnelle et photographique de cette dernière… Voici 8.5 astuces pour la rédaction de la fiche-produit d’un site de vente en ligne.

Si on veut faire fuir un acheteur potentiel, alors on rédige une fiche-produit avec une photo en petit, et un descriptif qui ne reprend que des caractéristiques sous la forme d’un tableau. Mais quel dommage, quand on a passé du temps à créer un site e-commerce, qu’on a peaufiné le design, la navigation, les prix, le tunnel de paiement, etc., que tous nos efforts se retrouvent anéantis parce qu’on ne donne pas une attention particulière à la fiche-produit…

Une fiche-produit n’est pas un article de blog. Dans le cas d’une fiche-produit destinée à acheter le produit, on recherchera la précision (offrir à l’acheteur potentiel l’information qu’il cherche) et la concision (ne pas faire perdre de temps à l’acheteur potentiel).

Les 8.5 conseils ci-dessous ne dispensent évidemment pas des autres éléments indispensables : mentions légales, prix, grille de tailles, couleurs, frais de livraison, retour, suggestions personnalisées, etc. Dans tous les cas, nous ne recherchons qu’un seul objectif : se différencier de ce que nos concurrents proposent, c’est-à-dire souvent les mêmes informations…

G-star-1

Le site web marchand de G-Star, par exemple, propose dans la fiche-produit des photos de produits portés en situations réelles, différents coloris, etc., et plus bas (non visible sur la photo) des informations sur la fabrication du produit, son origine, des détails sur les tissus, les informations de lavage, etc.

1. Fiche-produit : humaniser le titre

C’est une évidence pour certains, pas encore pour d’autres, mais nous insisterons particulièrement sur tout ce qui peut favoriser la SEO (Search Engine Optimization, ou optimisation pour les moteurs de recherche, en français) dans les fiches-produits, et notamment en ce qui concerne le titre. Et comme tout ce qui est bon pour l’humain est bon pour les moteurs de recherche (et non l’inverse), nous allons « humaniser les titres » !

Exemples de titres à bannir :

  • Guide 35+ Deuter
  • TV 4K LCD 107cm Sony B40-352PWXD 3D
  • Ralph Lauren « effet chic »
  • Loft 63m Paris 12 dispo de suite

Exemples de titres à utiliser :

  • Sac à dos hommes DEUTER Guide 35+
  • Télé écran plat 107cm 4K SONY B40-352PWXD
  • Chemise de mariage cintrée RALPH LAUREN « Effet chic »
  • Beau loft de 63m² au coeur de Paris dans le 12ème arrondissement

2. Le descriptif produit résumé

Dans la même logique que le titre, nous allons tout simplement résumer en 2 lignes le produit, et les bénéfices immédiats du produit pour l’acheteur potentiel.

Exemple :
Sac à dos d’alpinisme pour hommes DEUTER Guide 35+. Résistant, confortable, léger, parfaitement accessoirisé, extensible de 8 litres.

Ah oui, une petite astuce aussi : sur la page qui présente la gamme (ou la collection), faire en sorte d’afficher au-dessus de la photo le titre du produit, et sous la photo le début de ces deux premières lignes, en finissant par 3 points de suspension : cela donne envie naturellement d’en savoir plus !

3. Les (belles) photos

L’internaute doit pouvoir faire comme s’il était en magasin et qu’il pouvait toucher le produit que nous proposons. Pour ce faire, rien de tel que de belles photos du produit :

  • 1 photo du produit sur fond blanc ou uni
  • 4 ou 5 photos du produit porté et/ou en conditions réelles d’utilisation
  • multiples vues : face, arrière, côtés, dessus, 3/4, etc.
  • zoom sur toutes les vues souhaitées
  • zoom sur la texture
  • etc.
Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, bref de quoi donner envie d'acheter.

Une photo prise de près permet de se rendre compte de la matière, de la texture, etc. Bref, de quoi donner envie d’acheter.

4. Le descriptif produit détaillé

C’est souvent ici que nous allons copier/coller les informations données par le fabricant. Caractéristiques techniques, argumentaire marketing du fabricant, avantages concurrentiels, c’est l’endroit idéal pour l’ensemble de ces informations. Nous l’aurons noté, c’est ce descriptif produit détaillé que nous retrouvons dans 95% des cas partout sur les différents sites web marchands…

5. L’avis de l’entreprise

Vous êtes fan du produit dont vous parlez ? Un commentaire humain, impartial, et personnalisé fait souvent toute la différence. N’hésitez pas à parler des « trucs qu’on adore », et des « trucs qu’on aime moins mais qui dans certains contextes se transforment en trucs qu’on adore »…

6. Les notes et avis des clients

Les notes (sur 10, ou des étoiles, etc.), ainsi que les avis des clients sont souvent l’élément déclencheur et qui permettent à l’internaute de devenir un client. Ils sont l’équivalent du fameux « bouche à oreilles ». Aujourd’hui, il existe une multitude de solutions techniques pour que nos clients puissent laisser un commentaire après avoir acheté et utilisé un produit.

Les sites d'hôtellerie comme Booking.com utilisent à 110% les notes et les avis de leurs clients.

Les sites d’hôtellerie comme Booking.com utilisent à 100% les notes et les avis de leurs clients.

7. Le lien vers le blog de l’entreprise

Vous tenez un blog d’entreprise et vous avez créé spécialement un article qui traite d’un produit en particulier ? Parfait ! N’hésitez donc pas à insérer, sur la fiche-produit, un lien vers le blog. Et pour être certain(e) de récupérer l’internaute à la fin de l’article, insérez de nouveau un lien vers le site web marchand…

8. La SEO

Naturellement, toutes les informations qu’on va donner ci-dessus (titre humain, descriptif résumé, photos avec de vrais titres, descriptif long, avis des clients, lien vers le blog, etc.) vont permettre d’améliorer le référencement de notre fiche-produit. N’oublions pas : si ça plaît aux internautes, ça plaît aux moteurs de recherche…

8,5. Sortir des sentiers battus

Et si au lieu de faire comme tout monde, on faisait comme personne ? Mettre de l’humain, de l’humour, du fantasque, du piment, de l’inconnu, du non-convenu, c’est ce qu’ont choisi de faire dans leurs fiches-produits les trublions du goût les plus en vogue du moment : Michel et Augustin.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d'une fiche-produit.

Michel et Augustin, les trublions du goût. Ou comment pousser à son paroxysme la qualité d’une fiche-produit.

Conclusion

On le sait, la difficulté pour une entreprise de e-commerce, c’est souvent de devoir gérer des centaines, voire des milliers de références de produits. Tout va dépendre donc de notre stratégie marketing initiale : veut-on offrir un choix immense à l’internaute mais avec peu d’informations, donc à bas prix, ou préfère-t-on offrir un contenu unique et de qualité afin de transformer le visiteur lambda en client ?

Aujourd’hui, l’un ne va pas sans l’autre. Si on offre un choix pléthorique mais sans contenu qualitatif permettant de choisir, c’est compliqué. Et si on offre de la valeur ajoutée mais mal placée en prix, on passe à côté des ventes. Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

Il va donc falloir trouver l’équilibre entre le nombre de références qu’on souhaite « mettre en rayons », la qualité rédactionnelle et photographique de la fiche-produit, et le prix du produit.

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Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Inbound marketing : pourquoi un blog d’entreprise ?

Et si demain la visibilité d’une entreprise sur le web passait par son blog ? Et si demain le blog d’entreprise devenait le premier canal de prospection ? Et si demain c’était aujourd’hui ? Voici 4 bonnes raisons de créer et/ou de faire vivre son blog d’entreprise.

La mission première d’une entreprise est d’apporter de la valeur à ses clients : en résolvant une problématique, en fournissant un produit, un service, ou une expérience, par exemple. La conséquence se traduit par la création et l’augmentation d’un chiffre d’affaires, d’une marge, d’un EBE, d’un résultat net, etc.

Quand on entend les mots « web » et « entreprise » dans une même phrase, on pense à site web marchand, ou site vitrine qui présente des produits ou un savoir-faire particulier. Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises créent un blog d’entreprise. Mais pourquoi peut-on se demander ? À quoi ça sert ? Est-ce bénéfique pour l’entreprise ? Peut-on exiger un retour sur investissement rapide ? Et quel service de l’entreprise doit le gérer ? C’est ce que nous allons essayer de voir dans cet article.

Inbound marketing, définition

Comme nous le dit la définition Wikipedia, « L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher avec les techniques de marketing management traditionnelles, de type outbound marketing. Cette technique de marketing a été initiée par Seth Godin, inventeur du concept de permission marketing à l’origine de l’inbound Marketing : il faut attirer l’attention des prospects en produisant du contenu de qualité sur son site, afin qu’il soit fortement identifiable par les moteurs de recherche et partagé sur les réseaux sociaux. L’objectif est de gagner l’attention du prospect. On parle aussi de earned customers ou client acquis, par opposition aux paid customers ou clients achetés par de la publicité, du référencement payant, etc. »

« L’inbound marketing est une stratégie marketing visant à faire venir le client à soi plutôt que d’aller le chercher. »

Blog : définition

À l’origine, un blog est une sorte de site web, sur lequel on publie des articles. D’ailleurs, on rattache souvent le mot « blog » au mot « personnel ». On y parle de tout et de rien, de coups de coeur, de coups de gueule, dans tous les domaines possibles et inimaginables : mode, beauté, nouvelles technologies, voitures, recettes de cuisine, livres, sorties cinéma, disques, etc.

De nombreux blogueurs et blogueuses défraient souvent la chronique, parce qu’ils ou elles, ont su créer un contenu qu’on ne trouvait nulle part ailleurs, s’attachant au passage des milliers, voire des centaines de milliers de « vues ». Alors, en quoi ces blogs peuvent nous servir dans le milieu de l’entreprise ?

1. Un blog d’entreprise : pour nos clients

Un appel téléphonique, le passage d’un commercial, une carte de voeux, une invitation à un déjeuner, une présence sur les réseaux sociaux, autant de signaux qu’une entreprise utilise pour dire à ses clients « youhou, on est là, on existe, on pense à vous ! ».

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

Vis-à-vis de nos clients, le blog d’entreprise et la rédaction d’articles permettent de tenir, pour une fois, un discours non-commercial. Du moins, en apparence. Conseils, astuces, veille technologique, actualités, témoignage clients, c’est la partie immergée de l’iceberg qu’on appelle « relation client ».

Le blog d’entreprise sert à nous rappeler au bon souvenir de nos clients. Pour qu’ils pensent à nous, le jour où. Sans parler de la crédibilité et de l’expertise que cela nous apporte par rapport à nos concurrents. Le maître-mot ? Toujours le même : se dé-mar-quer !

2. Un blog d’entreprise : pour nos prospects

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo », etc.

À condition qu’il soit bâti avec une bonne architecture, à condition que le contenu soit bon, qu’il respecte un certain nombre de règles, que les internautes l’apprécient car il apporte une réponse à ce qu’ils cherchent, et qu’ils le partagent sur les réseaux sociaux, alors les moteurs de recherche feront tout pour qu’on puisse trouver NOTRE blog.

C’est ainsi qu’on commencera à apparaître dans les premiers résultats des SERP (pages de résultats d’un moteur de recherche). Et parce que nous serons dans les premiers résultats, l’internaute, le prospect, ira cliquer sur notre blog d’entreprise pour trouver l’information ou le produit qu’il cherche.

Aujourd’hui, un client potentiel n’attend pas notre venue s’il a un besoin à satisfaire. La première porte d’entrée qu’il franchit s’appelle « Google », ou « Bing », ou « Yahoo ».

3. Un blog d’entreprise : pour notre communauté

L’entreprise ne se résume pas qu’à nous et nos clients. D’autres personnes, d’autres structures jouent un rôle considérable dans la vie d’une entreprise : les clients évidemment, mais aussi les prospects, les fournisseurs, les banques, les administrations, les contacts professionnels, les associations, les salariés potentiels, les agences d’intérim, les consultants, les business angels, les internautes lambda, ou les curieux tout simplement.

Aujourd’hui, beaucoup de gens, beaucoup de structures, beaucoup d’entreprises ont une page Facebook, un compte Google+, un compte Twitter, un profil LinkedIn ou Viadeo.

Et c’est là qu’un blog d’entreprise va être utile. Parce qu’un blog d’entreprise ne parle pas QUE de notre entreprise, mais parce qu’il parle également d’autres sujets.

Par exemple, vous êtes une entreprise de BTP ? Alors vous pouvez très bien publier un article sur la Réglementation Thermique 2012 pour informer votre communauté, et affirmer ainsi votre rôle de veille et d’expert. Vous vendez des véhicules ? Pourquoi ne pas publier un comparatif impartial entre deux modèles afin d’orienter au mieux vos prospects ?

Une fois que les articles sont rédigés et publiés sur notre blog, il est grand temps de les partager et de les faire vivre sur nos réseaux sociaux.

Le blog d’entreprise est un outil de plus dans notre boîte à outil. Mais un outil réellement créateur de valeur, et au bras de levier vraiment efficace s’il est réalisé et alimenté correctement.

4. Un blog d’entreprise : pour Google

La mission première des moteurs de recherche est de trouver l’information que cherche l’internaute. L’information la plus fiable et la plus précise possible afin de ne pas faire perdre de temps à l’internaute. Par un subtil choix de mots-clé et d’expressions-clé, d’astuces légales et recommandées, nous allons justement pouvoir attirer l’attention des moteurs de recherche, donc des internautes :

  • les moteurs de recherche adorent les sites et les blogs bien faits, bien pensés, avec une facilité de navigation et de compréhension immédiate pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent trouver sur notre site ou notre blog du contenu original, pertinent, et intéressant pour l’internaute.
  • les moteurs de recherche adorent quand un contenu efficace est partagé et re-partagé sur les réseaux sociaux.

Créer un blog d’entreprise, le faire vivre, l’alimenter en articles et en contenus riches et intéressants, puis partager ces contenus sur les réseaux sociaux, tout ceci participe au cercle vertueux « nous / les moteurs de recherche / les internautes / les réseaux sociaux ».

Conclusion

Vous l’aurez compris, créer un blog d’entreprise, l’alimenter grâce à du contenu intéressant, en rapport avec notre métier, de près ou de loin, puis le partager sur nos réseaux sociaux d’entreprise, est un gage de professionnalisme. Cela rassure nos clients, attire des prospects, et crée un cercle vertueux avec les moteurs de recherche, Google pour n’en citer qu’un. Créer un blog d’entreprise oblige également à se poser des questions, sur son métier, sur ses fondamentaux, sur son avenir. En bref, un blog d’entreprise permet de créer de la valeur qui sera bénéfique dans tous les cas, et transformable en retour sur investissement, tôt ou tard.

Le blog d’entreprise permet d’intégrer un cercle vertueux.

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Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

Web : 8 bonnes raisons de créer (ou refaire) son site internet

En quoi un site internet de 2007 est différent d’un de 2017, et quelles sont les tendances (2027) à venir ? Quelle est désormais la place du web dans une stratégie marketing globale ? Vaut-il mieux améliorer par couches successives son site internet, ou le re-créer de A à Z ? Quels bénéfices peut-on offrir aujourd’hui à des internautes pour un échange gagnant-gagnant ?

 

Nous allons tenter d’apporter notre pierre à l’édifice en donnant quelques pistes de réflexion. Selon nous, voici 8 raisons de créer (ou de refaire) son site web.

 

Internet : de 1997 à 2017…

 

Le web grand public a 20 ans. Nous sommes en 1997, on parle de « netscape », « altavista », « yahoo ». Google n’existe pas encore (1998), Facebook encore moins (2004), les smartphones non plus (2007 pour le premier iPhone). La connexion internet avec un modem 56K, au bruit caractéristique, empêche de téléphoner en même temps (!). C’était les débuts du web.

 

10 ans plus tard, en 2007, les géants du web sont là : Google, Amazon, Facebook, Apple (les GAFA). En France, les grandes entreprises et les PME possèdent leur propre site web. Site vitrine, il permet d’afficher à l’internaute un certain nombre d’informations : pages web statiques, informations de contact, etc. Chez les particuliers, à la maison, on voit apparaître de plus en plus de « blogs » et de réseaux sociaux. On verra que cette influence « home » ne sera pas neutre…

 

Aujourd’hui, 2017, le marché est arrivé à maturité. Aux GAFA se sont ajoutées les NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber). Les entreprises communiquent directement sur les réseaux sociaux, elles vendent en ligne, ajoutant un canal de distribution à leur stratégie commerciale, elles gèrent des publications cross-media, elles font attention à leur e-réputation, elles embauchent des Community Manager, des développeurs IT, des responsables de stratégie digitale, etc. Qui l’aurait cru il y a seulement 20 ans ?

 

Le web va vite, très vite. Mais il semble désormais que les internautes sont encore plus rapides dans leurs besoins exprimés. Le web a été créé pour la « masse », il est devenu un « outil de masse », et c’est désormais bien cette « masse » qui entend en prendre le pouvoir à terme, sur un modèle collaboratif et horizontal.

La page web de Yahoo, à l’époque…

Refaire son site web / raison n°1 : pour créer une stratégie numérique globale

 

Les grands groupes et les grandes entreprises savent parfaitement ce qu’est une stratégie digitale, nous ne nous attarderons donc pas sur cette cible particulière. Pour une TPE ou une PME de taille modeste, élaborer une stratégie numérique n’est pas si compliqué que cela en a l’air. Bien sûr, chaque entreprise définira son propre cahier des charges, mais la stratégie ci-dessous nous paraît remplir la fonction dans 80% des cas :

 

UN SITE WEB + UN BLOG + DES CONTENUS WEB + DES RÉSEAUX SOCIAUX = UN BON DÉPART POUR UNE STRATÉGIE DIGITALE.

 

Selon le type d’entreprise et la volonté (ou non) de vendre en ligne, on pourra y adjoindre un module (voire un site) de e-commerce. Des campagnes de publicité payantes (Google AdWords, Facebook Business, etc.) ne seront pas inutiles non plus. Dans de rares cas, une application mobile dédiée (AppStore, Google PlayStore, etc.) sera également nécessaire.

 

 

Raison n°2 : pour améliorer votre image de marque auprès de vos clients (et prospects)

 

Vous le savez, le premier réflexe d’un prospect qui a entendu parler de vous, mais qui ne vous connait pas encore, c’est de vous « googliser« . En d’autres termes : il tape dans son moteur de recherche favori votre nom, ou le nom de votre entreprise. Et là… gare aux surprises ! C’est à ce moment précis qu’on parle de votre e-réputation : ce que le web dit de vous.

 

En tout logique, c’est le nom de votre entreprise qui devrait apparaître en premier dans les pages de résultats (SERP). Peuvent venir ensuite d’autres sites, comme les réseaux sociaux, un compte Google My Business éventuellement, avec l’avis laissé d’internautes qui vous notent avec des étoiles allant de 1 (mauvais…) à 5 (excellent).

 

Vous le remarquerez, dans ces fameuses pages de résultats apparaissent souvent des documents .pdf (ceux-ci sont très bien référencés par les moteurs de recherche), un blog WordPress (idem, c’est l’une des technologies les plus SEO friendly qui soit), etc.

 

Un petit tour dans l’onglet « images » vous donnera également un aperçu des visuels qui sont référencés lorsqu’on tape votre nom ou celui de votre entreprise dans Google.

 

Vous l’aurez compris : les moteurs de recherche sont votre miroir… miroir accessible à tous. C’est d’ailleurs bien le but recherché ! La porte d’entrée de ce miroir, c’est donc votre site web. De par son design, son accessibilité, son ergonomie, son contenu, c’est directement votre image de marque qui sera appréhendée, en positif… comme en négatif…

 

Nous faisons tous des efforts pour bien « paraître » (tenue vestimentaire, langage, mails, véhicule, etc.). Votre site web est donc bien un outil supplémentaire sur lequel on portera une attention particulière.

 

Ah oui, une petite astuce : quand vous tapez votre nom ou celui de votre entreprise dans un moteur de recherche, pensez bien à vous mettre en navigation privée et à vider le cache de votre navigateur avant. Pourquoi ? Sinon les résultats sont biaisés par votre historique de recherches.

 

Raison n°3 pour créer ou refaire son site internet : faire table rase et repartir d’une page blanche

 

Il est parfois de bon ton de tout reposer à plat. Les années passent, les couches successives s’accumulent, ce qui semblait normal avant peut devenir une aberration aujourd’hui. Faire table rase permet de repenser des processus, une stratégie, et pourquoi pas une vision d’avenir.

 

Créer ou refaire son site web est un excellent atelier de brainstorming. Cela nous oblige à poser les bonnes questions : qui sommes-nous ? Qui sont nos clients ? Que leur proposons-nous ? Pourquoi ? Qu’est-ce qui peut être amélioré / supprimé / accentué / créé ? Quelles simplifications pouvons-nous opérer ? Serait-ce le moment d’offrir à nos clients une innovation de rupture ? Quelles incidences la refonte d’un site internet peut avoir sur le management des équipes ?

 

De par l’évolution des technologies, mais aussi des internautes, la durée de vie d’un site web aujourd’hui dépassera rarement les 5 années. Repartir d’une page blanche tous les 5 ans permet de rester en veille, à l’affût de la « rumeur du web » et de ses évolutions. Évidemment, cela n’empêche pas des améliorations successives chaque année !

 

 

Raison n°4 : pour que votre site s’adapte automatiquement à tous les supports (PC, Mac, smartphones, tablettes)

 

 

Autrement dit : RESPONSIVE DESIGN ! Ce n’est plus à l’internaute de s’adapter à nous, mais bien nous qui devons nous adapter à l’internaute. Toute une philosophie…

 

Nous sommes connectés, c’est un fait. Nous commençons à checker nos mails sur ordinateur, puis nous devons partir et poursuivons sur une tablette. Un article publié sur Facebook et lu sur notre smartphone, il nous plait, hop, on l’enregistre pour le relire plus tard, à tête reposée, sur notre PC ou notre Mac. Tels sont les usages du web : s’adapter. Constamment.

 

En parlant d’adaptation, quoi de plus rageant que de naviguer sur un site web statique depuis son smartphone, et être obligé(e) de zoomer pour en lire le contenu, puis dézoomer, scroller, re-zoomer, etc.

 

Un site web aujourd’hui, et depuis 10 ans environ, se doit d’être adaptable, d’être responsive design, pour offrir à l’utilisateur la meilleure expérience web possible.

 

Raison n°5 d’améliorer son site internet : pour intégrer un blog d’entreprise

qui amène de l’actualité fraiche

 

Autrefois réservé aux « particuliers » qui souhaitaient partager avec une communauté sur un sujet précis, aujourd’hui le blog est un outil plébiscité par les entreprises. Pourquoi ? Parce qu’il permet d’établir une relation décalée avec ses clients et ses prospects : une relation de conseil. Par le biais de thématiques propres à votre métier, nous allons pouvoir rédiger des articles web, agrémentés de photos, d’infographies, et pourquoi pas de vidéos.

 

Par exemple, un cabinet spécialisé en immobilier d’entreprise va pouvoir rédiger des articles-conseil : « Faut-il louer ou acheter son local professionnel ? », ou « Nos 6 conseils pour améliorer le bien-être au travail », etc.

 

Autre exemple, un plombier pourra partager diverses astuces sous un format vidéo : « Comment réparer une fuite de lavabo ? », « Comment ajouter de la pression en eau dans une chaudière gaz ? », etc.

 

Bien sûr, ces articles seront partagés sur les réseaux sociaux de l’entreprises (Facebook, Twitter, Google+, Linkedin, Instagram, etc.) afin de ramener l’internaute vers le blog de l’entreprise. Et, cerise sur le gâteau, les moteurs de recherche comme Google ou Bing sont très friands de ces articles-conseil, leur référencement s’en trouve donc amélioré… pour peu qu’on utilise la bonne technologie de blog, ainsi que quelques notions élémentaires en rédaction web.

 

Raison n°6 : pour développer un business grâce au e-commerce

 

Comme nous le disions plus haut, refaire son site web permet de se reposer certaines questions, et notamment des questions liées à la stratégie commerciale de l’entreprise. Un site web bien fait facilite le travail en avant-vente, mais il peut aussi servir à vendre en ligne !

 

Disons-le clairement : vendre en ligne du conseil ou des services n’est pas encore entré dans les moeurs. Tout comme acheter un objet représentant une somme conséquente (voiture, appartement, etc.) ne se fait pas encore en ajoutant une « voiture » dans un « panier » et en la payant en ligne avec sa carte bancaire…

 

Par contre, pour tout le reste, et notamment des produits allant de 1€ à 2500€, le marché du e-commerce est désormais mature. À partir du moment où on achète sur un site de confiance, rien n’empêche de dépenser des sommes importantes, pour un voyage par exemple.

 

Lorsque décision est prise de proposer à ses clients un site marchand, se posent de nouvelles questions : qui réalise le site e-commerce ? Est-ce un site 100% dédié ? Est-ce un module supplémentaire au site traditionnel ? Est-ce que je le fais en interne ? Est-ce que je fais sous-traiter à une agence web spécialisée en e-commerce ? Et qui va me faire les mises à jours ? La gestion des stocks ? La rédaction des fiches-produits ? Les photos ? Etc.

 

D’un point de vue technologique, deux gros prestataires open-source se disputent le haut du marché : WooCommerce (WordPress), et Prestashop. Notre préférence, à ce jour, va vers WooCommerce (c’est le module installé sur ce présent site, sur une version ultra-simplifiée), d’autres préféreront Prestashop. Nous vous laisserons fouiller sur le web pour trouver des comparatifs, tests, avis, etc.

 

 

Raison n°7 de créer son site internet : pour être plus visible dans les moteurs de recherche (#SEO #Optimisation #RéférencementNaturel !)

 

Avec une part de marché de 94.1%, Google reste le leader incontesté des moteurs de recherche en France. Cette situation hégémonique n’est pas sans poser quelques problèmes d’ailleurs à la Commission Européenne… Bref, être visible dans les moteurs de recherche, c’est donc être visible dans Google.

 

Petite question-piège : quel site web apparaît quasi-systématiquement dans la 1ère page de résultats Google (quand ce n’est pas en 1ère position…) ? Réponse : Wikipedia. Pourquoi ? Les réponses sont nombreuses : qualité des contenus, fréquence des mises à jour, liens internes à l’infini, articles complets à vocation encyclopédique, licence Creative Commons, ancienneté du site, etc.

 

ll suffit donc d’écrire des articles comme dans Wikipedia alors ? Oui… et non. Oui, parce que généralement la qualité des contenus est là, mais quantité d’autres facteurs jouent en faveur de Wikipedia, dont les liens internes et l’ancienneté du site, site qui a acquis au fur et à mesure des années (Wikipedia est né en 2001) ses lettres de noblesse auprès de Google.

 

Maintenant que nous avons fait un léger détour par Wikipedia, entrons dans le vif du sujet : la SEO (Search Engine Optimization, traduit par Optimisation pour les Moteurs de Recherche). Comme nous le dit l’encyclopédie :

 

« L’optimisation d’un site web passe par de multiples leviers internes : accessibilité des contenus, codage sémantique, mise en place d’une arborescence optimisée, maillage interne des pages, ajout de contenus frais. Mais les facteurs externes vont l’impacter fortement pour asseoir son autorité aux yeux des moteurs de recherche. Le nombre et la qualité des liens entrants, les signaux apportés par les réseaux sociaux sont autant de facteurs d’influence positifs. »

 

Certaines technologies de sites web sont naturellement optimisées pour la SEO et le référencement naturel, d’autres moins. L’accessibilité sur smartphones et tablettes jouent également un rôle important. Quantité d’autres leviers techniques sont à prendre en compte pour optimiser son référencement naturel, mais ce qui fait VRAIMENT la différence, c’est la qualité et la viralité du contenu proposé aux internautes. Dans ses algorithmes, Google prend réellement en compte cette viralité, permise notamment grâce aux réseaux sociaux.

Le Saint-Graal : apparaître en 1ère position dans Google. 😉

Enfin, raison n°8 : pour avoir la main sur les mises à jour…

 

Aujourd’hui, une agence web doit vous laisser la main (à votre demande bien sûr) sur les mises à jour de votre site internet, de votre blog, ou de votre site marchand. Réactivité, expertise-métier, liberté, « anti-monopole », voici quelques raisons de choisir une agence web ou un prestataire web qui ne vous verrouille pas.

 

 

1997, 2007, 2017, 2027 ?

 

Que sera le web en 2027, dans 10 ans ? Bien malin celui qui pourrait y répondre… Après un rapide brainstorming (de 2 minutes) dans le bureau, voici quelques pistes : 

  • « ce sera comme dans le film Minority report ! »
  • « le web n’existera plus comme on le connait »
  • « il n’y aura plus de terminaux, ou alors ils seront différents »
  • « les interfaces seront complètement dématérialisées »
  • « on aura des puces intégrées à nos cerveaux, dans une logique transhumaniste »
  • « le web sera ultra-méga rapide, plus aucun délai d’attente »
  • « ce sera devenu super simple de créer son site web »
  • « il y aura + de réseaux sociaux et – de sites internet »
  • « l’impact écologique du web sera tellement devenu énorme qu’on va tous mourir »
  • « au lieu d’écrire, on utilisera la voix, pour tout »

Trêve de plaisanterie, (quoique…), si on regarde les 3 grosses avancées majeures du web entre 2007 et 2017, ce sont :

  • l’affichage sur tous les types de supports (smartphones, tablettes, etc.)
  • les réseaux sociaux
  • le e-commerce

Que sera le web en 2027 ? Nous vous laissons imaginer les possibilités et nous en faire part dans le champ « commentaires » ci-dessous !

 

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Vidéo TedX Paris : Paul Poupet nous parle d’innovations numériques

Vidéo TedX Paris : Paul Poupet nous parle d’innovations numériques

On adore les vidéos TEDx ! Et notamment celles développées à Paris. Voici celle de Paul Poupet, fondateur de Seed-Up, une « hacker house » au service de toutes les démarches innovantes.

Sur un format de 9 minutes (rassurez-vous, elles passent vite car elles sont très intéressantes !), sont abordées les thématiques suivantes : l’innovation numérique, la digitalisation des entreprises, l’intrapreneuriat, les hackathons, le marketing des start-up, le management des générations Y et Z, la conduite du changement, etc. Prêt(e) ? 😉 Go !

Plus d’infos sur seed-up ici !

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Digitalisation des entreprises : ce que permet le web (et ce qu’il ne permet pas)

Digitalisation des entreprises : ce que permet le web (et ce qu’il ne permet pas)

Le web peut être l’objet de tous les fantasmes… ou de toutes les désillusions. Pour être certain(e) de ne pas être déçu(e), voici quelques bénéfices à tirer du web pour une entreprise en voie de digitalisation.

Commençons d’abord par chasser LA fausse croyance.

1. Ce que ne permet pas le web :

« Exploser » les chiffres de vente d’un business model traditionnel.

2. Maintenant, ce que permet le web pour la transformation digitale des entreprises :

Tous les services sont concernés…

Communication :

  • Donner une visibilité à l’entreprise
  • Renforcer une image de marque
  • Assurer une présence sur les réseaux sociaux
  • Communiquer des informations à vos clients et vos prospects
  • Gérer un espace et du contenu réservé aux membres

Marketing :

  • Favoriser une démarche d’innovation
  • Améliorer l’expérience utilisateur
  • Analyser les sources de création de valeur
  • Engager l’exploration d’un nouveau business model

Vente :

  • Vendre en ligne (produit, service, inscription, abonnement, téléchargement, etc.)
  • Faciliter une démarche de prospection
  • Ajouter une force de pré-vente à une équipe existante
  • Apporter des revenus complémentaires

Finance :

  • Rationaliser et simplifier les processus
  • Réaliser des économies d’échelle sur des frais traditionnels
  • Orienter le coût d’un collaborateur vers un métier à forte valeur ajoutée

Management / RH :

  • Entamer un processus de digitalisation de l’entreprise
  • Apporter une crédibilité RH vis-à-vis des nouvelles générations (Y, Z, Millenials, etc.)
  • Favoriser un management transversal
  • Impliquer les collaborateurs dans une démarche d’intrapreneuriat

Bien sûr, cette liste est non exhaustive, ce ne sont que quelques exemples… L’entreprise étant un organisme vivant, c’est bien l’humain (et non la technologie) qui fera réussir (ou pas) sa transformation numérique. Et vous, avez-vous déjà abordé une stratégie de digitalisation dans votre entreprise ? Quels sont les bénéfices que vous en tirez ? Quelles difficultés rencontrez-vous ? Qu’avez-vous appris de vos erreurs ?

3. Digitalisation des entreprises / Transformation digitale : définition(s) en 2 vidéos

Qu’est-ce que la transformation digitale ? Antoine Amiel, fondateur de LearnAssembly vous explique dans cette vidéo du MOOC Culture Digitale, pourquoi nous parlons de transformation digitale; pourquoi ce concept est aujourd’hui abondamment utilisé dans les grandes entreprises :

Depuis quelques années, ordinateurs, smartphones, tablettes digitales révolutionnent notre quotidien et transforment notre façon de consommer. Nous sommes inter-connectés en permanence, en tout lieu et pour tous les usages. Découvrez dans ce film comment, ce lien direct entre consommateurs et services, oblige les entreprises à réinventer leur modèle économique et toute la chaine interne de fonctionnement :

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